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Queneau par ci, Queneau par la.

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Frederic Devernay

unread,
Jun 11, 1992, 7:49:38 PM6/11/92
to
Oyez oyez braves gens,

A la demande ge'ne'rale, et pour e'viter le de'bordement de ma boi^te a`
lettres e'le'ctronique, voici pour vous quelques poemes de Queneau.
L'ensemble est constitue' de deux parties, la premie`re e'tant le programme
e'crit en langage C et permettant de feuilleter de recueil de poemes, et
la seconde e'tant le texte des dix sonnets de base.

Pour ce qui est du programme C, les seules fonctions non standard peuvent
e^tre celles servant a` la ge'ne'ration de nombres ale'atoires (dans main()).

Tout ce qu'il vous reste a` faire est de de'couper suivant les pointile's.

Fre'de'ric

(au fait je veux bien vous donner les poe`mes mais je veux la Marseillaise en
e'change)

=============================================================================
fichier "poeme.c"
------------------------decoupez suivant les pointille's---------------------
/*
* 100.000.000.000.000 de poemes
* par Raymond Queneau
*
* version electronique : Frederic Devernay
* deve...@uirvld.csl.uiuc.edu
* deve...@poly.polytechnique.fr
*/

#include <stdio.h>

typedef char vers[80]; /* un vers = 80 caracteres au plus */
typedef vers sonnet[14]; /* un sonnet = 14 vers */

sonnet poemes[10]; /* les 10 poemes */
int comb[14]; /* une combinaison des 10 poemes */
vers auteur, titre, titre2, citation, aut_citation;
char *retour;

poete()
{
int i,j;

for(i=0;i<14;i++) {
comb[i]=(random() % 10);
}
printf("%s%s%s%s.\n%s%s%s%s.\n%s%s%s.\n%s%s%s", \
poemes[comb[0]][0], \
poemes[comb[1]][1], \
poemes[comb[2]][2], \
poemes[comb[3]][3], \
poemes[comb[4]][4], \
poemes[comb[5]][5], \
poemes[comb[6]][6], \
poemes[comb[7]][7], \
poemes[comb[8]][8], \
poemes[comb[9]][9], \
poemes[comb[10]][10], \
poemes[comb[11]][11], \
poemes[comb[12]][12], \
poemes[comb[13]][13]);
}

readfile()
{
FILE *queneau;
int i,j;
char rien;

queneau = fopen("dixsonnets", "r");
fgets(auteur,80,queneau);
fgets(titre,80,queneau);
fgets(titre2,80,queneau);
fgets(citation,80,queneau);
fgets(aut_citation,80,queneau);
for (i=0; i<10; i++) {
for (j=0; j<14; j++) {
fgets(poemes[i][j],80,queneau);
}
fgets(&rien,2,queneau);
}
}

main()
{
FILE *graine;
int semence;

graine = fopen("graine","r");
fscanf(graine,"%d",&semence);
fclose(graine);

srandom(semence);
retour = (char *)malloc(3);
retour[0]=' ';
retour[1]=0;
readfile();
poete();
graine = fopen("graine","w");
fprintf(graine,"%d\n",(int)random());
fclose(graine);
}
------------------------decoupez suivant les pointille's-----------------------
fichier "dixsonnets"
remarque : la citation de Tu"ring e'tait dans l'original.
------------------------decoupez suivant les pointille's---------------------
Raymond Queneau
Cent mille milliards de poe`mes
100.000.000.000.000 de poe`mes
"Seule une machine peut appre'cier un sonnet e'crit par une autre machine".
(Tu"ring)
Le roi de la pampa retourne sa chemise
pour la mettre a` se'cher aux cornes des taureaux
le corne'dbif en boi^te empeste la remise
et fermentent de me^me et les cuirs et les peaux
Je me souviens encor de cette heure exeuquise
les gauchos dans la plaine agitaient leur drapeaux
nous avions aussi froids que nus sur la banquise
lorsque pour nous distraire y plantions nos tre'teaux
Du po^le a` Rosario fait une belle trotte
aventures on eut qui s'y pique s'y frotte
lorsqu'on boit du mate' l'on devient argentin
L'Ame'rique du Sud se'duit les e'quivoques
exaltent l'espagnol les oreilles baroques
si la cloche se tait et son terlintintin

Le cheval Parthe'non s'e'nerve sur sa frise
depuis que lord Elgin ne'gligea ses naseaux
le Turc de ce temps-la` pataugeait dans sa crise
il chantait tout de me^me oui mais il chantait faux
Le cheval Parthe'non frisonnait sous la bise
du client londonien ou` s'e'battent les beaux
il grelottait le pauvre aux bords de la Tamise
quand les gre^lons fin mars mitraillent les bateaux
La Gre`ce de Platon a` coup su^r n'est point sotte
on comptait les esprits ace're's a` la hotte
lorsque Socrate mort passait pour un lutin
Sa sculpture est illustre et dans le fond des coques
on transporte et le marbre et de'bris et de'froques
si l'Europe le veut l'Europe ou son destin

Le vieux marin breton de tabac prit sa prise
pour du fin fond du nez exciter les arceaux
sur l'antique bahut il choisit sa cerise
il n'avait droit qu'a` une et le jour des Rameaux
Souvenez-vous amis de ces i^les de Frise
ou` venaient par milliers s'e'chouer les harenceaux
nous regrettions un peu ce tas de marchandise
lorsqu'on voyait au loin flamber les arbrisseaux
On se`che le poisson dorade ou molve lotte
on sale le requin on fume a` l'e'chalotte
lorsqu'on revient au port en essuyant un grain
Enfin on vend le tout homards et salicoques
on s'excuse il n'y a ni baleines ni phoques
le mammife`re est roi nous sommes son cousin

C'e'tait a` cinq o'clock que sortait la marquise
pour consommer un the' puis des petits ga^teaux
le chauffeur indige`ne attendait dans la brise
elle soufflait bien fort par dessus les co^teaux
On e'tait bien surpris par cette plaine grise
quand se carbonisait la fureur des cha^teaux
un audacieux baron empoche toute accise
lorsque vient le pompier avec ses grandes eaux
Du Gange au Malabar le lord anglais zozotte
comme a` Chandernagor le manant sent la crotte
le colonel s'e'ponge un blason dans la main
Ne fallait pas si loin agiter ses breloques
les Indes ont assez sans c,a de pendeloques
l'e'cu de vair ou d'or ne dure qu'un matin

Du jeune avantageux la nymphe e'tait e'prise
snob un peu sur les bords des bords fondamentaux
une toge il portait qui n'e'tait pas de mise
des narcisses on cueille ou bien on est des veaux
Quand on prend des photos de cette tour de Pise
d'ou` Galile'e jadis jeta ses petits pots
d'une e'trusque inscription la pierre e'tait incise
les Grecs et les Romains en vain cherchent leurs mots
L'esprit souffle et resouffle au-dessus de la botte
le touriste a` Florence ignoble charibotte
l'autocar e'crabouille un peu d'esprit latin
Les rapports transalpins sont-ils biunivoques ?
les banquiers d'Avignon changent-ils les bai"oques ?
le Beaume et le Chianti sont-ils le me^me vin ?

Il se penche il voudrait attraper sa valise
que convoitait c'est su^r une horde d'escrocs
il se penche et alors a` sa grande surprise
il ne trouve aussi sec qu'un sac de vieux fayots
Il de'plore il de'plore une telle mainmise
qui se plai^t a` flouer de pauvres provinciaux
aller a` la grand ville est bien une antreprise
elle effraie le Berry comme les Morvandiaux
Devant la boue urbaine on retrousse sa cotte
on gifle le marmot qui plonge sa menotte
lorsqu'il voit la gadoue il cherche le purin
On regrette a` la fin les agrestes bicoques
on mettait sans fac,on ses plus infectes loques
mais on n'aurait pas vu le me'tropolitain

Quand l'un avecque l'autre aussito^t sympathise
se faire il pourrait bien que ce soit des jumeaux
la de'couverte alors voila` qui traumatise
on espe`re toujours e^tre de vrais normaux
Et pourtant c'e'tait lui le fre`re de feintise
qui clochard devenant jetait ses oripeaux
un fre`re me^me bas est la part inde'cise
que les parents fe'conds offrent aux purs berceaux
Le ge'ne'alogiste observe leur bouillotte
gratter le parchemin deviendra sa marotte
il voudra retrouver le germe adulte'rin
Fre`re je te comprends si parfois tu de'bloques
fre`re je t'absoudrai si tu m'emberlucoques
la ge'mellite' vraie accuse son destin

Lorqu'un jour exalte' l'ae`de prosai"se
pour de'plaire au profane aussi bien qu'aux idiots
la critique lucide aperc,oit ce qu'il vise
il donne a` sa tribu des cris aux sens nouveaux
L'un et l'autre a raison non la foule insoumise
le vulgaire s'ente^te a` vouloir des vers beaux
l'un et l'autre ont raison non la foule impre'cise
a` tous n'est pas donne' d'aimer les chocs verbaux
Le poe`te inspire' n'est point un polyglotte
une langue suffit pour emplir sa cagnotte
me^me s'il prend son sec au celte c'est son bien
Barde que tu me plais toujours tu soliloques
tu me stupe'fies plus que tous les ventriloques
le me'tromane a` force incarne le devin

Le marbre pour l'acide est une friandise
d'aucuns par dessus tout prisent les escargots
sur la place un forain de feu se gargarise
qui sait si le requin boulotte les turbots?
Du voisin le Papou suc,ote l'apophyse
que n'a pas de'vore' la horde des mulots?
le gourmet en salade avale la cytise
l'enfant pur aux yeux bleus aime les berlingots
Le loup est amateur de coq et de cocotte
le chat fait un festin de te^tes de linottes
le chemin vicinal se nourrit de crottin
On a bu du pinard a` toutes les e'poques
grignoter des bretzels ditrait bien des colloques
mais rien ne vaut grille' le morceau de boudin

Lorsque tout est fini lorsque l'on agonise
lorsque le marbrier astique nos tombeaux
des e^tres inde'cis vous parlent sans franchise
et tout vient signifier la fin des haricots
On vous fait devenir une orde marchandise
on pre'pare la route aux penseurs se'pulcraux
de la mort on vous greffe une orde ba^tardise
la mite a grignote' tissus os et rideaux
Le brave a beau crier ah cre' nom saperlotte
le la^che peut arguer de sa mine pa^lotte
les croque-morts sont la` pour se mettre au turbin
Cela conside'rant o^ lecteur tu suffoques
comptant tes abattis lecteur tu te disloques
toute chose pourtant doit avoir une fin

Patrick HURT

unread,
Jun 12, 1992, 3:52:46 PM6/12/92
to
A propos du programme de Frederic Devernay sur les poemes de Queneau:

Juste un truc pour que ca marche, pour ceux qui ne lisent pas
C dans le texte. Il faut, pour la premiere execution, creer un
fichier "graine", contenant un entier (integer), n'importe lequel
(enfin je pense) pour amorcer la randomisation. Moi, j'ai mis 12,
je sais pas pourquoi, mais ca marche. Ca marche tres bien d'ailleurs,
bravo Frederic!


Ch. de Sainte Marie

unread,
Jun 12, 1992, 3:48:35 PM6/12/92
to
In article <l3fpki...@roundup.crhc.uiuc.edu> deve...@vision.csl.uiuc.edu (Frederic Devernay) writes:
> A la demande ge'ne'rale, et pour e'viter le de'bordement de ma boi^te a`
>lettres e'le'ctronique, voici pour vous quelques poemes de Queneau.

J'ai rien contre Queneau, a vrai dire j'aime meme assez (dans les Exercices
de Style, celui en latin macaronique me fait a chaque fois tordre : "et
sessedit la!" Arghh...), ni contre les copies electroniques (moi j'aime mieux
lire des livres que des consoles, mais bon, je suis desesperement pas moderne,
qu'est-ce que vous voulez. Meme la petite liste de Naji, je l'imprime pour la
lire), mais je me demandais, comme ca, quel pouvait bien etre le statut de
telles diffusions vis-a-vis du copyright (droit de copie, en francais;
comme on dit `droit de douane', pas `droit fondamental des chouettes
hulottes a lire Queneau dans le texte'; enfin je pense)? Just wondering...

Je profite de ce que je vous ecris pour vous faire part d'une pensee qui
m'est venue, la, subrepticement : j'ai jete un oeil distrait sur le
programme de Fred (c'est pas possible, ils s'appellent tous Fred, ou quoi?
comment voulez-vous qu'on s'y reconnaisse, apres. Fred le quenellectronicien,
que c'est, celui dont je parle), avant de le jeter (pas Fred, le programme),
et il m'a semble qu'il construisait ses pouames en melangeant aleatoirement
les vers a l'autre queneau, l'oulipien.

Or l'autre queneau, celui en papier, ne se melange pas completement
aleatoirement, pour ce que le papier est moins aisement aleatoire que les bits.
Sous forme papetiere (ou biblique, si vous preferez), ca se presente comme
14 livres superposes, contenant chacun dix pages d'une ligne; ou bien
un livre de dix pages de quatorze lignes, chaque page etant decoupee en
quatorze tranches horizontales, une par ligne (si vous etes pas trop maladroit).

Bref, pour lire un pouame, vous ouvrez au hasard le livre du haut, celui des
premiers vers, puis celui des seconds, etc; c'est amusant, instructif, poetique
et tout et tout. Assez fragile, aussi. Ca fait tres exactement 1000000000000
de pouames. Si vous melangez aleatoirement les vers, ca fait plus. Mais ils
sont moins bons (enfin, j'espere). J'ai cru comprendre que c'etait ca que
faisait l'autre fred, le quenellectronique; c'est pour ca qu'il est moins
bon poate, et consequement inconnu. C'est bien fait pour sa gueule.

Mais peut-etre que je me trompe. Ca arrive...

(oubliez pas ma question, celle sur les statues)

--
Ch. de Sainte Marie - 3A.S.I. ltd - 4, rue Chanaron - 38000 Grenoble - FRANCE
LIFIA - 46, av. Felix Viallet - 38031 Grenoble - FRANCE
cs...@lifia.imag.fr
Disclaimer : I am the company ``C'est ephemere et c'est moi...''

Frederic Devernay

unread,
Jun 13, 1992, 9:14:16 PM6/13/92
to
Bonjour,
Il me semble que quand on me traite de sous-m... et de mauvais plagieur, je
peux user de mon droit de reponse.

cs...@imag.fr (Ch. de Sainte Marie) writes:

>Je profite de ce que je vous ecris pour vous faire part d'une pensee qui
>m'est venue, la, subrepticement : j'ai jete un oeil distrait sur le
>programme de Fred (c'est pas possible, ils s'appellent tous Fred, ou quoi?
>comment voulez-vous qu'on s'y reconnaisse, apres. Fred le quenellectronicien,
>que c'est, celui dont je parle), avant de le jeter (pas Fred, le programme),
>et il m'a semble qu'il construisait ses pouames en melangeant aleatoirement
>les vers a l'autre queneau, l'oulipien.

Je vois qu'il y a encore des soit-disant informaticiens qui pretendent
comprendre un programme au premier coup d'oeil et sans meme le compiler
et le faire tourner. J'ai pourtant essaye de faire un programme simple,
court et comprehensible si possible meme par un debutant. Le programme
suit exactement la regle qu'avait imposee Queneau pour la composition
de ses poemes, et si j'ai ecrit ce programme c'est parce que le livre
original (sorti chez nrf-flamarion) est tres joli mais aussi fragile et
peu pratique d'emploi. Il fallait en effet beaucoup d'adresse pour compo-
ser un poeme _vraiment_ aleatoirement.

>Bref, pour lire un pouame, vous ouvrez au hasard le livre du haut, celui des
>premiers vers, puis celui des seconds, etc; c'est amusant, instructif, poetique
>et tout et tout.

C'est bien a defaut d'avoir compris comment fonctionne le programme tu as
compris comment te servir du bouquin.

>Si vous melangez aleatoirement les vers, ca fait plus. Mais ils
>sont moins bons (enfin, j'espere). J'ai cru comprendre que c'etait ca que
>faisait l'autre fred, le quenellectronique;

Bon tu n'as toujours pas compris, mais enfin je vais peut-etre arreter de me
repeter.

>c'est pour ca qu'il est moins
>bon poate, et consequement inconnu. C'est bien fait pour sa gueule.
>Mais peut-etre que je me trompe. Ca arrive...

Je trouve ca dommage d'insulter quelqu'un de cette facon, alors qu'il n'a
fait aucune faute, et en plus publiquement. Et permet-moi de te dire que
vu le genre de choses que tu postes ici et tes reflexions sans interet,
tu ne dois pas etre meilleur poete que moi. (je me trouve gentil aujourd'hui)

Frederic Devernay________________...@uirvld.csl.uiuc.edu
| "Froid de novembre, cache ton membre"(P.Desproges) |
| "Si vous avez quelque chose a repondre, soyez plus fin que Ch. de Sainte |
| Marie"(F.Devernay, maitre du monde) |
|___________________________________________________________________________|

Mark Rosenfelder

unread,
Jun 17, 1992, 4:27:29 PM6/17/92
to
Dans l'article <l3fpki...@roundup.crhc.uiuc.edu> deve...@vision.csl.uiuc.edu
(Frederic Devernay) nous donne un programme qui produit les poemes
combinatoires de Queneau.

Je me suis demande toujours pourquoi les programmateurs francais supportent
la tyrranie des langages informatiques dont les commandes sont en anglais.
Ne faut-il pas que les programmes soient faciles a comprendre?

Heureusement le langage C offre la capacite de corriger la situation. Voici:

#define Jtdis /*
#define hein */
#define ben {
#define quoi }
#define repeter for
#define ecrire printf
#define FICHIER FILE
#define fouvrir fopen
#define ffermer fclose
#define fligne fgets
#define fecrire fprintf
#define flire fscanf

Jtdis


* 100.000.000.000.000 de poemes
* par Raymond Queneau
*
* version electronique : Frederic Devernay
* deve...@uirvld.csl.uiuc.edu
* deve...@poly.polytechnique.fr

hein

#include <stdio.h>

typedef char vers[80]; Jtdis un vers = 80 caracteres au plus hein
typedef vers sonnet[14]; Jtdis un sonnet = 14 vers hein

sonnet poemes[10]; Jtdis les 10 poemes hein
int comb[14]; Jtdis une combinaison des 10 poemes hein

vers auteur, titre, titre2, citation, aut_citation;
char *retour;

poete() Jtdis creer un seule poeme en combinant des vers du fichier source hein
ben
int i,j;

repeter( i=0; i<14; i++) ben

comb[i]=(random() % 10);

quoi
ecrire("%s%s%s%s.\n%s%s%s%s.\n%s%s%s.\n%s%s%s", \


poemes[comb[0]][0], \
poemes[comb[1]][1], \
poemes[comb[2]][2], \
poemes[comb[3]][3], \
poemes[comb[4]][4], \
poemes[comb[5]][5], \
poemes[comb[6]][6], \
poemes[comb[7]][7], \
poemes[comb[8]][8], \
poemes[comb[9]][9], \
poemes[comb[10]][10], \
poemes[comb[11]][11], \
poemes[comb[12]][12], \
poemes[comb[13]][13]);

quoi

lirefichier() Jtdis lire le fichier contentant les sonnets hein
ben
FICHIER *queneau;
int i,j;
char rien;

queneau = fouvrir("dixsonnets", "r");
fligne(auteur,80,queneau);
fligne(titre,80,queneau);
fligne(titre2,80,queneau);
fligne(citation,80,queneau);
fligne(aut_citation,80,queneau);
repeter (i=0; i<10; i++) ben
repeter (j=0; j<14; j++) ben
fligne(poemes[i][j],80,queneau);
quoi
fligne(&rien,2,queneau);
quoi
quoi

main() Jtdis lire les fichiers, puis imprimer un poeme hein
ben
FICHIER *graine;
int semence;

graine = fouvrir("graine","r");
flire(graine,"%d",&semence);
ffermer(graine);

srandom(semence);
retour = (char *)malloc(3);
retour[0]=' ';
retour[1]=0;

lirefichier();
poete();
graine = fouvrir("graine","w");
fecrire(graine,"%d\n",(int)random());
ffermer(graine);
quoi

Jtdis mes apologies, M. Devernay hein

Jean-Marc Vezien

unread,
Jun 17, 1992, 5:09:59 PM6/17/92
to
>Je me suis demande toujours pourquoi les programmateurs francais supportent
>la tyrranie des langages informatiques dont les commandes sont en anglais.
>Ne faut-il pas que les programmes soient faciles a comprendre?

Apres avoir lu cette hallucinante tentative,

Jtdis ARGGGGGLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL hein.

je propose: #define { }
histoire de rendre le programme encore plus lisible.

JM.

Olivier Ricou

unread,
Jun 18, 1992, 5:31:33 AM6/18/92
to
Je comprends ton idee de traduire les commandes du langage utilise, mais
personnellement je prefere garder la version anglaise. Cela rend mes
programmes plus lisibles : les commandes en anglais, les variables en
francais.

Tout simplement,


Olivier.

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