Mes expériences avec deux avocats (le premier manquant en partie à ses diligences, le deuxième très professionnel) aux prud'hommes de Nanterre et en Appel à Versailles , pour un licenciement sans cause réelle ni sérieuse.
Plus le règlement d'un conflit avec le premier avocat qui avait saisi le bureau de fixation des honoraires de son Ordre.
1 ère instance aux prud'hommes de Nanterre avec Me E. Wedrychowski, Barreau de Paris (2001 - 2003)
· Diligences et conseil insuffisants dans la constitution des pièces du dossier (Plan de licenciement et compte-rendu du CE non joints).
· Me prévient la veille de l'audience de conciliation de son absence,
· Pas de rencontre de l'avocat de la partie adverse qui m'en avait fait la demande
· Retard d'une 1/2 heure à l'audience de jugement, m'obligeant à demander une suspension d'audience au Président.
résultat : le Conseil statue sur ses conclusions étayées par aucune pièce probante et je suis débouté.
Conscient du manque de diligence de cet avocat dans le traitement de mon dossier , je mets fin à sa mission et règle le solde sur la
base de notre convention ( 15 heures à 154,44 € ht/h, soit au total 2.316€ ht)
2 ème instance à la Cour d'Appel de Versailles (2003 - 2004) assisté par le Cabinet de Me Perrault, bâtonnier de l'Ordre à Versailles
Après constitution d'un dossier complet et bien étayé de 42 pièces, la partie adverse propose un règlement transactionnel qui met fin à
mon action contre mon ex employeur. Ceci au coût de
4.300 € d'honoraires d'avocat.
7 ans après ……fin 2010 Me Wedychowski se réveille !
Il saisit le bureau de fixation des Honoraires de l'Ordre pour demander 50 % d'honoraires supplémentaires au prétexte que "je n'ai pas laissé sa mission
aller jusqu'à son terme".
Ce bureau après examen contradictoire des pièces conclut que :
· j'ai à bon droit mis fin à la mission en 1 ère instance de Me Wedrychowski
· Je lui ai réglé la totalité de ses honoraires prévus par notre convention
et déboute Me Wedrychowski !
Conclusions :
1. la Justice, l'Ordre des avocats et beaucoup d'avocats font leur travail, même si cela prends du temps et a un coût pour le demandeur
2. Il faut bien choisir son avocat. Par exemple lui demander ses références et succès (dans des cas similaires au notre) et ses tarifs.
3. Il faut le voir régulièrement pendant toute la durée de la procédure et vérifier avec lui l'avancement du dossier.
G. G
> Message du 12/11/11 12:25
> De : "Guy Goiran"
> A : sn...@googlegroups.com, "'Jo Ourdas'"
> Copie à :
> Objet : RE: {SNAF : 297} victime d'abus de la part d'avocats, peut-on les dénoncer nominativement - droit à l'information
>
>Mes expériences avec deux avocats (le premier manquant en partie à ses diligences, le deuxième très professionnel) aux prud'hommes de Nanterre et en Appel à Versailles , pour un licenciement sans cause réelle ni sérieuse.Plus le règlement d'un conflit avec le premier avocat qui avait saisi le bureau de fixation des honoraires de son Ordre. 1 ère instance aux prud'hommes de Nanterre avec Me E. Wedrychowski, Barreau de Paris (2001 - 2003)· Diligences et conseil insuffisants dans la constitution des pièces du dossier (Plan de licenciement et compte-rendu du CE non joints).· Me prévient la veille de l'audience de conciliation de son absence,· Pas de rencontre de l'avocat de la partie adverse qui m'en avait fait la demande · Retard d'une 1/2 heure à l'audience de jugement, m'obligeant à demander une suspension d'audience au Président.résultat : le Conseil statue sur ses conclusions étayées par aucune pièce probante et je suis débouté. Conscient du manque de diligence de cet avocat dans le traitement de mon dossier , je mets fin à sa mission et règle le solde sur labase de notre convention ( 15 heures à 154,44 € ht/h, soit au total 2.316€ ht) 2 ème instance à la Cour d'Appel de Versailles (2003 - 2004) assisté par le Cabinet de Me Perrault, bâtonnier de l'Ordre à VersaillesAprès constitution d'un dossier complet et bien étayé de 42 pièces, la partie adverse propose un règlement transactionnel qui met fin à mon action contre mon ex employeur. Ceci au coût de 4.300 € d'honoraires d'avocat. 7 ans après ……fin 2010 Me Wedychowski se réveille !Il saisit le bureau de fixation des Honoraires de l'Ordre pour demander 50 % d'honoraires supplémentaires au prétexte que "je n'ai pas laissé sa missionaller jusqu'à son terme". Ce bureau après examen contradictoire des pièces conclut que :· j'ai à bon droit mis fin à la mission en 1 ère instance de Me Wedrychowski· Je lui ai réglé la totalité de ses honoraires prévus par notre conventionet déboute Me Wedrychowski ! Conclusions : 1. la Justice, l'Ordre des avocats et beaucoup d'avocats font leur travail, même si cela prends du temps et a un coût pour le demandeur2. Il faut bien choisir son avocat. Par exemple lui demander ses références et succès (dans des cas similaires au notre) et ses tarifs.3. Il faut le voir régulièrement pendant toute la durée de la procédure et vérifier avec lui l'avancement du dossier. G. G
![]() |
"peut-on les dénoncer nominativement " ?....
Vôtre question réactive la mienne ( qui a été qualifiée de polémique ) , car les dénoncez nominativement entre dans le cas typique de l'e-réputation...
.... ,Rappeler des faits véridiques sans motif légitime dans le seul but de nuire, même si les propos en cause sont conformes à la vérité peuvent être jugés diffamatoires....Concernant vôtre avocat , il y a grand risque que cela soit interprété ainsi , pour les raisons suivantes ......Vous avez ( ou aviez ) , 5 ans pour l'assigner en justice à partir de la fin de son mandat avec vous , afin de faire valoir vos droits légitimes et vôtre perte de chance de gagner vôtre procès dûe aux carences de sa part , passé ce délai , vous ne pouvez plus et ne pourrez plus jamais prétendre démontrer quoi que ce soit de juridiquement valable , MËME SI C EST VRAI , car vous avez ( ou pas ) dépassé ce délai qu'il vous était imparti de façon juridiquement légitime pour le faire .....Cela hélas , risque d'être considéré comme une atteinte à sa réputation , et selon les mots que vous emploierez , il sera retenu soit le dénigrement soit la diffamation .....Ensuite vous ne devez pas nommer la partie adverse , non plus , qui est en cause , si vous consulter http://www.legalis.net/ , vous constaterez , que dans tous les jugements exposés , les parties ne sont JAMAIS nommées entièrement , et ce n'est pas pour rien ;
.... Car même si pour vous , ce n'est pas Nuire mais rétablir vôtre vérité , pour eux ce sera invariablement une atteinte à la réputation , donc ..Nuire ....Tout les problèmes que pose l'e-réputation sont concentrés dans cette notion ..........le droit de diffuser des informations , ( d'en rechercher ou d'en recevoir ) n'inclue pas le droit de toucher à la réputation d'une personne ....
-------Message original-------
Date : 22/11/2011 18:33:23
Sujet : Re: {SNAF : 377} victime d'abus de la part d'avocats, peut-on les dénoncer nominativement - droit à l'information |
![]() |
> Message du 22/11/11 22:49
> De : "laurence...@orange.fr"
> A : sn...@googlegroups.com
> Copie à :
> Objet : {SNAF : 379} , peut-on les dénoncer nominativement - droit à l'information
> Message du 22/11/11 23:25
> De : "Patrick MICHELET"
> A : sn...@googlegroups.com
> Copie à :
> Objet : re: {SNAF : 380} , peut-on les dénoncer nominativement - droit à l'information
![]() |
Patrick , pas 2009 mais 2008 ....
ACTUALITES LEGISLATIVES Prescription en matière civile des actions exercées à l'encontre des avocatsLa réforme de la prescription en matière civile fait passer à cinq ans à compter de la fin de leur mission, le délai de prescription des actions exercées à l'encontre des juges, avocats ou de toute autre personne assistant ou représentant une partie dans une instance, y compris à raison de la perte ou de la destruction des pièces qui leur ont été confiées (C. civ., art. 2225 nouv.)La loi n° 2008-561 du 17 juin 2008 portant réforme de la prescription en matière civile a été publiée au Journal Officiel du 18 juin 2008. Conditions d'application• Les dispositions de la présente loi qui allongent la durée d'une prescription s'appliquent lorsque le délai de prescription n'était pas expiré à la date de son entrée en vigueur. Il est alors tenu compte du délai déjà écoulé (art. 26-I de la loi). • Les dispositions de la présente loi qui réduisent la durée de la prescription s'appliquent aux prescriptions à compter du jour de l'entrée en vigueur de la présente loi, sans que la durée totale puisse excéder la durée prévue par la loi antérieure (art. 26-II). • Lorsqu'une instance a été introduite avant l'entrée en vigueur de la présente loi, l'action est poursuivie et jugée conformément à la loi ancienne. Cette loi s'applique également en appel et en cassation (art. 26-III). -------Message original-------
De : Patrick MICHELET
Date : 22/11/2011 23:28:13
Sujet : re: {SNAF : 381} , peut-on les dénoncer nominativement - droit à l'information |
![]() |
![]() |
J'ai oublié
sur le même site il est précisé concernant les délais de prescriptions de l'ancienne loi , qu'ils étaient de 10 ans
"
Informations complémentaires
• L'ancien art. 2277-1- "L'action dirigée contre les personnes légalement habilitées à représenter ou à assister les parties en justice à raison de la responsabilité qu'elles encourent de ce fait se prescrit par dix ans à compter de la fin de leur mission." est abrogé par Loi 2008-561 du 17 juin 2008 (art. 1) et remplacé par le nouvel art. 2225-1 - "L'action en responsabilité dirigée contre les personnes ayant représenté ou assisté les parties en justice, y compris à raison de la perte ou de la destruction des pièces qui leur ont été confiées, se prescrit par cinq ans à compter de la fin de leur mission." "
-------Message original-------
Date : 22/11/2011 23:59:31
Sujet : {SNAF : 382} , peut-on les dénoncer nominativement - droit à l'information |
![]() |
> Message du 22/11/11 23:59
> De : "laurence...@orange.fr"
> A : sn...@googlegroups.com
> Copie à :
> Objet : {SNAF : 382} , peut-on les dénoncer nominativement - droit à l'information
----- Original Message -----From: Patrick MICHELET
![]() |
Patrick , oui là j'avoue que je n'y comprends rien , et que je " planche " sur ton info , mais excuses-moi d'insister sur le détail suivant , l'ancien délai était de 10 ans et non de 30 ans ,
cela a peut-être son importance quand-même
-------Message original-------
De : Patrick MICHELET
Date : 23/11/2011 01:12:36
Sujet : re: {SNAF : 384} , peut-on les dénoncer nominativement - droit à l'information |
![]() |
cip-idf
--------
Quand le procès d'un chômeur vire au procès de Pôle emploi
22 NOVEMBRE 2011 | PAR MATHIEU MAGNAUDEIX
Etrange audience ce mardi au tribunal correctionnel de Paris. Un chômeur comparaissait pour "outrage à Pôle emploi". Une première. Le procureur n'a pas masqué son embarras et l'audience a viré au procès de... Pôle emploi!
Au moment de plaider, le procureur est un peu embêté. De toute évidence, il semble considérer que cette affaire n'aurait jamais dû atterrir devant la dixième chambre correctionnel du Tribunal de grande instance de Paris.
C'est pourtant bien ce qui est arrivé. Ce mardi 22 septembre, Laurent G., demandeur d'emploi parisien de 50 ans, était convoqué devant la justice. Le prévenu, militant de la Coordination des intermittents et précaires (CIP) d'Ile-de-France, comparaissait pour «outrage à Pôle emploi». En octobre 2009, lors d'une action de ce collectif de chômeurs, Laurent G. aurait traité les agents de l'agence Pôle emploi de Vicq d'Azir (Xe arrondissement de Paris) d'«incompétents, de fainéants» et de «bons à rien». La directrice de l'agence avait porté plainte contre le militant. Plainte alors jugée recevable par le Parquet, qui a donc envoyé Laurent G. en correctionnelle pour «outrage à Pôle emploi, représenté par sa directrice». En droit pénal, l'outrage envers un agent public peut être puni de 7500 euros d'amende et de six mois de prison ferme.
On connaissait l'outrage à agent de police, l'outrage à magistrat, l'outrage au président de la République. Mais selon les associations de défense de chômeurs, «l'outrage à Pôle emploi» est une grande première. Mardi matin, deux ans après les faits, les amis, une vingtaine de militants et sympathisants de la CIP, étaient donc venus soutenir Laurent G. Mais bien vite, l'audience a viré en procès du service public de l'emploi, dont plusieurs témoins se sont appliqués à démontrer la cruelle incapacité de répondre à sa mission d'accompagnement des chômeurs.
Après une affaire de conduite en état d'ivresse sur les Champs-Elysées vite expédiée, Laurent G. est appelé à la barre. Dans sa déposition devant les policiers, la directrice de Pôle emploi affirme qu'il «vient régulièrement avec un groupe d'intermittents pour se plaindre» du travail de Pôle emploi, et qu'il a créé le 19 octobre 2009 un «sentiment d'insécurité» en traitant les agents de noms d'oiseaux. D'une voix calme, Laurent G. se dit «surpris de comparaître aujourd'hui». La CIP, dit-il, s'invite régulièrement dans les agences de Pôle emploi pour faire réviser des dossiers en carafe, accompagner des chomeurs radiés de façon abusive, faire débloquer des allocations non versées. «Oui, j'ai régulièrement critiqué le travail de Pôle emploi, reconnaît Laurent. Mais je n'ai pas outragé Pôle emploi, ni sa directrice.» Un peu plus tard, Laurent G. admettra bien avoir prononcé les mots qu'on lui reproche, mais sans viser un agent en particulier.
«Violence institutionnelle»
Premier témoin cité par la défense, Philippe Sabater, le secrétaire général adjoint du SNU, le principal syndicat de Pôle emploi, décrit une«situation intenable», alors que plus de 4,3 millions de Français sont inscrits au chômage. «Ce qui produit la violence des deux côtés du guichet, c'est la violence institutionnelle créée par la fusion» de l'ANPE et des Assedic, une «funeste erreur» selon lui. Il dénonce les suppressions de poste (2000 équivalents temps plein entre 2010 et 2011), la dégradation des conditions de travail, ou encore la décision récente de communiquer uniquement par Internet avec les demandeurs d'emploi.
«Du coup, les radiations administratives ont augmenté», soutient Philippe Sabater. Chaque mois, 60% des 480.000 sorties de Pôle emploi s'expliquent par des «cessations d'inscription pour défaut d'actualisation», des radiations administratives ou des sorties non expliquées. Le climat est de plus en plus tendu. Il y a quelques semaines, un demandeur d'emploi a pris quelques heures en otages deux responsables d'une agence parisienne. Mais selon la CIP, d'autres actes désespérés et pas médiatisés ont été recensés récemment – un demandeur d'emploi aurait ainsi tenté de se taillader les veines dans une agence de Seine-Saint-Denis pour obtenir une ouverture de droits, et un jeune intermittent menacé de se trancher la gorge dans l'agence Vicq d'Azir (une «action coup de poing» qu'il a même filmée).
Christine, responsable de l'accueil à la permanence de la CIP, se présente à la barre. La militante parle des refus de droits jamais motivés, des demandeurs d'emploi livrés à eux-mêmes quant à leurs droits, des queues qui se forment dans les agences pour parler au serveur vocal, le 3949 – car l'accueil des chômeurs est désormais minuté, et les entretiens en face-à-face sont devenus rarissimes, comme nous l'avons raconté dans une précédente enquête. Le juge l'interrompt d'un sourire las et lui lance une phrase qui montre qu'il n'apprend rien : «On suit la situation en lisant la presse...»
Après un troisième témoignage – une autre militante de la CIP –, Laurent G. revient à la barre. «Je ne sache pas que le droit d'exercer un droit à l'accompagnement des demandeurs d'emploi et de critiquer l'accueil qui leur est fait constitue un outrage!» Le jeune procureur se lève. Il ne masque pas sa gêne. «La poursuite du ministère public – qu'il représente pourtant en tant que magistrat du parquet – me semble d'un fondement juridique fragile», dit-il sans ambages. Et pour cause: le délit d'outrage ne s'applique en effet qu'aux personnes physiques (les agents publics), pas aux personnes morales comme Pôle emploi. En quelques mots, le représentant du Parquet vient de remettre en cause toute la procédure. Fait rare, il ne recommande aucune peine, et s'en prend même à Pôle emploi, dont aucun représentant n'a daigné pointer son nez au tribunal.
«Ce n'est pas si fréquent que le Parquet relève que des poursuites ne sont pas bien fondées légalement», se réjouit à la sortie du tribunal Elise Vallois, l'avocate de Laurent G. Pendant sa plaidoirie, l'avocate avait plaidé le «droit de critiquer l'action politique et administrative sans encourir de poursuite pénale». Visiblement, la justice est du même avis qu'elle. A moins d'une grosse surprise, la relaxe semble la plus probable. Jugement le 13 décembre.
_______________________________________________
------------------------------------------
cip-idf est la liste de débat de la Coordination des Intermittents et Précaires d'ile de france.
http://www.cip-idf.org
> Message du 23/11/11 11:29
> De : lagout...@free.fr
> A : sn...@googlegroups.com
> Copie à :
> Objet : Re: : {SNAF : 399} , peut-on les dénoncer nominativement - droit à l'information
![]() |
Pour la foire d'empoigne , je vous rappelle que ce n'est pas moi qui l'ai faîte , mais ceux qui m'ont répondue " à leur manière " ....Ceci dit vous n'avez pas bien développer vos réponses concernant mes réserves ....Si quand on a compris la notion de diffamation , on peut l'éviter , comment faîtes vous pour éviter la notion de " dénigrement " ...... Au vu des expériences malheureuses de tous , il me semblerait plus judicieux , de décrire et de lister ( par rubriques ) les moyens " malins " employés pour nous flouer , et comme nous avons tous compris ( après coup ) chaque méthode maligne ....(.chacun en fonction de son dossier ) ...nous connaissons après coup , ce qu'il aurait fallu faire .....En s'appuyant sur nos expériences respectives , cette description " technique " et précise , du droit me paraît plus positive et utile à tous , qu'une simple dénonciation nominative des félons .....Ce que les gens veulent , c'est une réponse rapide , précise et concise , face aux cas de figure similaires qu'ils pourraient rencontrer , et non lire d'interminables documents-témoignages , dont ils risquent d'ailleurs de ne pas saisir tout le sens , ...Et ce , non pas parcequ'ils sont idiots , mais parceque la plupart sur le Net lisent ....en diagonale -------Message original-------
De : antoine talens
Date : 23/11/2011 09:20:54
Sujet : Re: {SNAF : 396} victime d'abus de la part d'avocats, peut-on les dénoncer nominativement - droit à l'information |
![]() |
![]() |
Il n'y a peut-être pas de remède ou mode d'emploi absolu et universel , c'est vrai , mais il y a quand même des " signes " avants-coureur qu'il nous appartient à chacun de détecter ., car ..Nous sommes ou avons tous été aveuglés par la confiance légitime qu'ont leur a fait.Ce serait bien de commencer par là et d'essayer d' identifier" les méthodes qu'ils emploient ....
Par exemple ,( ce n'est qu'un exemple) Il me semble qu'au début , ils font " traîner " le dossier ....Au vu de mes expériences , maintenant je sais que dès que le dossier " traîne " , et bien il faut impérativement changer d'avocat , et chaque fois que cela est nécessaire .....Ensuite il y a la manipulations des pièces que vous leur avez confiées , et qu'ils vont jusqu'à soustraire à vôtre insu , mais de telle manière que l'on s'en rend compte au dernier moment , quand il est trop tard .....Aujourd'hui , je pense que toutes les pièces du dossier doivent être listées , décrites et numérotées par un huissier , et donc passer SYSTEMATIQUEMENT PAR UN HUISSIER , lequel lui porte les pièces , dans ces conditions , " ils " ne pourront jamais dire ne pas les avoir eues ...etc etc ...
-------Message original-------
De : jmwieser
Date : 24/11/2011 15:27:46
Sujet : Re: {SNAF : 403} victime d'abus de la part d'avocats, peut-on les dénoncer nominativement - droit à l'information |
![]() |
Xavier Collet
-----Message d'origine-----
From: lagout...@free.fr
Sent: Wednesday, November 23, 2011 11:28 AM
To: sn...@googlegroups.com
Subject: Re: : {SNAF : 399} , peut-on les dénoncer nominativement - droit à
l'information
Bonjour,
cip-idf
--------
«Violence institutionnelle»
_______________________________________________
--
1- je ne lis plus vos mails comme je vous l'ai écris.
2- vous interferez dans MES procédures, c'est inadmissible, je vous l'ai écris.
3- je ne prendrais d'instructions de vous, que lorsque cela ME semblera utile
4- et quant vous vous serez mis à jour des honoraires avec mon cabinet
Dernier averitssement, ma patience à ses limites.
M°JL CHARDAYRE
> Message du 30/11/11 21:38
> De : "Patrick MICHELET"
> A : "Maître CHARDAYRE"
> Copie à :
> Objet : re: Ensemble des dossiers
>
> J'ajoute aussi à mes demandes récapitulatives la demande d'intervention forcée du chef comptable ou de l'expert comptable de gessy verne
à qui j'ai écrit à 3 reprises personnellement depuis juin 2011 et qui ne répondant pas à ces courriers c'est qu'il a forcément des choses à
cacher sachant que normalement les comptables ont une autonomie et peuvent se désolidariser des agissements délinquants de leurs clients.
Pour l'heure, la responsabilité pénale de l'expert comptable de GESSY VERNE est engagée car il faudra bien savoir un jour pourquoi on m'a fait repayé 2 fois la somme de 1013,22 euros.
D'après le décret du 28 décembre 2005, le Juge de la Mise en Etat a parfaitement tous ces pouvoirs,
notamment inviter les parties à mettre en cause les tiers. Ce que j'avais pourtant déjà démandé avant le jugement désastreux du 25 Aout
2011, notamment l'intervention forcée de Me BLIGNY et dont à ce jour vous ne m'avez toujours pas fourni d'explications sur le fait d'avoir
ignoré cette demande.
Je demande dès ce jour au JME de considérer que d'après les faits très graves constatés ces mesures seront nécessaires avant
l'audience du 13 décembre 2011, il est en effet hors de question que je refasse les frais d'un jugement bâclée comme celui du 25 Aout 2011
et où la Juge m'a même qualifié de gros moollâsson qui montre "peu d'empressement à défendre sa cause",
Bien à vous.
Cordialement.
P.M."
----- Original Message -----From: Patrick MICHELET
--
> Message du 01/12/11 10:53
> De : "jmwieser"
> A : sn...@googlegroups.com
> Copie à :
> Objet : Re: {SNAF : 406} escroquerie en direct par un avocat
----- Mail Original -----
De: "collet xavier" <collet...@aliceadsl.fr>
À: sn...@googlegroups.com
Envoyé: Jeudi 1 Décembre 2011 09h12:57 GMT +01:00 Amsterdam / Berlin / Berne / Rome / Stockholm / Vienne
Objet: {SNAF : 404} fonctionnaires fainéants
> Message du 15/12/11 08:58
> De : collet...@aliceadsl.fr
> A : sn...@googlegroups.com
> Copie à :
> Objet : Re: {SNAF : 418} escroquerie en direct par un avocat