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LES CONCLUSIONS ABSURDES DE LA THÉORIE DÉDUCTIVE

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Pentcho Valev

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Apr 27, 2011, 9:45:04 AM4/27/11
to
http://agenda.ipc.univ-paris-diderot.fr/spip.php?article95
Etienne Klein: "La chose est devenue d'autant plus urgente que les
idées relativistes - et même absolument relativistes - gagnent du
terrain : on accuse désormais la science d'avoir pris le pouvoir grâce
à des arguments d'autorité, et non parce qu'elle aurait un lien
privilégié avec le « vrai ». Une anecdote personnelle, qu'on me
permettra de raconter, m'a fait récemment prendre conscience de cette
situation. Un jour, au terme d'un cours donné devant des élèves-
ingénieurs, alors que je venais de terminer au tableau un calcul de
relativité montrant que la durée d'un phénomène n'est pas la même pour
tous les observateurs, un jeune homme demanda la parole : « Monsieur,
personnellement, je ne suis pas d'accord avec Einstein ! ». J'imaginai
qu'il allait défendre une théorie alternative, donner des éléments
pour remettre en selle l'idée d'un éther luminifère qu'Einstein avait
mise à mort, bref qu'il allait argumenter. Je l'invitai donc à
s'expliquer : « Je ne crois pas à cette dilatation des durées que vous
venez de calculer, se contenta-t-il de répondre, parce que je ne la...
sens pas ! ». Ce jeune homme avait donc suffisamment confiance dans
ses intuitions et sa subjectivité pour penser qu'elles lui
permettaient de contester un résultat que près d'un siècle
d'expérimentation et d'objectivation avait permis de valider..."

Ce jeune homme avait des exigences CULTURELLES: "Sentir" une théorie
déductive veut dire vérifier si sa logique est valide et si ses
conclusions ne sont pas absurdes (si elles le sont, un postulat doit
être faux). Les preuves expérimentales ne satisfont pas aux exigences
culturelles - elles ne concernent que le coté PRAGMATIQUE de la
théorie. Si Etienne Klein était un professeur honnête, il analyserait
avec l'étudiant les conclusions les plus absurdes de la même théorie:

http://www.youtube.com/watch?v=VSRIyDfo_mY&mode=related&search
Einsteinians trap long trains inside short tunnels

http://math.ucr.edu/home/baez/physics/Relativity/SR/barn_pole.html
"These are the props. You own a barn, 40m long, with automatic doors
at either end, that can be opened and closed simultaneously by a
switch. You also have a pole, 80m long, which of course won't fit in
the barn. Now someone takes the pole and tries to run (at nearly the
speed of light) through the barn with the pole horizontal. Special
Relativity (SR) says that a moving object is contracted in the
direction of motion: this is called the Lorentz Contraction. So, if
the pole is set in motion lengthwise, then it will contract in the
reference frame of a stationary observer.....So, as the pole passes
through the barn, there is an instant when it is completely within the
barn. At that instant, you close both doors simultaneously, with your
switch. Of course, you open them again pretty quickly, but at least
momentarily you had the contracted pole shut up in your barn. The
runner emerges from the far door unscathed.....If the doors are kept
shut the rod will obviously smash into the barn door at one end. If
the door withstands this the leading end of the rod will come to rest
in the frame of reference of the stationary observer. There can be no
such thing as a rigid rod in relativity so the trailing end will not
stop immediately and the rod will be compressed beyond the amount it
was Lorentz contracted. If it does not explode under the strain and it
is sufficiently elastic it will come to rest and start to spring back
to its natural shape but since it is too big for the barn the other
end is now going to crash into the back door and the rod will be
trapped IN A COMPRESSED STATE inside the barn."

http://master-p6.obspm.fr/relat/annee1011/relatTD1_1011.pdf
Université Pierre et Marie Curie
"La situation est la suivante : un perchiste se saisit d'une perche
mesurant 10 m, puis il s'élance en direction d'une grange mesurant 5 m
de profondeur et percée de deux portes A et B (cf fig. 0.1). On
suppose que le perchiste se déplace à une vitesse constante v telle
que gamma = 2. Le paradoxe est le suivant : le perchiste a une perche
de 10 m et voit une grange de longueur 5/gamma = 2,5 m, donc la perche
ne rentre pas. De son côté, la grange voit une perche de longueur 10/
gamma = 5 m, donc la perche rentre. Finalement, est-ce que la perche
rentre dans la grange ? Que se passe-t-il si on ferme la porte en B?
(...) ...lorsque le bout P atteint la porte fermée en B, l'autre bout
de la barre n'est pas encore au courant et la perche se contracte très
fortement, jusqu'à ce que l'information que B est fermée se propage,
via des ondes acoustiques, le long de la barre jusqu'en P."

http://www.quebecscience.qc.ca/Revolutions
"Cependant, si une fusée de 100 m passait devant nous à une vitesse
proche de celle de la lumière, elle pourrait sembler ne mesurer que 50
m, ou même moins. Bien sûr, la question qui vient tout de suite à
l'esprit est: «Cette contraction n'est-elle qu'une illusion?» Il
semble tout à fait incroyable que le simple mouvement puisse comprimer
un objet aussi rigide qu'une fusée. Et pourtant, la contraction est
réelle... mais SANS COMPRESSION physique de l'objet! Ainsi, une fusée
de 100 m passant à toute vitesse dans un tunnel de 60 m pourrait être
entièrement contenue dans ce tunnel pendant une fraction de seconde,
durant laquelle il serait possible de fermer des portes aux deux
bouts! La fusée est donc réellement plus courte. Pourtant, il n'y a
PAS DE COMPRESSION matérielle ou physique de l'engin. Comment est-ce
possible?"

http://alcor.concordia.ca/~scol/seminars/conference/abstracts/Durand.html
"La contraction une longueur est un phénomène à la fois réel mais sans
déformation structurelle. C'est un phénomène réel (et non pas une
illusion) car, par exemple, une perche dont la longueur au repos est
plus grande que la longueur au repos d'une grange peut réellement être
contenue dans cette dernière si elle se déplace assez rapidement. Par
contre, il ne peut y avoir de contraction structurelle de la perche,
i.e de déformation matérielle de l'objet, car la contraction de sa
longueur aurait aussi lieu si c'était plutôt l'observateur qui se
mettait en mouvement sans changer l'état de mouvement de la perche.
Autrement dit, sans changer l'état de la perche, en se mettant soi-
même en mouvement, on change sa longueur: ce n'est donc clairement pas
une contraction matérielle (l'état de la perche est le même dans les
deux cas)."

http://hyperphysics.phy-astr.gsu.edu/Hbase/Relativ/bugrivet.html
"The Bug-Rivet Paradox": Le "bug" est à la fois écrasé (selon
l'observateur dans le référentiel du "rivet") et non écrasé.

REDUCTIO AD ABSURDUM: Les conclusions absurdes de la relativité
restreinte montrent que le principe de la constance de la vitesse de
la lumière avancé par Einstein en 1905 est FAUX.

Pentcho Valev
pva...@yahoo.com

Stamenin

unread,
Apr 27, 2011, 11:03:35 PM4/27/11
to
> http://alcor.concordia.ca/~scol/seminars/conference/abstracts/Durand....

> "La contraction une longueur est un phénomène à la fois réel mais sans
> déformation structurelle. C'est un phénomène réel (et non pas une
> illusion) car, par exemple, une perche dont la longueur au repos est
> plus grande que la longueur au repos d'une grange peut réellement être
> contenue dans cette dernière si elle se déplace assez rapidement. Par
> contre, il ne peut y avoir de contraction structurelle de la perche,
> i.e de déformation matérielle de l'objet, car la contraction de sa
> longueur aurait aussi lieu si c'était plutôt l'observateur qui se
> mettait en mouvement sans changer l'état de mouvement de la perche.
> Autrement dit, sans changer l'état de la perche, en se mettant soi-
> même en mouvement, on change sa longueur: ce n'est donc clairement pas
> une contraction matérielle (l'état de la perche est le même dans les
> deux cas)."
>
> http://hyperphysics.phy-astr.gsu.edu/Hbase/Relativ/bugrivet.html
> "The Bug-Rivet Paradox": Le "bug" est à la fois écrasé (selon
> l'observateur dans le référentiel du "rivet") et non écrasé.
>
> REDUCTIO AD ABSURDUM: Les conclusions absurdes de la relativité
> restreinte montrent que le principe de la constance de la vitesse de
> la lumière avancé par Einstein en 1905 est FAUX.
>
> Pentcho Valev
> pva...@yahoo.com

This question is amesingly repeted so many times!? And untill now the
comentators Pentcho Valev and Etienne Klein couldn't find any better
explanation. This situation reminds me with a farmer looking in plane
in the sky, exclaimed: now it is clear to me how the kidnappers
kidnappe the planes up in the sky. Evidently they steal them when they
bicome so small that they put them in theirs pokits. And the autors
pretend that they critisaze the Einstein Relativity!!!

Pentcho Valev

unread,
Apr 28, 2011, 1:57:33 AM4/28/11
to
http://agenda.ipc.univ-paris-diderot.fr/spip.php?article95
Etienne Klein: "La chose est devenue d'autant plus urgente que les
idées relativistes - et même absolument relativistes - gagnent du
terrain : on accuse désormais la science d'avoir pris le pouvoir grâce
à des arguments d'autorité, et non parce qu'elle aurait un lien
privilégié avec le « vrai ». Une anecdote personnelle, qu'on me
permettra de raconter, m'a fait récemment prendre conscience de cette
situation. Un jour, au terme d'un cours donné devant des élèves-
ingénieurs, alors que je venais de terminer au tableau un calcul de
relativité montrant que la durée d'un phénomène n'est pas la même pour
tous les observateurs, un jeune homme demanda la parole : « Monsieur,
personnellement, je ne suis pas d'accord avec Einstein ! ». J'imaginai
qu'il allait défendre une théorie alternative, donner des éléments
pour remettre en selle l'idée d'un éther luminifère qu'Einstein avait
mise à mort, bref qu'il allait argumenter. Je l'invitai donc à
s'expliquer : « Je ne crois pas à cette dilatation des durées que vous
venez de calculer, se contenta-t-il de répondre, parce que je ne la...
sens pas ! ». Ce jeune homme avait donc suffisamment confiance dans
ses intuitions et sa subjectivité pour penser qu'elles lui
permettaient de contester un résultat que près d'un siècle
d'expérimentation et d'objectivation avait permis de valider..."

Etienne Klein, à la différence de votre étudiant, Einstein sentait
très bien la dilatation des durées parce qu'il l'avait déduite d'un
"RÉSULTAT DU CHAPITRE 12":

http://www.amazon.fr/Relativit%C3%A9-Albert-Einstein/dp/2228882542
"La Relativité", par Albert Einstein
Chapitre 23: « Soit donné un domaine spatio-temporel dans lequel il
n'existe pas de champ de gravitation relativement à un corps de
référence K dont l'état a été convenablement choisi ; par rapport au
domaine considéré, K est alors un corps de référence galiléen, et les
résultats de la Théorie de la relativité restreinte sont valable par
rapport à K. Supposons que le même domaine soit rapporté à un second
corps de référence K' qui est animé d'un mouvement de rotation
uniforme par rapport à K. Pour fixer les idées, supposons que K' soit
représenté par un disque circulaire plan qui effectue un mouvement de
rotation uniforme dans son plan autour de son centre. (...)
L'observateur commence par placer une des deux horloges de même
construction au centre de disque et l'autre sur la périphérie, de
sorte qu'elles sont au repos par rapport au disque. Nous nous
demandons d'abord si ces deux horloges ont la même vitesse au point de
vue du corps de référence galiléen K, non animé d'un mouvement de
rotation. Par rapport à celui-ci l'horloge placée au centre n'a pas de
vitesse, tandis que l'horloge placée sur la périphérie est en
mouvement par suite de la rotation relativement à K. D'APRÈS UN
RÉSULTAT DU CHAPITRE 12, cette dernière horloge marche donc d'une
façon permanente plus lentement, par rapport à K, que celle placée au
centre du disque. »

Est-ce que vous avez vérifié la déduction d'Einstein, Etienne Klein?
Est-elle valide? C'est-à-dire, est-ce que la conclusion "cette
dernière horloge marche donc d'une façon permanente plus lentement"
découle validement du "RÉSULTAT DU CHAPITRE 12"? Non? Non, la
déduction d'Einstein n'est pas valide ou non, vous ne l'avez pas
vérifiée? Vous ne vérifierez jamais cette déduction parce que toutes
les déductions d'Einstein sont valides par définition et donc le
problème n'existe pas? Le problème n'a jamais existé? C'est un
nonproblème?

http://wikilivres.info/wiki/1984/Premi%C3%A8re_Partie/Chapitre_IV
George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il
n'existait pas, il n'avait jamais existé."

Pentcho Valev
pva...@yahoo.com

Pentcho Valev

unread,
Apr 29, 2011, 2:36:08 AM4/29/11
to
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=12761
"Il est bien établi que nombre de scientifiques éminents ont nourri
dès le début des doutes sur la validité de la théorie de la relativité
restreinte et générale. Certains, comme Herbert Dingle, devenu très
embarrassé par les aspects du fameux paradoxe des jumeaux, a conçu des
doutes après avoir été au début un ardent défenseur de la théorie.
Malheureusement, si le récit des événements décrits dans son livre
Science at the Crossroadsest exact, il semble qu'après l'apparition de
ces doutes, les écarter devienne de plus en plus difficile. Pas grand
chose ne semble avoir changé depuis ces débuts, et il reste
apparemment toujours vrai que, contester la validité des théories de
la relativité n'est pas un choix de carrière raisonnable."

Etienne Klein, avez-vous jamais prononcé le nom "Herbert Dingle"? Le
nom "Bryan Wallace"? Non? Herbert Dingle et Bryan Wallace sont déjà
des nonêtres? Il n'ont jamais existé?

http://wikilivres.info/wiki/1984/Premi%C3%A8re_Partie/Chapitre_IV
George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il
n'existait pas, il n'avait jamais existé."

Quelques citations (plutôt, noncitations) des nonêtres:

http://www.nature.com/nature/journal/v183/n4677/abs/1831761a0.html
Nature 183, 1761 (20 June 1959) Herbert Dingle: "AS is well known,
Einstein's special theory of relativity rests on two postulates: (1)
the postulate of relativity; (2) the postulate of constant light
velocity, which says "that light is always propagated in empty space
with a definite velocity c which is independent of the state of motion
of the emitting body". For the first postulate there is much
experimental support; for the second, none."

http://blog.hasslberger.com/Dingle_SCIENCE_at_the_Crossroads.pdf
Herbert Dingle, SCIENCE AT THE CROSSROADS
"According to the special relativity theory, as expounded by Einstein
in his original paper, two similar, regularly-running clocks, A and B,
in uniform relative motion, must work at different rates.....How is
the slower-working clock distinguished? The supposition that the
theory merely requires each clock to APPEAR to work more slowly from
the point of view of the other is ruled out not only by its many
applications and by the fact that the theory would then be useless in
practice, but also by Einstein's own examples, of which it is
sufficient to cite the one best known and most often claimed to have
been indirectly established by experiment, viz. 'Thence' [i.e. from
the theory he had just expounded, which takes no account of possible
effects of accleration, gravitation, or any difference at all between
the clocks except their state of uniform motion] 'we conclude that a
balance-clock at the equator must go more slowly, by a very small
amount, than a precisely similar clock situated at one of the poles
under otherwise identical conditions.' Applied to this example, the
question is: what entitled Einstein to conclude FROM HIS THEORY that
the equatorial, and not the polar, clock worked more slowly?"

http://articles.adsabs.harvard.edu/cgi-bin/nph-iarticle_query?1959MNRAS.119...67D&defaultprint=YES&filetype=.pdf
Herbert Dingle: "...the internal consistency of the restricted
relativity theory seems questionable if the postulate of the constancy
of the velocity of light is given its usual interpretation... (...)
These difficulties are removed if the postulate be interpreted MERELY
as requiring that the velocity of light relative to its actual
material source shall always be c..."

http://www.worldnpa.org/pdf/abstracts/abstracts_215.pdf
Herbert Dingle: "The special relativity theory requires different
rates of ageing to result from motion which belongs no more to one
twin than to the other: that is impossible. It is impossible to
exaggerate the importance of this result, for this theory is, by
common consent, "taken for granted" in Max Born's words, in all modern
atomic research. and it determines the course of practically all
current developments in physical science, theoretical and
experimental, whether concerned with the laboratory or with the
universe. To continue to use the theory without discrimination,
therefore, is not only to follow a false trail in the investigation of
nature, but also to risk physical disaster on the unforeseeable
scale... (...) But it is now clear that the interpretation of those
[Lorentz] equations as constituting a basis for a new kinematics,
displacing that of Galileo and Newton, which is the essence of the
special relativity theory, leads inevitably to impossibilities and
therefore cannot be true. Either there is an absolute standard of rest
- call it the ether as with Maxwell. or the universe as with Mach, or
absolute space as with Newton, or what you will or else ALL MOTION,
INCLUDING THAT WITH THE SPEED OF LIGHT, IS RELATIVE, AS WITH RITZ. It
remains to be determined, by a valid experimental determination of THE
TRUE RELATION OF THE VELOCITY OF LIGHT TO THAT OF ITS SOURCE, which of
these alternatives is the true one. In the meantime, the fiction of
"space-time" as an objective element of nature, and the associated
pseudo-concepts such as "time-dilation", that violate "saving common
sense", should be discharged from physics and philosophy..."

http://www.fileden.com/files/2008/8/24/2063601/physics/SpecLetters1969-p361-367.pdf
RADAR TESTING OF THE RELATIVE VELOCITY OF LIGHT IN SPACE
Bryan G. Wallace, Spectroscopy Letters 1969 pages 361-367
ABSTRACT: "Published interplanetary radar data presents evidence that
the relative velocity of light in space is c+v and not c."
INTRODUCTION: "There are three main theories about the relativity
velocity of light in space. The Newtonian corpuscular theory is
relativistic in the Galilean sense and postulates that the velocity is
c+v relative to the observer. The ether theory postulates that the
velocity is c relative to the ether. The Einstein theory postulates
that the velocity is c relative to the observer. The Michelson-Morley
experiment presents evidence against the ether theory and for the c+v
theory. The c theory explains the results of this experiment by
postulating ad hoc properties of space and time..."

http://www.ekkehard-friebe.de/wallace.htm
Bryan Wallace: "There is a popular argument that the world's oldest
profession is sexual prostitution. I think that it is far more likely
that the oldest profession is scientific prostitution, and that it is
still alive and well, and thriving in the 20th century. I suspect that
long before sex had any commercial value, the prehistoric shamans used
their primitive knowledge to acquire status, wealth, and political
power, in much the same way as the dominant scientific and religious
politicians of our time do. (...) Because many of the dominant
theories of our time do not follow the rules of science, they should
more properly be labeled pseudoscience. The people who tend to believe
more in theories than in the scientific method of testing theories,
and who ignore the evidence against the theories they believe in,
should be considered pseudoscientists and not true scientists. To the
extent that the professed beliefs are based on the desire for status,
wealth, or political reasons, these people are scientific prostitutes.
(...) Einstein's special relativity theory with his second postulate
that the speed of light in space is constant is the linchpin that
holds the whole range of modern physics theories together. Shatter
this postulate, and modern physics becomes an elaborate farce! (...)
The speed of light is c+v. (...) I expect that the scientists of the
future will consider the dominant abstract physics theories of our
time in much the same light as we now consider the Medieval theories
of how many angels can dance on the head of a pin or that the Earth
stands still and the Universe moves around it." [Bryan Wallace wrote
"The Farce of Physics" on his deathbed hence some imperfections in the
text!]

Pentcho Valev
pva...@yahoo.com

Pentcho Valev

unread,
Apr 29, 2011, 3:32:27 AM4/29/11
to
http://www.psycho-energie.fr/double/79-astrophysique/150-propos-sur-lunivers-par-thibault-damour
Thibault Damour: "Le formalisme de la relativité einsteinienne dit que
le temps est une illusion..."

http://www-llb.cea.fr/Phocea/Vie_des_labos/Ast/ast_visu.php?id_ast=761
Two-day conference "Le Temps" (jointly with Séminaire Poincaré), IHP,
4 et 18 décembre 2010
http://www.bourbaphy.fr/damourtemps.pdf
Thibault Damour: "Textbook presentations of Special Relativity often
fail to convey the revolutionary nature, with respect to the "common
conception of time", of the seminal paper of Einstein in June 1905. It
is true that many of the equations, and mathematical considerations,
of this paper were also contained in a 1904 paper of Lorentz, and in
two papers of Poincaré submitted in June and July 1905. It is also
true that the central informational core of a physical theory is
defined by its fundamental equations, and that for some theories
(notably Quantum Mechanics) the fundamental equations were discovered
before their physical interpretation. However, in the case of Special
Relativity, the egregious merit of Einstein was, apart from his new
mathematical results and his new physical predictions (notably about
the comparison of the readings of clocks which have moved with respect
to each other) the conceptual breakthrough that the rescaled "local
time" variable t' of Lorentz was "purely and simply, the time", as
experienced by a moving observer. This new conceptualization of time
implied a deep upheaval of the common conception of time. (...) The
paradigm of the special relativistic upheaval of the usual concept of
time is the twin paradox. Let us emphasize that this striking example
of time dilation proves that time travel (towards the future) is
possible. As a gedanken experiment (if we neglect practicalities such
as the technology needed for reaching velocities comparable to the
velocity of light, the cost of the fuel and the capacity of the
traveller to sustain high accelerations), it shows that a sentient
being can jump, "within a minute" (of his experienced time)
arbitrarily far in the future, say sixty million years ahead, and see,
and be part of, what (will) happen then on Earth. This is a clear way
of realizing that the future "already exists" (as we can experience it
"in a minute"). No wonder that many people, attached to the usual idea
of an external flow of time, refused to believe that the travelling
twin will come back younger than his sedentary brother."

http://www.humanamente.eu/PDF/Issue13_Paper_Norton.pdf
John Norton: "Il est commun d'affirmer que le passage du temps est une
illusion, étant donné que celui-ci n'a pas été capturé par les
théories physiques modernes. J'argue que c'est une erreur. Si l'on
excepte le fait gênant qu'il n'apparait pas dans notre physique, il
n'y a aucune indication que le passage du temps est une illusion."

http://hps.master.univ-paris7.fr/cours_du_temps.doc
Etienne Klein: "Aujourd'hui, L'astrophysicien Thibault Damour
développe à sa manière des idées qui vont dans le même sens. Selon
lui, le temps qui passe (qu'il sagisse d'un fait ou de notre
sentiment) est le produit de notre seule subjectivité, un effet que
nous devrions au caractère irréversible de notre mise en mémoire, de
sorte que la question du cours du temps relèverait non pas de la
physique, mais des sciences cognitives. Il écrit : « De même que la
notion de température n'a aucun sens si l'on considère un système
constitué d'un petit nombre de particules, de même il est probable que
la notion d'écoulement du temps n'a de sens que pour certains systèmes
complexes, qui évoluent hors de l'équilibre thermodynamique, et qui
gèrent d'une certaine façon les informations accumulées dans leur
mémoire. » Le temps ne serait donc qu'une apparence d'ordre
psychologique : « Dans le domaine d'espace-temps que nous observons,
poursuit-il, nous avons l'impression qu'il s'écoule "du bas vers le
haut" de l'espace-temps, alors qu'en réalité ce dernier constitue un
bloc rigide qui n'est nullement orienté a priori : il ne le devient
que pour nous [35]. » L'existence même d'un « cours du temps », ou
d'un « passage du temps », n'est ainsi que simple apparence pour de
nombreux physiciens contemporains. Certains vont même jusqu'à
considérer le passage du temps comme une pure illusion, comme un
produit culturel abusivement dérivé de la métaphore du fleuve. C'est
en effet la conception dite de l'« univers-bloc » qui semble avoir les
faveurs d'une majorité de physiciens. Dans le droit fil de la théorie
de la relativité, celle-ci consiste à invoquer un univers constitué
dun continuum d'espace-temps à quatre dimensions, privé de tout flux
temporel : tous les événements, qu'ils soient passés, présents et
futurs, ont exactement la même réalité, de la même façon que
différents lieux coexistent, en même temps et avec le même poids
ontologique, dans l'espace. En d'autres termes, les notions de passé
ou de futur ne sont que des notions relatives, comme celles d'Est et
d'Ouest. En un sens, tout ce qui va exister existe déjà et tout ce qui
a existé existe encore. L'espace-temps contient l'ensemble de
l'histoire de la réalité comme la partition contient l'uvre musicale :
la partition existe sous une forme statique, mais ce qu'elle contient,
l'esprit humain l'appréhende généralement sous la forme d'un flux
temporel."

Etienne Klein et Thibault Damour, les contradictions sont évidentes,
le problème est très important (il s'agit peut-être d'une science
mourante), et en même temps il n'y a aucune discussion en France! Que
se passe-t-il? Est-ce que la période de "trente ou quarante ans" est
devenue beaucoup plus courte?

http://archives.lesechos.fr/archives/2004/LesEchos/19077-80-ECH.htm
"Physicien au CEA, professeur et auteur, Etienne Klein s'inquiète des
relations de plus en plus conflictuelles entre la science et la
société. (...) « Je me demande si nous aurons encore des physiciens
dans trente ou quarante ans », remarque ce touche-à-tout aux multiples
centres d'intérêt : la constitution de la matière, le temps, les
relations entre science et philosophie. (...) Etienne Klein n'est pas
optimiste. Selon lui, il se pourrait bien que l'idée de progrès soit
tout bonnement « en train de mourir sous nos yeux »."

Pentcho Valev
pva...@yahoo.com

Pentcho Valev

unread,
Apr 30, 2011, 2:28:01 AM4/30/11
to
http://www.dormirenfrance.fr/relativite-fondamentalement-s107511.htm
"Comme c'est les 100 ans de la version originale de la relativité
restreinte, une révision des hypothèses originales, des documents et
des idées qui ont conduit à l'acceptation de cette théorie est
opportune et justifiée. Chaque année, des millions d'étudiants sont
enseignées cette théorie sans une analyse critique de la relativité.
Théorie de la relativité se compose de ses deux variantes spécial
relativité et la relativité générale et est considéré comme la pierre
angulaire de la physique moderne. Albert Einstein a emprunté des idées
de Fitzgerald, Lorentz et Voigt pour créer un nouveau concept de
l'univers. Sa première uvre à cet égard plus tard, vint à être connu
comme la relativité restreinte et contient de nombreuses idées
controversées qui sont aujourd'hui considérées comme un axiome. Parmi
ceux-ci sont la longueur Contraction, Dilatation du temps, le paradoxe
des jumeaux et l'équivalence de masse et l'énergie résumées dans
l'équation E = mc2. (...) Toutefois, des doutes subsistent dans la
communauté scientifique qui n'ont jamais totalement abandonné le
confort d'une conception newtonienne du monde. (...) À la suite de ces
idées, notre compréhension de la géométrie, les mathématiques, la
physique, la science et l'univers ne serait jamais la même. Toutefois,
certains scientifiques déclarent que la vitesse de la lumière n'est
pas constante à partir des observations expérimentales différentes."

http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=72449
"La relativité doit être fausse. En effet, considérons une échelle de
20 mètres de long transportée si rapidement dans la direction qui lui
est parallèle qu'elle ne paraît plus avoir que 10 mètres de long dans
le système du laboratoire. A un moment donné, on peut donc la faire
entrer toute entière dans un bâtiment de 10 mètres de long. Plaçons-
nous cependant dans le système de référence du coureur qui la porte.
Pour lui, le bâtiment est contractée à la moitié de sa longueur.
Comment une perche de 20 mètres pourrait-elle entrer dans un bâtiment
de 5 mètres ? Et cette conclusion impossible à retenir ne démontre-t-
elle pas que la relativité renferme quelque part une faille logique
fondamentale ?"

http://forums.futura-sciences.com/physique/234180-interpretation-de-lexperience-de-michelson-morley.html
"Interpretation de l'expérience de Michelson-Morley. Cette experience
nie l'existance de l'éther conjugé à l'utilisation de la relativité
galiléenne. Mais qu'est qui pousse alors Einstein a supposer que la
vitesse de la lumiere est invariante dans tt refs inertiels? Ou encore
Lorentz à s'acrocher a l'existance de l'ether en lui aportant des
propriétés particulières? Ces deux interprétations ont été
effectivement fructueuses pour ce qui est de la confrontation a
l'exprérimentation. Mais y a il eu a l'époque des interprétation niant
l'existance de l'ether, et suposant que la vitesse de la lumière
dépendait de la vitesse de la source (l'experience de Michelson-Morley
étant parfaitement compatible avec une vision corpusculaire de la
lumiere et une utilisation de la relativité galiléenne) ? Et pourquoi
ces théories, même a l'époque ou les conséquence de la relativité
restreinte ou de l'utilisation des transfo de Lorentz (ex: paradoxe de
Langevin) ne pouvaient etre testé, ont elles été abandonés?"

http://astronomie.forumactif.com/t878-la-relativite-d-einstein
"J'ai l'impression que la question de Yacine comme celle de Dingle
(ralentissement des horloges) resteront sans réponse... Peut-être que
le postulat d'Einstein (l'invariance de c) est faux tout simplement?"

L'esprit critique se réveille en France? Jean Eisenstaedt? Jean Marc
Lévy-Leblond? Thibault Damour? Etienne Klein? Les deux Cohen-
Tannoudji? Michel Paty? Olivier Darrigol? Marc Lachièze-Ray? Jean
Michel Alimi? Françoise Balibar? Michel Bitbol? Alain Aspect? Roger
Balian? Alexandre Moatti? Alexandre Afriat? Alexis de Saint-Ours? Elie
During? Jean-Pierre Luminet? On va se cacher où?

Pentcho Valev
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Pentcho Valev

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Apr 30, 2011, 3:40:36 AM4/30/11
to
http://www.franceculture.com/emission-science-publique-club-science-publique-quelle-frontiere-entre-science-et-recherche-2011-04-
Etienne Klein: "La théorie quantique et la théorie de la relativité,
restreinte ou générale d'ailleurs, n'ont jamais été contredites par
des faits."

Quid des résultats des expériences de Michelson-Morley et de Pound-
Rebka, Etienne Klein? Vos frères Einsteiniens John Norton et Tom
Roberts vous diraient que ces résultats confirment la théorie de
l'émission de Newton, une théorie incompatible avec le principe de la
constance de la vitesse de la lumière avancé par Einstein en 1905:

http://groups.google.com/group/sci.physics.relativity/msg/44abc7dbb30db6c2
John Norton: "THE MICHELSON-MORLEY EXPERIMENT IS FULLY COMPATIBLE WITH
AN EMISSION THEORY OF LIGHT THAT CONTRADICTS THE LIGHT POSTULATE."
Tom Roberts: "Sure. The fact that this one experiment is compatible
with other theories does not refute relativity in any way. The full
experimental record refutes most if not all emission theories, but not
relativity."
Pentcho Valev: "THE POUND-REBKA EXPERIMENT IS FULLY COMPATIBLE WITH AN
EMISSION THEORY OF LIGHT THAT CONTRADICTS THE LIGHT POSTULATE."
Tom Roberts: "Sure. But this experiment, too, does not refute
relativity. The full experimental record refutes most if not all
emission theories, but not relativity."

Bien sûr, John Norton et Tom Roberts ajouteraient que les expériences
de Michelson-Morley et de Pound-Rebka confirment aussi, d'une manière
glorieuse, la Théorie Divine d'Albert le Divin, mais on pourrait s'en
douter. Vous en avez pensé, Etienne Klein? Jamais? Pourquoi?
L'arrêtducrime est absolu dans ce cas?

http://wikilivres.info/wiki/1984/Deuxi%C3%A8me_Partie_-_Chapitre_IX
George Orwell: "L'arrêtducrime, c'est la faculté de s'arrêter net,
comme par instinct, au seuil d'une pensée dangereuse. Il inclut le
pouvoir de ne pas saisir les analogies, de ne pas percevoir les
erreurs de logique, de ne pas comprendre les arguments les plus
simples, s'ils sont contre l'Angsoc. Il comprend aussi le pouvoir
d'éprouver de l'ennui ou du dégoût pour toute suite d'idées capable de
mener dans une direction hérétique. Arrêtducrime, en résumé, signifie
stupidité protectrice."

Est-ce que l'on a discuté de la relation entre le principe de la
constance de la vitesse de la lumière avancé par Einstein en 1905 et
les résultats des expériences de Michelson-Morley et de Pound-Rebka en
France, Etienne Klein? On en discutera dans le futur? Non? Jamais?
Pourquoi? Le problème n'existe pas? Le problème n'a jamais existé?
C'est un nonproblème?

http://wikilivres.info/wiki/1984/Premi%C3%A8re_Partie/Chapitre_IV


George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il
n'existait pas, il n'avait jamais existé."

Pentcho Valev
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Pentcho Valev

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May 2, 2011, 3:31:37 AM5/2/11
to
Les prémisses fausses de la théorie déductive:

http://houchmandzadeh.net/cours/Relativite/relativite.pdf
Bahram Houchmandzadeh, Directeur de Recherche au CNRS: "En réalité, de
nombreuse preuves expérimentales s'étaient accumulées dès la fin du
XIXème siècle, bien avant l'expérience des horloges atomiques. Le fait
le plus marquant était la mesure de la vitesse des ondes lumineuses.
Supposez que vous jetez une pierre dans l'eau et regardez les ondes de
surface s'écarter de vous. La vitesse v de ces ondes dépend seulement
des propriétés du liquide et de l'environnement (comme l'accélération
de gravité g, la profondeur du canal h, la tension de surface, ...).
Supposez maintenant que vous glissez à la surface de l'eau et qu'à
nouveau, vous provoquez des ondes se surfaces : cette fois, vous
verrez les ondes (dans la direction avant) s'écarter de vous avec une
vitesse v' plus faible ; si votre propre vitesse est v_p, alors v' = v
- v_p. Cela d'ailleurs est une façon efficace de mesurer votre vitesse
par rapport à l'eau. A la fin du XIXème, des scientifiques ont mesuré
la vitesse des ondes lumineuses lors d'une telle expériences, et ont
constaté que l'observateur fixe et l'observateur mobile mesuraient
exactement la même vitesse."

Jean Eisenstaedt? Jean Marc Lévy-Leblond? Thibault Damour? Etienne

Klein? Les deux Cohen-Tannoudji? Michel Paty? Olivier Darrigol? Marc


Lachièze-Ray? Jean Michel Alimi? Françoise Balibar? Michel Bitbol?
Alain Aspect? Roger Balian? Alexandre Moatti? Alexandre Afriat? Alexis

de Saint-Ours? Elie During? Jean-Pierre Luminet? On ne comparera
jamais le texte de Bahram Houchmandzadeh aux textes ci-dessous?

http://www.amazon.fr/James-Smith-Introduction-relativit%C3%A9-EIntroduction/dp/B0014P9USI
James H. Smith "Introduction à la relativité": "Si la lumière était un
flot de particules mécaniques obéissant aux lois de la mécanique, il
n'y aurait aucune difficulté à comprendre les résultats de
l'expérience de Michelson-Morley.... Supposons, par exemple, qu'une
fusée se déplace avec une vitesse (1/2)c par rapport à un observateur
et qu'un rayon de lumière parte de son nez. Si la vitesse de la
lumière signifiait vitesse des "particules" de la lumière par rapport
à leur source, alors ces "particules" de lumière se déplaceraient à la
vitesse c/2+c=(3/2)c par rapport à l'observateur. Mais ce comportement
ne ressemble pas du tout à celui d'une onde, car les ondes se
propagent à une certaine vitesse par rapport au milieu dans lequel
elles se développent et non pas à une certaine vitesse par rapport à
leur source..... Il nous faut insister sur le fait suivant: QUAND
EINSTEIN PROPOSA QUE LA VITESSE DE LA LUMIERE SOIT INDEPENDANTE DE
CELLE DE LA SOURCE, IL N'EN EXISTAIT AUCUNE PREUVE EXPERIMENTALE."

http://www.hep.man.ac.uk/u/roger/PHYS10302/lecture18.pdf
Roger Barlow: "Now suppose the source is fixed but the observer is
moving towards the source, with speed v. In time t, ct/(lambda) waves
pass a fixed point. A moving point adds another vt/(lambda). So f'=(c
+v)/(lambda)."

http://www-physics.ucsd.edu/students/courses/fall2008/physics2c/lectures/lecture16.pdf
Convention we will choose:
u = velocity of observer or source
v = velocity of wave
Moving Observer
Observer approaching: f'=(1/T')=(v+u)/(lambda)
Observer receding: f'=(1/T')=(v-u)/(lambda)

http://www.expo-db.be/ExposPrecedentes/Expo/Ondes/fichiers%20son/Effet%20Doppler.pdf
6. Source immobile - Observateur en mouvement
La distance entre les crêtes, la longueur d'onde lambda ne change pas.
Mais la vitesse des crêtes par rapport à l'observateur change !
L'observateur se rapproche de la source
f' = V'/(lambda)
f' = f (1 + Vo/V)
L'observateur s'éloigne de la source
f' = f (1 - Vo/V)

http://www.eng.uwi.tt/depts/elec/staff/sgift/special_relativity.pdf
The Invalidation of a Sacred Principle of Modern Physics
Stephan J.G. Gift
"For a stationary observer O, the stationary light source S emits
light at speed c, wavelength Lo, and frequency Fo given by Fo=c/Lo. If
the observer moves toward S at speed v, then again based on classical
analysis, the speed of light relative to the moving observer is (c +
v) and not c as required by Einstein's law of light propagation. Hence
the observer intercepts wave-fronts of light at a frequency fA, which
is higher than Fo, as is observed, and is given by fA = (c+v)/Lo > Fo.
(...) In light of this elementary result invalidating STR, it is
difficult to understand why this invalid theory has been (and
continues to be) accepted for the past 100 years."

Pentcho Valev
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Pentcho Valev

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May 7, 2011, 2:25:57 AM5/7/11
to
Si la physique contemporaine avait été basée sur la prémisse que la
vitesse des photons (structures DISCONTINUES) varie avec la vitesse de
l'émetteur, Albert Einstein (1954), Jean-Marc Lévy-Leblond et Etienne
Klein seraient un peu plus optimistes:

http://www.lexpress.fr/culture/livre/quand-paris-decouvrait-einstein_820418.html
Pour Albert Einstein, 1905 fut une annus mirabilis. Successivement en
mai, juin, juillet et septembre de cette année-là, le modeste employé
de l'Office fédéral des brevets à Berne (Suisse) publie quatre
articles fondateurs de la physique moderne. Il n'a alors que 26 ans.
Première idée révolutionnaire: la lumière ne se réduit pas à une onde;
elle est composée de grains d'énergie (plus tard appelés photons),
disposés de façon discontinue."

http://www.decitre.fr/livres/La-relativite.aspx/9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la
Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière
est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son
premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait
absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien
plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après
Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas
indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que
la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de
Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne.
Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des
longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour
expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme
nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces
échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il
introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on
pensait en termes d'ondes dans l'éther."

http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_relativit%C3%A9_restreinte
"Comme alternative à la relativité, Walter Ritz (1908) et d'autres
esquissent une théorie de l'émission qui s'appuie sur la théorie
corpusculaire de Newton et selon laquelle la vitesse de la lumière
dans tous les repères n'est constante que par rapport à la source (et
non à quelque éther), et où, au lieu de la transformation de Lorentz,
on utilise la transformation de Galilée (ce qui veut dire que dans un
système où la source se meut avec une vitesse v, la lumière ne se
propage pas à la vitesse c, mais à la vitesse v ± c). Cette théorie va
donc à l'encontre de la vitesse constante de la lumière, mais elle
satisfait au principe de relativité, et peut expliquer l'expérience de
Michelson-Morley."

http://www.perimeterinstitute.ca/index.php?option=com_content&task=view&id=317&Itemid=81&lecture_id=3576
John Stachel: "Einstein discussed the other side of the particle-field
dualism - get rid of fields and just have particles."
EINSTEIN'S 1954 CONFESSION: "I consider it entirely possible that
physics cannot be based upon the field concept, that is on continuous
structures. Then nothing will remain of my whole castle in the air,
including the theory of gravitation, but also nothing of the rest of
contemporary physics."
John Stachel's comment: "If I go down, everything goes down, ha ha,
hm, ha ha ha."

http://arxiv.org/ftp/physics/papers/0101/0101109.pdf
"The two first articles (January and March) establish clearly a
discontinuous structure of matter and light. The standard look of
Einstein's SR is, on the contrary, essentially based on the continuous
conception of the field."

http://www.pbs.org/wgbh/nova/einstein/genius/
"And then, in June, Einstein completes special relativity, which adds
a twist to the story: Einstein's March paper treated light as
particles, but special relativity sees light as a continuous field of
waves. Alice's Red Queen can accept many impossible things before
breakfast, but it takes a supremely confident mind to do so. Einstein,
age 26, sees light as wave and particle, picking the attribute he
needs to confront each problem in turn. Now that's tough."

http://arxiv.org/PS_cache/astro-ph/pdf/0305/0305457v3.pdf
New varying speed of light theories
Joao Magueijo
"In sharp contrast, the constancy of the speed of light has remain
sacred, and the term "heresy" is occasionally used in relation to
"varying speed of light theories". The reason is clear: the constancy
of c, unlike the constancy of G or e, is the pillar of special
relativity and thus of modern physics. Varying c theories are expected
to cause much more structural damage to physics formalism than other
varying constant theories."

http://www.ekkehard-friebe.de/wallace.htm
The farce of physics
Bryan Wallace


"Einstein's special relativity theory with his second postulate that
the speed of light in space is constant is the linchpin that holds the
whole range of modern physics theories together. Shatter this
postulate, and modern physics becomes an elaborate farce! (...) The
speed of light is c+v."

http://www.docstoc.com/docs/50282475/Le-dualisme-des-ondes-et-des-corpuscules-dans-loeuvre
Louis de Broglie: "Tout d'abord toute idée de "grain" se trouvait
expulsée de la théorie de la Lumière : celle-ci prenait la forme d'une
"théorie du champ" où le rayonnement était représenté par une
répartition continue dans l'espace de grandeurs évoluant continûment
au cours du temps sans qu'il fût possible de distinguer, dans les
domaines spatiaux au sein desquels évoluait le champ lumineux, de très
petites régions singulières où le champ serait très fortement
concentré et qui fournirait une image du type corpusculaire. Ce
caractère à la fois continu et ondulatoire de la lumière se trouvait
prendre une forme très précise dans la théorie de Maxwell où le champ
lumineux venait se confondre avec un certain type de champ
électromagnétique."

http://en.wikisource.org/wiki/The_Development_of_Our_Views_on_the_Composition_and_Essence_of_Radiation
The Development of Our Views on the Composition and Essence of
Radiation by Albert Einstein, 1909
"A large body of facts shows undeniably that light has certain
fundamental properties that are better explained by Newton's emission
theory of light than by the oscillation theory. For this reason, I
believe that the next phase in the development of theoretical physics
will bring us a theory of light that can be considered a fusion of the
oscillation and emission theories. The purpose of the following
remarks is to justify this belief and to show that a profound change
in our views on the composition and essence of light is
imperative.....Then the electromagnetic fields that make up light no
longer appear as a state of a hypothetical medium, but rather as
independent entities that the light source gives off, just as in
Newton's emission theory of light......Relativity theory has changed
our views on light. Light is conceived not as a manifestation of the
state of some hypothetical medium, but rather as an independent entity
like matter. Moreover, this theory shares with the corpuscular theory
of light the unusual property that light carries inertial mass from
the emitting to the absorbing object."

http://www.i-sem.net/press/jmll_isem_palermo.pdf
Jean-Marc Lévy-Leblond: "La science souffre d'une forte perte de
crédit, au sens propre comme au sens figuré : son soutien politique et
économique, comme sa réputation intellectuelle et culturelle
connaissent une crise grave. (...) Mais le plus grave peut-être dans
la déculturation de la science se situe à l'extérieur de la recherche
scientifique, à l'interface entre le milieu scientifique proprement
dit et la société au sens large."

http://www.festival-astronomie.com/marathon-des-sciences.php
Jean-Marc Lévy-Leblond: "Grandeur et misère de l'aventure
scientifique. Au cours des 20 dernières années, le rôle de la science
dans la société a profondément changé. Cette évolution récente tient à
une transformation sans équivalent depuis la Révolution scientifique
du début du XVIIéme siécle. Nous nous trouvons aujourd'hui dans une
situation paradoxale où le poids de lactivité scientifique et son
efficacité technique sans précédent mettent en cause ses fondement
mêmes, et menacent sa dimension intellectuelle et culturelle au profit
de sa seule utilité pratique et marchande."

http://www.archipope.net/article-12278372-6.html
"Nous nous trouvons dans une période de mutation extrêmement profonde.
Nous sommes en effet à la fin de la science telle que l'Occident l'a
connue », tel est constat actuel que dresse Jean-Marc Lévy-Leblond,
physicien théoricien, épistémologue et directeur des collections
scientifiques des Editions du Seuil."

Pentcho Valev

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May 12, 2011, 3:47:14 AM5/12/11
to
L'esprit critique n'était pas mort en France:

http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C3%A8tes-Jacques-Maritain/dp/2850492752
Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion
Oeuvres complètes, Volume 3, p. 285:
Jacques Maritain: "Il ne reste plus alors qu'à avouer que la théorie
[d'Einstein], si l'on donnait une signification ontologiquement réelle
aux entités qu'elle met en jeu, comporterait des absurdités;
entièrement logique et cohérente comme système hypothético-déductif et
synthèse mathématique des phénomènes, elle n'est pas, malgré les
prétensions de ses partisans, une philosophie de la nature, parce que
le principe de la constance de la vitesse de la lumière, sur lequel
elle s'appuie, ne peut pas être ontologiquement vrai."

Maintenant l'esprit de Jacques Maritain est remplacé par l'esprit
d'Alexandre Moatti. Quel développement!

http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article838
Einstein - Un siècle contre lui
Alexandre Moatti. Éditions Odile Jacob, 2007, Prix 21,90 €
Note de lecture de Jean Günther - SPS n° 282, juillet 2008
Einstein, le plus célèbre physicien du XXe siècle, a focalisé autour
de son nom et de la plus connue de ses réussites, la théorie de la
Relativité, des oppositions parfois virulentes. Après avoir rappelé
les aspects scientifiques du problème, l'auteur brosse un large
tableau de ces controverses. On peut y distinguer trois épisodes,
apparus à des dates et dans des circonstances différentes. Dans le
contexte anti-allemand lié en France à la guerre de 1914-1918, des
intellectuels, philosophes, scientifiques (ceux-ci généralement de
second ordre) se sont déchaînés contre la science « allemande » et la
relativité, qui en serait l'émanation. Citons, pêle-mêle, Émile
Picard, Charles Richet, Henri Bergson, Jacques Maritain, Pierre Duhem,
Gustave Le Bon, Henri Bouasse ; l'auteur en rapporte bien d'autres.
Les motivations de ces divers contestataires, leur modes de
raisonnement, sont des plus divers et leur analyses nous semblent
maintenant dérisoires et sans fondement. Beaucoup, puissants et
respectés en leur temps, ont sombré dans un salutaire oubli.

http://www.amazon.fr/gp/product/2738117228/ref=pd_rvi_gw_1/402-2668551-5396107
Alexandre Moatti (p. 140): "La théorie corpusculaire se heurtait
toutefois à une contradiction expérimentale de taille : elle
impliquait que la lumière fût non seulement déviée mais aussi ralentie
par un champ de gravitation (comme le serait un faisceau de
corpuscules), alors que toutes les mesures donnaient une constance de
la vitesse de la lumière, indépendante de la vitesse de la source, et
indépendante de toute masse gravitationnelle à côté de laquelle elle
passerait !"

Pentcho Valev
pva...@yahoo.com

Pentcho Valev

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May 13, 2011, 4:25:56 AM5/13/11
to
L'esprit de Jacques Maritain remplacé par l'esprit de Jean-Marc Lévy-
Leblond (la Science remplacée par le Postscientisme):

http://www.crc-resurrection.org/Renaissance_catholique/Apologetique_scientifique/Apologetique_Einstein.php
"La vitesse de la lumière est constante, sa mesure est invariablement
de 300 000 km/s, pour tout observateur, quelle que soit sa vitesse
relative par rapport à la source lumineuse et à tout autre système de
référence... Écoutons Lévy-Leblond : « Le génie d'Einstein fut de
mettre en cause les notions de base d'espace et de temps elles-mêmes
(bigre !). Il inversa la démarche : au lieu d'expliquer la constance
apparente de la vitesse de la lumière (par quelque cause physique
particulière), il la prit comme point de départ et bâtit sur cette
hypothèse une nouvelle théorie de l'espace et du temps. » (Lévy-
Leblond, p. 419) Mais c'est absurde ! « Qu'on le tourne et retourne
comme on voudra, il faut avouer que c'est là un pur non-sens.
» (Maritain, Réflexions sur l'intelligence, p. 215) Ce n'est plus la
vitesse du mobile qui résulte de l'espace et du temps, ce sont
l'espace et le temps qui se contractent ou se dilatent, pour laisser à
l'objet sa vitesse constante, invariable, insurpassable, absolue ! «
On pourrait dire que la théorie de la Relativité est un déplacement
d'absolu... On frappe ainsi de relativité certains éléments réels
(temps, dimensions) pour rendre absolues et invariantes certaines
relations (exprimant les lois de la nature) », observe encore Jacques
Maritain (p. 228)."

Pentcho Valev
pva...@yahoo.com

Pentcho Valev

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May 14, 2011, 2:06:22 AM5/14/11
to
L'esprit de Jacques Maritain remplacé par l'esprit de Jean-Marc Lévy-
Leblond (l'honnêteté intellectuelle absolue remplacée par la
malhonnêteté intellectuelle absolue):

http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C3%A8tes-Jacques-Maritain/dp/2850492752
Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion
Oeuvres complètes, Volume 3, p. 285:
Jacques Maritain: "Il ne reste plus alors qu'à avouer que la théorie
[d'Einstein], si l'on donnait une signification ontologiquement réelle
aux entités qu'elle met en jeu, comporterait des absurdités;
entièrement logique et cohérente comme système hypothético-déductif et
synthèse mathématique des phénomènes, elle n'est pas, malgré les
prétensions de ses partisans, une philosophie de la nature, parce que
le principe de la constance de la vitesse de la lumière, sur lequel
elle s'appuie, ne peut pas être ontologiquement vrai."

http://www.larecherche.fr/content/recherche/article?id=16963
Jean-Marc Lévy-Leblond: "Mais l'inutile et depuis longtemps caduc «
second postulat » (celui de l'invariance de la vitesse de la lumière)
garde encore une place de choix dans les exposés."

http://o.castera.free.fr/pdf/bup.pdf
Jean-Marc LÉVY-LEBLOND: "Maintenant il s'agit de savoir si le photon a
vraiment une masse nulle. Pour un physicien, il est absolument
impossible d'affirmer qu'une grandeur, quelle qu'elle soit, a
rigoureusement la valeur zéro, pas plus d'ailleurs que n'importe
quelle autre valeur. Tout ce que je sais de la masse du photon, c'est
ce que disent mes collègues expérimentateurs : "Elle est très faible !
Inférieure, selon nos mesures actuelles, à 10^(-50)kg". Mais si
demain, on découvre que cette masse est non-nulle, alors, le photon ne
va pas à la vitesse de la lumière... Certes, il irait presque toujours
à une vitesse tellement proche de la vitesse limite que nous ne
verrions que difficilement la différence, mais conceptuellement, il
pourrait exister des photons immobiles, et la différence est
essentielle. Or, nous ne saurons évidemment jamais si la masse est
rigoureusement nulle ; nous pourrons diminuer la borne supérieure,
mais jamais l'annuler. Acceptons donc l'idée que la masse du photon
est nulle, et que les photons vont à la vitesse limite, mais
n'oublions pas que ce n'est pas une nécessité. Cela est important pour
la raison suivante. Supposez que demain un expérimentateur soit
capable de vraiment mettre la main sur le photon, et de dire qu'il n'a
pas une masse nulle. Qu'il a une masse de, mettons 10^(-60)kg. Sa
masse n'est pas nulle, et du coup la lumière ne va plus à la "vitesse
de la lumière". Vous pouvez imaginer les gros titres dans les
journaux : "La théorie de la relativité s'effondre", "Einstein s'est
trompé", etc. Or cette éventuelle observation ne serait en rien
contradictoire avec la théorie de la relativité ! Einstein a certe
construit sa théorie en analysant des échanges de signaux lumineux
propagés à la vitesse limite. Si on trouve que le photon a une masse
non-nulle, ce sera que cette vitesse n'est pas la vitesse limite, et
la démonstration initiale s'effondre donc. Mais ce n'est pas parce
qu'une démonstration est erronée que son résultat est faux ! Quand
vous avez une table à plusieurs pieds, vous pouvez en couper un, elle
continue à tenir debout. Et heureusement, la théorie de la relativité
a plusieurs pieds."

http://o.castera.free.fr/pdf/Chronogeometrie.pdf
Jean-Marc Lévy-Leblond "De la relativité à la chronogéométrie ou: Pour
en finir avec le "second postulat" et autres fossiles": "D'autre part,
nous savons aujourd'hui que l'invariance de la vitesse de la lumière
est une conséquence de la nullité de la masse du photon. Mais,
empiriquement, cette masse, aussi faible soit son actuelle borne
supérieure expérimentale, ne peut et ne pourra jamais être considérée
avec certitude comme rigoureusement nulle. Il se pourrait même que de
futures mesures mettent en évidence une masse infime, mais non-nulle,
du photon ; la lumière alors n'irait plus à la "vitesse de la
lumière", ou, plus précisément, la vitesse de la lumière, désormais
variable, ne s'identifierait plus à la vitesse limite invariante. Les
procédures opérationnelles mises en jeu par le "second postulat"
deviendraient caduques ipso facto. La théorie elle-même en serait-elle
invalidée ? Heureusement, il n'en est rien ; mais, pour s'en assurer,
il convient de la refonder sur des bases plus solides, et d'ailleurs
plus économiques. En vérité, le premier postulat suffit, à la
condition de l'exploiter à fond."

http://ww2.ac-creteil.fr/lycees/93/lmichelbobigny/dossiers/Einstein/physique/p1chap6.html
"postulat n°2: la vitesse d'un rayon de lumière donné est la même dans
tous les référentiels galiléens. Ce second postulat est en accord avec
l'expérience de Michelson: il affirme que la vitesse d'un rayon
lumineux est la même que la source de lumière soit immobile ou en
mouvement par rapport à l'observateur. (...) Les physiciens du 20ième
siècle ont démontré (ex: travaux de Jean Marc Lévy-Leblond dans les
années 1970) que le second 'postulat' d'Einstein n'était en fait pas
un postulat car il découle d'un autre principe plus général appelé
principe de causalité (qui dit qu'une conséquence est toujours
nécessairement postérieure à sa cause...)"

http://fr.wikipedia.org/wiki/Relativit%C3%A9_restreinte#Les_postulats_d.27Einstein_.281905.29
"La vitesse de la lumière dans le vide a la même valeur dans tous les
référentiels inertiels. (...) Le second postulat formalise
l'interprétation des équations de Maxwell suivant laquelle il n'y a
pas d'éther, et est conforme aux expériences. (...) Jean-Marc Levy-
Leblond fait remarquer que cette approche implique seulement
l'existence d'une vitesse-limite c, qui est celle de toutes les
particules sans masse, et donc de la lumière dans nos théories
actuelles. Si le photon devait s'avérer avoir une masse (voir à ce
sujet les propriétés physiques du photon), la relativité ne serait pas
remise en question, mais la lumière aurait une vitesse légèrement
inférieure à c, et qui dépendrait des référentiels."

http://o.castera.free.fr/pdf/La_relativite.pdf
Jean-Marc Lévy-Leblond: "Un objet de longueur L0 dans son propre
référentiel sera, dans un autre référentiel, repéré différemment et se
verra attribuer une longueur inférieure L. Mais, comme dans le cas
spatial, c'est là un effet de parallaxe : ce n'est que si les axes
spatiotemporels de l'objet coincident avec ceux de la règle utilisée
que l'on peut affirmer mesurer la longueur propre de l'objet. La
dilatation des temps s'explique de façon analogue. Ces effets sont
donc parfaitement "réels" tout en ne concernant que des "apparences"."

Pentcho Valev a écrit:

Pentcho Valev

unread,
May 18, 2011, 4:26:30 AM5/18/11
to
http://www.amazon.fr/EINSTEIN-si%C3%A8cle-contre-Alexandre-Moatti/dp/2738120075
EINSTEIN un siècle contre lui, par Alexandre Moatti
p. 88: En dehors de ces reproches traditionnels adressés à la
relativité, mais formulés non sans un certain humour, Bouasse avance
qu'on ne peut à la fois demander au cerveau humain de renoncer aux
notions intuitives de temps et d'espace qu'il s'est forgées, et lui
faire confiance quand il s'agit de comprendre une théorie complexe
comme la relativité:
Henri Bouasse: "Je dis que les données intuitives de notre cerveau
forment un bloc que vous n'avez pas le droit de diviser. Si vous en
rejetez une partie, vous êtes fatalement conduit à rejeter le tout: ce
qui supprime toute possibilité de connaissance."

C'est la destruction de l'esprit humain à l'époque du Postscientisme
que Bouasse craint, Moatti. Pourquoi est-ce vous luttez contre les
esprits critiques de France? Quel est votre but ultime?

Pentcho Valev
pva...@yahoo.com

Pentcho Valev

unread,
May 19, 2011, 2:38:19 AM5/19/11
to
L'esprit de Jacques Maritain remplacé par les esprits de Jean-Marc
Lévy-Leblond, Jean Eisenstaedt etc. (l'honnêteté scientifique
remplacée par la doublepensée postscientifique):

http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C3%A8tes-Jacques-Maritain/dp/2850492752
Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion

Oeuvres complètes, Volume 3, p. 268:
Jacques Maritain cite Jean Perrin: "Il est remarquable qu'un retour à
l'hypothèse de l'émission, en admettant que les particules lumineuses
sont émises par chaque source avec une même vitesse PAR RAPPORT A ELLE
dans toutes les directions expliquerait dans les conceptions de la
Mécanique classique le résultat négatif de l'expérience de Michelson
et de Morley quel que soit le mouvement d'ensemble du système..."

http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C3%A8tes-Jacques-Maritain/dp/2850492752
Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion

Oeuvres complètes, Volume 3, p. 418:
Jacques Maritain: "Si les résultats de Miller n'étaient pas confirmés
[et il semble bien que ce soit le cas], l'incertitude de nos
connaissances sur la nature de la lumière, et le fait même que notre
science hésite encore entre la théorie de l'émission et celle de
l'ondulation, devraient rendre sensible aux esprits même les moins
avertis en philosophie et en logique la faute énorme qu'on commet en
donnant pour nécessitée en raison, et cela dans l'ordre ontologique
lui-même, l'interprétation einsteinienne de l'expérience de
Michelson."

http://www.amazon.ca/Oeuvres-compl%C3%A8tes-Jacques-Maritain/dp/2850492752
Jacques Maritain, Raïssa Maritain, Jean-Marie Allion
Oeuvres complètes, Volume 3, p. 285:
Jacques Maritain: "Il ne reste plus alors qu'à avouer que la théorie
[d'Einstein], si l'on donnait une signification ontologiquement réelle
aux entités qu'elle met en jeu, comporterait des absurdités;
entièrement logique et cohérente comme système hypothético-déductif et
synthèse mathématique des phénomènes, elle n'est pas, malgré les
prétensions de ses partisans, une philosophie de la nature, parce que
le principe de la constance de la vitesse de la lumière, sur lequel
elle s'appuie, ne peut pas être ontologiquement vrai."

http://www.larecherche.fr/content/recherche/article?id=10745
Jean-Marc Lévy-Leblond: "Un siècle après son émergence, la théorie de
la relativité est encore bien mal comprise - et pas seulement par les
profanes ! Le vocable même qui la désigne (« relativité ») est fort
inadéquat. Ses énoncés courants abondent en maladresses sémantiques,
et donc en confusions épistémologiques. Paradoxe majeur, cette
théorie, présentée comme un sommet de la modernité scientifique, garde
de nombreux traits primitifs. Or, de récentes recherches montrent
éloquemment qu'un sérieux approfondissement de ses concepts et de ses
formulations peut résulter du retour à ses origines, avant même
Einstein. Déjà le principe de relativité se comprend mieux si on le
détache de la forme nouvelle qu'il prit après Lorentz, Poincaré et
Einstein, pour le ressourcer chez Galilée et Descartes. Mais surtout,
l'examen de nombreux travaux des XVIIe et XVIIIe siècles, injustement
oubliés, met en évidence une théorie particulaire de la lumière, en
germe dans la physique newtonienne, qui ouvre des voies d'approche
négligées vers la théorie moderne. Ces considérations contrebalancent
utilement le point de vue ondulatoire traditionnel, et allègent ses
difficultés."

http://www.passiondulivre.com/livre-6446-avant-einstein-relativite-lumiere-gravitation.htm
"Étrangement, personne n'est jamais vraiment allé voir ce que l'on en
pensait «avant», avant Einstein, avant Poincaré, avant Maxwell.
Pourtant, quelques savants austères et ignorés, John Michell, Robert
Blair et d'autres encore, s'y sont intéressés, de très près.
Newtoniens impénitents, ces «philosophes de la nature» ont tout
simplement traité la lumière comme faite de vulgaires particules
matérielles : des «corpuscules lumineux». Mais ce sont gens sérieux et
ils se sont basés sur leurs Classiques, Galilée, Newton et ses
Principia où déjà l'on trouve des idées intéressantes. À la fin du
XVIIIe siècle, au siècle des Lumières (si bien nommé en
l'occurrence !), en Angleterre, en Écosse, en Prusse et même à Paris,
une véritable balistique de la lumière sous-tend silencieusement la
théorie de l'émission, avatar de la théorie corpusculaire de la
lumière de Newton. Lus à la lumière (!) des théories aujourd'hui
acceptées, les résultats ne sont pas minces. (...) Les «relativités»
d'Einstein, cinématique einsteinienne et théorie de la gravitation,
ont la triste réputation d'être difficiles... Ne remettent-elles pas
en cause des notions familières ? Leur «refonte» est d'autant plus
nécessaire. Cette préhistoire en est un nouvel acte qui offre un autre
chemin vers ces théories délicates. Mais ce chemin, aussi long soit-
il, est un raccourci, qu'il est temps, cent ans après «la» relativité
d'Einstein, de découvrir et d'explorer."

http://ustl1.univ-lille1.fr/culture/publication/lna/detail/lna40/pgs/4_5.pdf
Jean Eisenstaedt: "Il n'y a alors aucune raison théorique à ce que la
vitesse de la lumière ne dépende pas de la vitesse de sa source ainsi
que de celle de l'observateur terrestre ; plus clairement encore, il
n'y a pas de raison, dans le cadre de la logique des Principia de
Newton, pour que la lumière se comporte autrement - quant à sa
trajectoire - qu'une particule matérielle. Il n'y a pas non plus de
raison pour que la lumière ne soit pas sensible à la gravitation.
Bref, pourquoi ne pas appliquer à la lumière toute la théorie
newtonienne ? C'est en fait ce que font plusieurs astronomes,
opticiens, philosophes de la nature à la fin du XVIIIème siècle. Les
résultats sont étonnants... et aujourd'hui nouveaux. (...) Même s'il
était conscient de l'intérêt de la théorie de l'émission, Einstein n'a
pas pris le chemin, totalement oublié, de Michell, de Blair, des
Principia en somme. Le contexte de découverte de la relativité
ignorera le XVIIIème siècle et ses racines historiques plongent au
coeur du XIXème siècle. Arago, Fresnel, Fizeau, Maxwell, Mascart,
Michelson, Poincaré, Lorentz en furent les principaux acteurs et
l'optique ondulatoire le cadre dans lequel ces questions sont posées.
Pourtant, au plan des structures physiques, l'optique relativiste des
corps en mouvement de cette fin du XVIIIème est infiniment plus
intéressante - et plus utile pédagogiquement - que le long cheminement
qu'a imposé l'éther."

http://wikilivres.info/wiki/1984/Deuxi%C3%A8me_Partie_-_Chapitre_IX
George Orwell: "La doublepensée est le pouvoir de garder à l'esprit
simultanément deux croyances contradictoires, et de les accepter
toutes deux. Un intellectuel du Parti sait dans quel sens ses
souvenirs doivent être modifiés. Il sait, par conséquent, qu'il joue
avec la réalité, mais, par l'exercice de la doublepensée, il se
persuade que la réalité nest pas violée. Le processus doit être
conscient, autrement il ne pourrait être réalisé avec une précision
suffisante, mais il doit aussi être inconscient. Sinon, il apporterait
avec lui une impression de falsification et, partant, de culpabilité.
La doublepensée se place au cur même de l'Angsoc, puisque l'acte
essentiel du Parti est d'employer la duperie consciente, tout en
retenant la fermeté d'intention qui va de pair avec l'honnêteté
véritable. Dire des mensonges délibérés tout en y croyant sincèrement,
oublier tous les faits devenus gênants puis, lorsque c'est nécessaire,
les tirer de l'oubli pour seulement le laps de temps utile, nier
l'existence dune réalité objective alors qu'on tient compte de la
réalité qu'on nie, tout cela est d'une indispensable nécessité. Pour
se servir même du mot doublepensée, il est nécessaire d'user de la
dualité de la pensée, car employer le mot, c'est admettre que l'on
modifie la réalité. Par un nouvel acte de doublepensée, on efface
cette connaissance, et ainsi de suite indéfiniment, avec le mensonge
toujours en avance d'un bond sur la vérité. (...) Il est à peine
besoin de dire que les plus subtils praticiens de la doublepensée sont
ceux qui l'inventèrent et qui savent qu'elle est un vaste système de
duperie mentale. Dans notre société, ceux qui ont la connaissance la
plus complète de ce qui se passe, sont aussi ceux qui sont les plus
éloignés de voir le monde tel qu'il est. En général, plus vaste est la
compréhension, plus profonde est l'illusion. Le plus intelligent est
le moins normal."

Pentcho Valev
pva...@yahoo.com

Pentcho Valev

unread,
May 21, 2011, 7:24:19 AM5/21/11
to
http://www.lefigaro.fr/livres/2010/09/02/03005-20100902ARTFIG00507-dieu-sa-vie-son-339uvre.php
"Pour le physicien, la théorie de la relativité d'Einstein a détruit
l'universalité du temps physique : il n'est plus le même pour chacun
de nous. Mon présent peut être le passé de quelqu'un d'autre et le
futur d'une tierce personne, s'ils sont tous deux en mouvement par
rapport à moi. Et si, pour quelqu'un d'autre, le futur existe déjà et
le passé est encore présent, tous les instants se valent. Le passage
du temps n'est qu'illusion: «Pour nous autres physiciens convaincus,
la distinction entre passé, présent et futur n'est qu'une illusion,
même si elle est tenace», écrit Einstein. Pour le physicien moderne,
le temps ne s'écoule plus: il est simplement là, immobile, comme une
ligne droite s'étendant à l'infini dans les deux directions."

http://hps.master.univ-paris7.fr/cours_du_temps.doc

http://www.humanamente.eu/PDF/Issue13_Paper_Norton.pdf


John Norton: "Il est commun d'affirmer que le passage du temps est une
illusion, étant donné que celui-ci n'a pas été capturé par les
théories physiques modernes. J'argue que c'est une erreur. Si l'on
excepte le fait gênant qu'il n'apparait pas dans notre physique, il
n'y a aucune indication que le passage du temps est une illusion."

http://agenda.ipc.univ-paris-diderot.fr/spip.php?article95
Etienne Klein: "Il est difficile de nier qu'une certaine inculture
scientifique est devenue intellectuellement et socialement
dangereuse : elle empêche de fonder une épistémologie rigoureuse de la
science contemporaine, favorise l'emprise des gourous de toutes sortes
et rend délicate lorganisation de débats sérieux sur l'usage que nous
voulons faire des technologies. Gaston Bachelard aimait à dire que «
la culture scientifique nous demande de vivre un effort de la pensée
». Sans doute est-ce cet effort là que nous n'encourageons plus assez.


La chose est devenue d'autant plus urgente que les idées relativistes
- et même absolument relativistes - gagnent du terrain : on accuse
désormais la science d'avoir pris le pouvoir grâce à des arguments
d'autorité, et non parce qu'elle aurait un lien privilégié avec le «
vrai ». Une anecdote personnelle, qu'on me permettra de raconter, m'a
fait récemment prendre conscience de cette situation. Un jour, au

terme d'un cours donné devant des élèves-ingénieurs, alors que je


venais de terminer au tableau un calcul de relativité montrant que la
durée d'un phénomène n'est pas la même pour tous les observateurs, un
jeune homme demanda la parole : « Monsieur, personnellement, je ne
suis pas d'accord avec Einstein ! ». J'imaginai qu'il allait défendre
une théorie alternative, donner des éléments pour remettre en selle
l'idée d'un éther luminifère qu'Einstein avait mise à mort, bref qu'il
allait argumenter. Je l'invitai donc à s'expliquer : « Je ne crois pas
à cette dilatation des durées que vous venez de calculer, se contenta-
t-il de répondre, parce que je ne la... sens pas ! »."

Etienne Klein, peut-être le jeune homme avait-il raison après tout? On
discutera de l'absurdité de "cette dilatation des durées" en France?
Non? Jamais? Pourquoi?

Pentcho Valev
pva...@yahoo.com

Pentcho Valev

unread,
May 22, 2011, 3:16:38 AM5/22/11
to
http://www.ehess.fr/fr/enseignement/enseignements/2008/ue/1798/
Alexandre Moatti: "L'objet de ces conférences est, dans ce contexte,
de présenter et d'analyser les oppositions de toute nature -
scientifique, philosophique, idéologique - qui se sont cristallisées
contre la nouvelle physique du début du XXe siècle, et en particulier
contre la relativité. Ces oppositions persistent en effet de nos
jours, dans des réseaux qu'on peut qualifier d' « alterscientifiques
», qui réfutent tout ou partie des bases de la physique du XXe siècle.
(...) Des points communs ont été dégagés entre ces différentes
figures, postures et mouvements « alterscientifiques » à travers les
âges. Ce sont des individus ou groupes d'individus formés à la science
mais n'ayant pas toujours suivi son évolution (ingénieurs ou médecins
notamment) - ceci peut aussi s'appliquer à des scientifiques sortant
de leur domaine de magistère. Ils sont ambivalents entre une
fascination pour la science apprise pendant leurs études et un rejet
de la science telle qu'elle a évolué depuis. Ils mêlent différents
champs scientifiques et refusent la spécialisation de la science. Ils
contestent des « théories établies » sans proposition de théorie
alternative cohérente."

Alexandre Moatti, si le principe de la constance de la vitesse de la
lumière est faux (ou si on le conteste), quelle est la "théorie
alternative cohérente" qu'on pourrait proposer? Si on ne voit encore
pas la "théorie alternative cohérente", est-ce que l'on doit continuer
à utiliser, idolâtrer etc. le faux principe?

Pentcho Valev a écrit:

Pentcho Valev

unread,
May 22, 2011, 4:14:01 AM5/22/11
to

Est-ce que Jacques Maritain, le génie français, est un nonêtre en
France?

http://wikilivres.info/wiki/1984/Premi%C3%A8re_Partie/Chapitre_IV
George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il
n'existait pas, il n'avait jamais existé."

http://maritain.nd.edu/jmc/ndjmc.htm
Jacques Maritain Center
http://maritain.nd.edu/jmc/links.htm
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