Ruban Vert 2009: Virusmania et Journée mondiale du SIDA, une démystification s'impose...]

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Vincent Robeyns

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Dec 5, 2009, 9:28:18 AM12/5/09
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Avant la lecture de ce texte je vous invite à écouter Luc Montagnier, séquence particulièrement intéressante car, abstraction faite de ce qu'il ne remette pas en question le rôle ou l'existence du VIH (sa position de "découvreur" et son Prix Nobel lui interdisent de le faire), tout ce qu'il dit dans cette interview est tout à fait correct et s'éloigne radicalement de la propagande que les Sidactions nous infligent.

http://www.youtube.com/watch?v=WQoNW7lOnT4



P. J. Dunbar <fb51...@skynet.be>

 
 

Virusmania et Journée mondiale du SIDA: Une démystification s'impose...mais existe-il encore, à l'heure actuelle, des esprits suffisamment curieux et critiques pour résister au bourrage de crâne omniprésent que nous subissons depuis des années?...

 

Le 9 mars 2009, le célèbre et hyperactif Président de la République française, Nicolas Sarkozy, donnait le coup d’envoi de l’opération Grippe A en s’envolant pour une visite officielle au Mexique. Dans la foulée de cet événement, le groupe pharmaceutique Sanofi-Aventis annonçait avec enthousiasme l’investissement de 100 millions d’euros dans l’installation au Mexique d’une usine destinée à produire un nouveau vaccin antigrippal !. Une telle initiative méritant une campagne de promotion à sa mesure, dans le mois suivant, une panique était déclenchée en France par l’annonce du début de pandémie mexicaine d’une prétendue grippe porcine attribuée au virus H1N1 sur la base de chiffres insignifiants et invérifiables (quelques 190 cas annoncés sans que l’on comprenne vraiment s’ils s’agissait de personnes simplement grippées ou trépassées…) La France se trouvant à l’avant-garde de l’opération, le gouvernement de Sarkozy était en réunion de crise pour décider s’il convenait de passer au niveau d’alarme numéro 5, ou même au 6, les vols en provenance du Mexique étaient ajournés ou leurs passagers placés en quarantaine. Ce lundi-là, le choeur des journaux de 20 heures des chaînes télévisées du Sarkozyland était exclusivement consacré au nouveau fléau.

 

Une semaine plus tard, le véritable objectif de cette campagne de frayeur avait été atteint : les actions des principales sociétés pharmaceutiques avaient réalisé une ascension sans précédent sur les places boursières internationales. Puisqu’on avait la situation si bien en main, les médias pouvaient relâcher leur pression, tout en préconisant que la vigilance soit cependant maintenue.

 

Depuis, en accord avec les directives de l’Organisation Mondiale de la Santé et en prévision d’un retour pandémique et apocalyptique de la grippe porcine A (H1N1) annoncé à l’échelle mondiale pour cet automne, la France a commandé cent millions de doses de vaccin anti-H1N1auprès des laboratoires pharmaceutiques, GSK et Novartis.

 

Jusqu’ici, en dépit de l’hyper médiatisation dont ils font l’objet, les cas de soi-disant grippe A (pour autant que on dispose même de tests capables de les diagnostiquer avec certitude comme étant vraiment dus au H1N1, ce qui est déjà très douteux) ont été fort rares et leurs symptômes tout à fait bénins par rapport à ceux d’une grippe saisonnière normale. Le rétablissement complet du malade s’opère en général sur trois à quatre jours et le Tamiflu, médicament antiviral particulièrement toxique, n’étant (heureusement !) pas encore disponible, les médecins se limitent à prescrire du simple paracétamol pour atténuer les symptômes. Les deux ou trois cas mortels jusqu’à présent attribués au H1N1 et médiatisés à outrance sont soit purement accidentels ou bien dus à d’autres causes que la grippe elle-même (il ne faut pas oublier qu’il n’existe toujours aucun test qui permette de diagnostiquer avec certitude l’infection au virus H1N1 ni que, selon les statistiques les plus officielles, une grippe saisonnière normale provoque en moyenne annuellement 36.000 décès aux seuls Etats-Unis !...).

 

Selon de nombreuses sources, il apparaît de plus en plus que cette maladie hypothétique ait été inventée par les protagonistes et organisateurs de la mondialisation afin de pouvoir imposer des campagnes de vaccinations obligatoires, et si nécessaire l’adoption de mesures spéciales, à l’échelle planétaire. La grippe A semble en effet constituer un paravent pour l’adoption des mesures d’urgence (allant jusqu’à la loi martiale et l’eugénisme) qui accompagnerait un imminent krach boursier international que l’on craint être plus grave que celui de 1929. Ceci expliquerait pourquoi on a annoncé une pandémie pour l’automne 2009 mais, comme on n’est pas encore absolument certain de la date de cette prochaine catastrophe économique, les fabricants de vaccins ont promis d’allonger la période de validité de leurs produits d’au moins deux ans (ce qui nécessite seulement une modification de la date de péremption sur les emballages !...). Nous avons donc dès à présent tous les ingrédients d’une manipulation plus monstrueuse et plus cynique que l’invention du SIDA au début des années 1980…

 

L’invention du SIDA

 

Pour en venir au SIDA ancienne version, il faut savoir que cette « maladie », providentielle pour la recherche rétrovirale et l’industrie pharmaceutique, est apparue dans la période qui a suivi l’échec de la « Guerre contre le Cancer » de l’époque Nixon. Au début des années 1970, immédiatement après la débâcle du Vietnam, les virologues avaient prétendu pouvoir découvrir un rétrovirus (on avait peu de temps auparavant découvert la transcriptase inverse sur laquelle la recherche fondait de nombreux espoirs) qui aurait été la cause du cancer et ainsi mettre au point un traitement définitif contre ce fléau moderne. Les sommes colossales qui avaient été allouées à cette recherche par le gouvernement états-unien n’ayant servi à rien, il fallait bien trouver autre chose pour les justifier et ce fut le SIDA…

 

En 1981, des maladies relativement rares telles que la pneumonie à Pneumocystis carinii et le sarcome de Kaposi (sorte de cancer de la peau apparaissant sous la forme de taches noires sur la peau du thorax ou du visage, ou encore à l’intérieur des poumons) furent diagnostiquées sur de jeunes homosexuels masculins de New York, Los Angeles et San Francisco. Sans l’intervention d’un certain Michael Gottlieb, assistant en immunologie de l’UCLA (Université de Californie à Los Angeles), qui orienta dès le départ l’interprétation de ces symptômes vers le décompte des globules blancs et définit une approche générale s’appuyant sur la déficience immunitaire, il est très probable que l’on fût venu à l’explication la plus simple et la plus évidente qui se présentait et était liée au mode de vie de ces jeunes homosexuels ainsi qu’aux drogues aphrodisiaques et autres qu’ils consommaient en quantités astronomiques afin de pouvoir assumer un mode de vie « libéré » qui impliquait d’avoir chaque année des milliers de rapports sexuels avec des partenaires différents. Pour des raisons de contrôle médical, ce syndrome (ensemble indéfini de maladie) fut d’abord baptisé GRID et défini comme une maladie immunodéficitaire touchant les « Gays ». Face aux objections d’une « communauté » homosexuelle qui avait pourtant tendance à utiliser l’effroi causé par cette nouvelle peste comme une sorte de faire-valoir morbide (voire un nouveau « génocide » causé par un rétrovirus homophobe dont ils étaient les victimes ciblées), l’acronyme GRID (jugé trop discriminatif) fut remplacé par celui de SIDA (Syndrome d’ImmunoDéficience Acquise) censé concerner une plus vaste partie de la population. Ce syndrome engloba bientôt un nombre croissant de maladies et fut signalé chez d’autres catégories dites « à risque » telles que les usagers de drogues dures et les hémophiles. Les causes chimiques, toxiques ou nutritionnelles (qui restent pourtant les plus plausibles !) se voyaient de plus en plus écartées au profit d’une cause infectieuse ou microbienne, d’où la croyance généralisée qui s’en est suivie et persiste toujours à l’heure actuelle, en une transmission par voie sexuelle (aussi bien hétérosexuelle qu’homosexuelle) ou sanguine (partage de seringues chez les toxicomanes ou infusions de sang « contaminé » chez les hémophiles).

 

1984, année de tous les dangers…

 

Depuis leur cuisant échec dans la « Guerre contre le Cancer », les virologues (qui avaient le sentiment de constituer « l’élite » de la recherche médicale) avaient besoin de pain sur la planche, aussi se précipitèrent-ils sur la nouvelle occasion qui leur était offerte. C’est donc ainsi que le 23 avril 1984 (année orwélienne !), une conférence de presse (visant à favoriser la prochaine réélection de Ronald Reagan en répondant aux revendications du « lobby » homosexuel) fut tenue par la Secrétaire d’Etat états-unienne à la Santé Margaret Heckler et le Professeur Robert Gallo (un vétéran de la virologie et un escroc notoire) qui annonçaient au monde entier la découverte d’un virus considéré comme la « cause probable du SIDA » et promettait la mise au point d’un vaccin et d’un sérum dans les deux années à venir. Afin de pouvoir présenter « sa » découverte au monde, Gallo avait utilisé à son profit une culture que lui avait gracieusement envoyée le Professeur Luc Montagnier de l’Institut Pasteur de Paris qui prétendait avoir isolé un rétrovirus qu’il avait dénommé LAV (Lymphadenopathy Associated Virus) et dans lequel il voyait une cause possible du SIDA. L’isolement de ce virus (qui avait eu lieu en 1983) demeurait fort sujet à caution et Montagnier lui-même avait été beaucoup moins catégorique que Gallo dans ses affirmations. Il n’empêche que Gallo n’avait pas hésité à s’approprier le travail de Montagnier et l’utiliser sans vergogne afin de pouvoir s’attribuer la découverte du « virus du SIDA ». Ce n’était pas la première malversation de Gallo qui, quelques années auparavant, s’était déjà approprié un virus japonais (sa tricherie avait été démasquée par le fait qu’il avait recopié des erreurs que les Japonais avaient volontairement laissées dans le code génétique de leur virus). Quoi qu’il en soit, le cas présent donna lieu à une action judiciaire intentée par Montagnier à l’encontre de Gallo qui ne se termina qu’après que le président états-unien Reagan et le premier ministre français Chirac eurent contraint les deux intéressés à signer une paix honorable qui faisait d’eux les « co-découvreurs du VIH »…

 

Le test « SIDA »

 

Le jour même de la fameuse conférence de presse de 1984, Robert Gallo avait introduit une demande de brevet pour un test censé dépister la présence du virus HTLV-III (bientôt rebaptisé VIH, c’est-à-dire Virus d’Immunodéficience Humaine) dans le sang en se basant sur la présence d’anticorps prétendument trouvés chez les malades du SIDA, mais sans aucune spécificité prouvée. Ce brevet allait bientôt rapporter des dizaines de millions de dollars à l’inventeur du test mais équivaloir à une sorte de condamnation à mort pour les innombrables personnes qui seraient déclarées « séropositives » à la suite d’un test totalement inepte et dont les résultats sont susceptibles de varier radicalement d’un laboratoire à l’autre, d’un jour à l’autre et même d’un pays à l’autre…

 

La promesse qui avait été faite concernant la mise au point d’un vaccin et d’un sérum dans les deux années qui suivraient ne fut bien sûr pas respectée et, vingt-cinq années plus tard, malgré les sommes colossales consacrées annuellement à la recherche sur le VIH, un tel vaccin n’est pas encore près de voir le jour…En fait, il n’y a aucune raison d’espérer que l’on trouve jamais un vaccin ni un remède quelconque à ce que l’on appelle SIDA car l’hypothèse d’une cause virale de cette « maladie » étant une pure absurdité, toute recherche menée dans cette voie est par conséquent irrémédiablement condamnée à l’échec. Réfléchissons un peu : quelqu’un qui est déclaré « séropositif » à la suite d’un test VIH (et par conséquent supposé développer le SIDA au terme d’une période indéterminée) est en réalité quelqu’un chez qui on aurait (en admettant que le test soit spécifique, ce qui n’est pas le cas) trouvé la présence d’anticorps au VIH. Pour tout autre microbe ou virus, cela signifierait que l’organisme a été, à un moment ou un autre, infecté par ledit microbe ou virus mais qu’il a réagi à cette infection en produisant des anticorps qui ont fini par neutraliser le microbe ou virus.

 

Curieusement, en ce qui concerne le VIH, on ne tient pas compte de cette constatation pourtant évidente : à savoir que la seule période au cours de laquelle le VIH serait en mesure de s’attaquer au système immunitaire et de causer le SIDA en détruisant les globules blancs, ne peut logiquement se situer qu’AVANT sa neutralisation par les anticorps. Or il s’avère que tous les malades du SIDA développent la maladie APRES que le VIH ait été neutralisé par les anticorps. On n’a jamais trouvé de présence du VIH chez une personne dite « séropositive » ni même chez une personne atteinte de SIDA déclaré, mais seulement des anticorps produits par l’organisme à l’encontre du VIH !...Cela signifie donc en réalité qu’au moment où la « séropositivité » est diagnostiquée, il y a déjà un certain temps que le VIH a été neutralisé par les anticorps que le test a permis de découvrir ! Au point de vue logique, l’hypothèse VIH du SIDA représente une sorte de machine infernale de la pensée que la mathématicienne biologiste canadienne Rebecca Culshaw a désignée sous l’appellation de logique circulaire.

 

C’est cette absurdité de la thèse officielle qui a amené le Professeur Peter Duesberg à déclarer, de manière apparemment paradoxale (si l’on tient compte de la signification de l’acronyme VIH) mais tout à fait pertinente quant à l’idée exprimée, que « le VIH n’est en réalité qu’un virus passager inoffensif ». Nous sommes, et avons été depuis la nuit des temps, inondés de virus et, parmi tous ces virus, seule une infime minorité est dangereuse pour l’homme. Qui plus est, contrairement à ce qu’affirment les défenseurs de la doctrine officielle du VIH/SIDA, on n’a jusqu’à présent rencontré aucun rétrovirus qui représente un danger pour l’homme. Rien ne prouve d’ailleurs que la plupart des virus et rétrovirus ne soient pas, au contraire, de quelque façon, indispensables à l’équilibre biologique de notre organisme

 

AZT et pandémie

 

Dans la période qui suivit la fameuse conférence de presse de 1984, comme aucun vaccin, malgré les promesses, ne pointait à l’horizon, il fallut (sous la pression croissante des organisations militantes homosexuelles) parer au plus pressé et trouver dans les plus brefs délais un médicament contre le SIDA. Pour ce faire, on se rabattit sur une molécule appelée Azidothymidine ou AZT, un terminateur de chaîne ADN qui avait été développé deux décennies plus tôt dans le but d’éliminer les cellules cancéreuses mais avait mis immédiatement au rebut par son inventeur car il détruisait aussi indistinctement les cellules saines que les cellules tumorales. Contre un rétrovirus aussi introuvable que le VIH, l’emploi de l’AZT équivalait à jeter une bombe atomique sur une ville entière dans le seul but d’exterminer deux ou trois « terroristes »… A la suite d’on ne sait trop quelle manipulation politicienne, la Food & Drugs Administration (FDA) des Etats-Unis donna pourtant son approbation au « médicament » qui fut distribué à partir de 1987. C’est en fait avec la mise en service de l’AZT que débuta véritablement l’hécatombe que l’on attribue généralement au SIDA.

 

Le 2 octobre 1985, la médiatisation terroriste du « SIDA » avait atteint son plein régime au niveau international avec l’annonce de la mort de l’acteur états-unien Rock Hudson. Peu de temps auparavant, Rock Hudson, qui souffrait d’un sarcome de Kaposi (alors considéré comme une des maladies typiques du SIDA, le SK ne l’est plus actuellement…) particulièrement grave, s’était rendu à l’Institut Pasteur de Paris afin d’y subir un examen. Ayant annoncé la nature de sa maladie devant les journalistes, il fut obligé d’effectuer son voyage de retour vers les Etats-Unis à bord d’un Boeing dont il était le seul passager, tant la terreur qu’engendrait le « SIDA » était devenue effroyable parmi les populations de la planète !

 

Accueillie avec espoir par les « séropositifs » et les communautés dites « à risque », l’introduction de l’AZT à haute dose comme médication contre le SIDA (ou même contre la simple « séropositivité ») marqua le début d’une véritable hécatombe iatrogène (causée par la médecine) qui fut interprétée de toutes parts comme une pandémie galopante dont le sommet fut atteint aux alentours de 1991. C’est en cette période de terreur sidéenne que les décès de diverses personnalités connues dans le domaine du spectacle ou de la culture (Freddie Mercury, Cyril Collard, Rudolf Noureev, Isaac Aasimov, Jean-Paul Aron etc…) furent attribués au SIDA. En réalité, il suffisait alors que quelqu’un ayant été diagnostiqué « séropositif au VIH » par un test vide de sens, soit traité à l’AZT, pour que, sur une période d’un an, son système immunitaire soit complètement détruit par le médicament et qu’il finisse par mourir de l’une ou l’autre « maladie opportuniste » considérée comme « SIDA »…Quoi qu’on ne l’ait jamais avoué officiellement, une telle hécatombe iatrogène n’a pu manquer de provoquer des remous au sein des institutions médicales. Il n’y a que cela qui puisse expliquer la diminution de la dose d’AZT prescrites aux patients et, par conséquent, la baisse de la mortalité imputée au SIDA dans les années qui ont suivi. On est ensuite passé aux trithérapies que l’on a présentées comme un traitement parfait aux effets secondaires minimes, laissant croire par là que l’on était parvenu à écarter l’extension de la pandémie dans les pays industrialisés. Tout cela est évidemment absolument faux car, si la mortalité attribuée au SIDA a considérablement chuté dans les pays industrialisés, ce n’est en aucun cas dû à un résultat quelconque de la recherche « SIDA » mais à une forte diminution des doses de médicaments toxiques dont les effets secondaires désastreux n’ont pas pour autant disparu mais ne sont désormais mortels qu’à beaucoup plus long terme.

 

L’Afrique menacée par le « SIDA »

 

Les prophéties sinistres qui annonçaient qu’en 1985, dans les pays occidentaux, une personne sur cinq serait atteinte du SIDA ne se sont heureusement pas réalisées et les cas relativement rares sont restés limités aux groupes à risques tels les homosexuels ayant un style de vie excessif et les toxicomanes. Le fameux « SIDA » des hémophiles s’est révélé n’être qu’une déficience immunitaire causée par des protéines étrangères contenues dans les facteurs coagulants insuffisamment purifiés qui avaient été jusqu’alors administrés aux patients souffrant de cette maladie. Depuis les années 1970, malgré ces protéines étrangères, les facteurs coagulants avaient considérablement allongé l’espérance de vie des hémophiles et l’hécatombe prétendument attribuée à l’affaire du «  sang contaminé » au début des années 1990 fut en réalité due aux soi-disant diagnostic du VIH chez certains hémophiles et au désastreux traitement à l’AZT qui s’ensuivit. Les hémophiles immunodéficitaires guérirent dès qu’ils furent traités avec des facteurs coagulants parfaitement purifiés. Vu les enjeux économiques qu’elle représente, la propagande SIDA n’a pas cessé pour autant. Elle continue sous la forme de diverses conférences internationales, d’une « journée annuelle mondiale du SIDA », de diverses initiatives baptisées « Sidaction » et de fondations patronnées par des stars ou personnalités du show-business telles que Elisabeth Taylor ou Elton John. Il s’agit avant tout de gigantesques pompes à fric fonctionnant sur la corde émotionnelle et pseudo humanitaire, le marché désormais visé par l’industrie du SIDA se situant désormais dans les pays déshérités, dans le tiers-monde et tout particulièrement en Afrique subsaharienne où un grand nombre de maladies infectieuses ayant existé de tout temps sont à présent rebaptisées « SIDA » lorsque les personnes qui en sont atteintes sont « séropositives » ou que la conjugaison de différents facteurs laisse à penser qu’il pourrait s’agir de « SIDA »… Il en résulte que des sommes colossales sont dirigées vers une recherche qui est tout à fait « à côté de la plaque» dont, rien n'étant sorti depuis vingt-cinq années, il n'y a aucune raison d'espérer que rien sorte un jour. Tout cela au détriment de la lutte contre la malnutrition et les maladies réelles ou encore des mesures d'hygiène élémentaires telles que la fourniture d'eau potable... 

 

Lorsque l'on sait qu’il n’existe pas moins de soixante-dix conditions qui peuvent faire qu’une personne apparaisse « séropositive » lors d’un test VIH sans qu’il n’y ait eu pour autant d’infection par un virus (une femme enceinte peut est diagnostiquée « séropositive » par le seul fait qu’elle soit enceinte), on comprend qu’il puisse y avoir en Afrique des dizaines de millions de personnes « séropositives » sans être pour autant malades ni sujettes à développer un jour le « SIDA ». Si les comportements à risque liés à l’homosexualité et à la toxicomanie sont relativement plus rares en Afrique que dans les pays occidentaux, il n’en est pas de même de conditions telles que l’extrême pauvreté et la malnutrition qui peuvent en elles-mêmes constituer des causes d’immunodéficience sans que l’intervention d’un virus particulier tel que l’hypothétique VIH soit nécessaire. En plus, l’impact de la fantasmagorie sidéenne sur l’imaginaire africain encore imprégné de sorcellerie est souvent cause de frayeur injustifiée et d’ostracisme généralisé à l’encontre des « séropositifs ». Le caractère le plus scandaleux des initiatives pseudo humanitaires et de l’action des ONG qui prétendent lutter contre le « SIDA » en Afrique réside dans le fait qu’au lieu de traiter des maladies classiques pour ce qu’elles sont, on administre aux patients « séropositifs » des traitements anti-rétroviraux aussi inadéquats que toxiques. En outre, le coût extrêmement élevé de ces médicaments de la mort dont on impose l’achat à des pays déshérités constitue en soi une arnaque humanitaire d’un cynisme sans précédent.

 

En 2000, lors de deux conférences qui se sont tenues à Pretoria et à Johannesburg, le Président de l’Afrique du Sud, Thabo Mbeki a osé contester les thèses officielles sur le SIDA et s’opposer à l’achat de médicaments anti-rétroviraux que le Vice-président états-unien Al gore lui proposait à un tarif particulièrement avantageux. Cette attitude courageuse lui a valu d’être comparé à Hitler et accusé de causer la mort de 1000 de ses concitoyens par jour. C’est aussi pour cette raison que la République Sud-africaine fut l’objet, au cours des années qui suivirent, de nombreuses pressions et tracasseries de la part de la très « charitable » Communauté internationale… Et pourtant, cette affirmation selon laquelle l’Afrique subsaharienne serait en train de mourir du SIDA est un mensonge absolu car la population de ce sous-continent ne cesse d’augmenter et la prétendue « lutte contre le SIDA » devrait plutôt être interprétée comme une tentative visant à limiter les populations, voire un génocide larvé…

 

Des « repenseurs » mettent en doute la thèse officielle…

 

Depuis l’annonce officielle de la cause du SIDA par Robert Gallo en 1984, nombreux sont les scientifiques qui ont refusé de croire au dogme qu’est devenue l’hypothèse VIH du SIDA. Ainsi, Peter Duesberg, biologiste moléculaire et cellulaire prestigieux, membre de l’Académie des Sciences des Etats-Unis et titulaire d’un Outstanding Investigator Grant (prix lui permettant de mener toutes les recherches qu’il désirait pendant une durée de sept ans) décerné par le National Institute of Health, s’est vu couper tous ses subsides et se fermer toutes les portes devant lui dès qu’il publia, en 1987, une étude qui jetait le doute sur l’hypothèse VIH du SIDA. Si l’isolement du rétrovirus VIH par Luc Montagnier reste entièrement sujet à caution (bien qu’un récent Prix Nobel ait été décerné à Montagnier et à son assistante Françoise Barré-Sinoussi pour cette découverte contestée), aucune preuve sérieuse de l’existence de ce virus n’a non plus été apportée par la microscopie électronique. C’est ce qu’a démontré depuis longtemps le scientifique belge Etienne de Harven, Professeur Emérite de l’Université de Toronto et ancien président de l’association « Rethinking AIDS » qui regroupe plus de deux mille chercheurs réfutant l’hypothèse VIH du SIDA. Un grand nombre d’ouvrages référenciés ont été et continuent à être publiés par ces scientifiques contestataires mais sont systématiquement ignorés par les médias officiels. Parmi les rares ouvrages disponibles en Français, il faut citer : Dr. Etienne de Harven et Jean-Claude Roussez, Les dix plus gros mensonges sur le SIDA (Edition Dangles, 2005) et Rebecca Culshaw, La Théorie VIH du SIDA, Une incohérence $cientifique! (Editions Marco Pietteur, 2009).

 

Face au potentiel terrorisant de la nouvelle grippe porcine H1N1 qui semble destinée à devenir le « SIDA du vingt-et-unième siècle », la gigantesque supercherie scientifique et arnaque humanitaire, qu’a constitué le VIH/SIDA au cours des 25 dernières années, risque de sombrer rapidement dans l’oubli. Ceci pourrait, si l’on n’y prend garde, confirmer le propos de Karl Marx selon lequel « celui qui ne connaît pas l’histoire est condamné à la revivre… »

                                                                                                P.J.Dunbar.                                                                                                                                                                                

                                                                                                                                                           


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