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Tchernobyl, Cancers et tentative d'assassinat d'un journaliste trop gênant...

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May 3, 2005, 2:22:14 PM5/3/05
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Tchernobyl, Cancers et tentative d'assassinat d'un journaliste trop
gênant...

Communiqué de presse - 18 avril 2005 - Christian Cotten

Palmarès Politique de Vie des Tribunaux Mafieux - Nominations 2005
pour l'attribution du Triangle d'Or du Magistrat-Gangster

Aujourd'hui, 18 avril 2005 :

le Tribunal de Grand Instance d'Évry et les Juges d'Instruction
Sylvie Nérot et Jean-Wilfrid Noël, nominés du Palmarès 2005.

Madame Sylvie Nérot, Monsieur Jean-Wilfrid Noël, ci-devant juges
d'instruction et vice-présidents du TGI d'Évry (91),

Je soussigné,

Christian Cotten, psychosociologue, psychothérapeute, Président de
Politique de Vie,

ai le regret de vous informer que votre carrière de magistrat est
désormais définitivement terminée.

Cette décision, dont les motifs sont exposés en détail ci-dessous,
est irrévocable. Elle est communiquée ce jour pour information à M.
le Garde des Sceaux.

Vous êtes publiquement accusés de complicité active d'une
tentative d'assassinat (tentative de meurtre avec préméditation) en
bande organisée sur les personnes de M. Jean-Michel Jacquemin et de
Fabien Baron, victimes de huit et quatre coups de couteau portés par
M. Mustapha Remache dans la nuit du 25 au 26 mai 2002 à leur domicile
et qui ont failli leur coûter la vie.

Un certain Charles Villeneuve, ancien militaire membre du SDECE
(actuelle DGSE), officiellement reconverti dans le « journalisme »
sur TF1, est un autre des complices actifs de cette affaire. Tout comme
un certain Michel Gaudin, Directeur Général de la Police Nationale
(Préfet, né le 9 août 1948 à Cosne-Cours-sur-Loire, Nièvre).

Sont en outre lourdement impliqués dans cette tentative d'assassinat
plusieurs Officiers de Police Judiciaire du SRPJ de Versailles ainsi
que quelques autres magistrats, experts, journalistes et hauts
responsables politiques. La liste non exhaustive en est donnée
ci-dessous.

Le présent document est diffusé sur Internet sur notre site et par
une mailing liste de 6 500 adresses. Il sera expédié en outre à de
très nombreux responsables politiques et administratifs français et
européens, ainsi qu'à l'ensemble des parlementaires français.

Une plainte avec Constitution de Partie Civile sera prochainement
déposée auprès de Mme Odile Bertella-Geffroy, juge d'instruction
au TGI de Paris, en charge du dossier « Tchernobyl-Cancers ». Le
présent dossier en constitue la base.

Ce dossier sera en outre soumis à la Haute Autorité de Lutte contre
les Discriminations et pour l'Égalité, compte tenu des différents
délits de discrimination à l'égard d'homosexuels, mis en œuvre
par des représentants de l'État.

Les commanditaires de cette tentative d'assassinat, tous situés au
plus haut niveau de l'État Français, sont informés qu'il est
strictement inutile d'envoyer une équipe cambrioler mon appartement
ou perquisitionner mon ordinateur. Les policiers et magistrats
intègres qui soutiennent notre action nous ont d'ores et déjà
aidé à sécuriser autant que nécessaire notre travail.

Il est de même inutile de tenter quelque action que ce soit qui
porterait atteinte à mon intégrité : une équipe a été constituée
pour se substituer à moi en cas de besoin.

Un appel public à témoins est lancé ici même : nous recherchons à
ce jour activement les noms, prénoms et états-civils des douze plus
hauts responsables officiels ou occultes de l'industrie civile et
militaire nucléaire française, parmi lesquels se trouvent les
commanditaires de cette tentative d'assassinat.

Nous demandons donc instamment aux citoyens intègres qui travaillent
au sein d'EDF, Areva, CEA, Ministères de la Santé, Ministère de
l'Industrie etc., de nous faire connaître par tout moyen à leur
convenance, de façon anonyme ou non, tout dossier ou information
susceptible de nous permettre de progresser dans la recherche de la
vérité dans la présente affaire.

Enfin, nous rappelons que tout fonctionnaire de l'État Français, au
regard de l'article 40 du Code de Procédure Pénale, a
l'obligation de dénoncer aux autorités compétentes toute
information relative à ce crime. Tout fonctionnaire de l'État ayant
connaissance du présent document engage donc de ce simple fait sa
responsabilité personnelle en s'abstenant de mettre en oeuvre les
actions qui sont nécessaires à la manifestation de la vérité dans
ce dossier.

1. Le contexte de l'opération « homo » contre Jean-Michel
Jacquemin

Le 14 avril dernier, la chaîne France 2 annulait au dernier moment la
diffusion d'un reportage d'Envoyé Spécial, intitulé «
Tchernobyl et la France : un mensonge d'État ».

Les téléspectateurs avaient été informés que des « révélations
» devaient y être faites. À 20 h 50, Alain Duhamel annonçait encore
ce reportage, annulé quelques minutes plus tard dans la
précipitation. Le même soir qu'une intervention de M. Jacques
Chirac, évidemment, cela aurait pu faire désordre : M. Jacques Chirac
était Premier Ministre de M. François Mitterrand en 1986 (accident
nucléaire de Tchernobyl).

Le 13 avril, la CRIIRAD et l'AFMT (Association Française des Malades
de la Thyroïde) ont demandé à Mme Bertella-Geffroy plusieurs mises
en examen, dont celle du Professeur Pierre Pellerin, directeur du SCPRI
en mai 86 (Service Central de Protection contre les Rayonnements
Ionisants).

Un récent rapport remis à cette juge démontre de très graves
manipulations de l'information mises en œuvre par les services de
l'État au moment du passage du « nuage de Tchernobyl » au-dessus
de la France en avril-mai 1986. Ce rapport confirme les démonstrations
publiées depuis 98 par Jean-Michel Jacquemin mais cette fois ce sont
des experts auprès des tribunaux qui écrivent...

Voir : Nouvel Observateur - Archives / Vendredi 15 Avril 2005 -
Environnement - Tchernobyl : la justice saisie.

Ces manipulations de l'information et l'absence de réaction des
autorités ont conduit à la prolifération des cancers de la
thyroïde, à l'augmentation significative de nombreux autres types
de cancers et sont responsables de la mise en danger de la vie de
milliers d'enfants.

À titre d'exemple, le seul registre exhaustif des cancers de la
thyroïde - en Champagne-Ardennes - qui existe depuis 30 ans,
montre pour la période 86/96 une hausse de 30% chez les femmes, 100%
chez les hommes et 300% chez les jeunes de 12 à 19 ans. De nombreuses
autres études et témoignages de médecins indépendants, notamment en
Corse, durement touchée par le fameux nuage, vont dans le même sens.
Dans le Haut-Rhin, les registres officiels montrent une augmentation de
280% des cancers du poumon en 8 ans (88-96), et de ceux du foie de
220%.

Le site de Jean-Michel Jacquemin

2. Pourquoi M. Jean-Michel Jacquemin a t-il fait l'objet d'un «
contrat » ?

Comme nous allons l'exposer en détail ci-dessous, M. Jean-Michel
Jacquemin a fait l'objet, début 2002, d'un « contrat » visant à
l'éliminer physiquement.

Ce « contrat » a été commandité au plus haut niveau de l'État,
par des responsables chargés de défendre l'industrie nucléaire
française (qui rapporte à la France autour de 5 milliards d'Euros
par an).

Pourquoi ? La chronologie du parcours de Jean-Michel Jacquemin
permettra de le comprendre.

Octobre 98 : les Éditions Sang de la Terre publient à Paris le
premier livre de Jean-Michel Jacquemin, avec une préface de Théodore
Monod :

« Ce fameux nuage... Tchernobyl, la France contaminée ».

Huit jours plus tard, la voiture de Jean-Michel Jacquemin, dont une
roue a été sabotée, fait 5 tonneaux. Ressorti indemne de cet «
accident », peu sujet à des interprétations paranoïaques,
Jean-Michel Jacquemin met cette affaire sur le compte d'un divorce
conflictuel et range ce dossier comme « sans importance ».

Dès février 99, se crée l'Association des Malades de la Thyroïde
(AFMT), déjà citée, qui désignera peu après Jean-Michel Jacquemin
comme Membre d'Honneur et responsable des relations avec les médias,
avec qui il entretient de nombreux contacts suite à la publication de
son livre.

Décembre 99 : seconde édition de son livre. Ses nombreuses
interventions médiatiques motivent alors l'IPSN et l'INVS à
déclencher une enquête épidémiologique, comme l'en informe le
successeur du Pr. Pellerin au SCPRI débaptisé en OPRI pour faire
oublier Tchernobyl...

Juillet 2000 : pendant la première Assemblée Générale des malades
de la thyroïde, à laquelle il participe, un chauffage électrique se
rebranche tout seul dans le studio de Jean-Michel Jacquemin, un
incendie se déclare et ses chat et chien échapperont de justesse à
la mort dans un appartement dévasté par le feu.

Une amie de Jean-Michel, experte en dossiers à risques, le prévient :
« Je ne crois pas à ton accident ni à cet incendie, pour moi, ce
sont des avertissements ».

Septembre 2000 : Jean-Michel Jacquemin participe à Villeneuve-sur-Lot
à un Forum « Journées Vertes » sur l'écologie. Un homme
s'approche de lui et lui tient ces propos : « Ce que vous écrivez
est dangereux pour vous, Monsieur ; généralement, on vous le fait
comprendre, par un accident de voiture, puis par un incendie et si vous
ne comprenez pas, par un contrat ».

Lorsque la juge Éva Joly avait voulu aller du côté du nucléaire
dans le cadre de son enquête dans le dossier Elf, un général bien
propre sur lui avait tenu le même genre de propos au milieu
d'échanges mondains dans un cocktail bien parisien.

Le 30 octobre 2000, suite à sa rencontre avec Jean-Michel Jacquemin,
Jean-Guy Talamoni fait voter à la quasi-unanimité par l'Assemblée
Corse une étude épidémiologique approfondie sur les conséquences du
« nuage de Tchernobyl ».

Il devient alors de plus en plus évident que les autorités
françaises ont menti, alors qu'elles auraient du distribuer des
pastilles d'iode à la population et interdire pendant plusieurs
semaines la consommation de légumes et de lait, au minimum sur la
moitié Est du territoire, comme l'ont fait tous les responsables
politiques des autres pays européens concernés.

M. Jean-Guy Talamoni - nationaliste corse, évidemment, cela fait
désordre - préfacera le second livre de Jean-Michel Jacquemin :

« Tchernobyl, aujourd'hui les Français malades »,

aux Éditions du Rocher (Paris, juin 2001). Les démonstrations
chiffrées sont accablantes pour le lobby nucléaire et les
responsables politiques en poste en 86 et dans les années suivantes,
qui ont tout fait pour cacher la vérité aux Français, au dépens de
leur santé et de leur vie et au plus grand profit - à court terme
- de l'image du nucléaire.

M. Jean-Michel Jacquemin devient vraiment très gênant, d'autant que
quelques médias continuent à le suivre, comme Paris-Match ou
France-Inter.

C'est en avril 2002 que ce journaliste qui croit encore vivre dans un
pays démocratique et un état de droit franchit la ligne jaune et
publie aux Éditions du Sang de la Terre son troisième livre :

« Tchernobyl, conséquences en France : j'accuse ».

L'opération « homo » (pour « homicide » en langage militaire et
langue de bois politique) démarre quelques jours plus tard.

3. Le déroulement de l'opération

Début mai 2002, Jean-Michel travaille comme responsable financier chez
son éditeur, Sang de la Terre, rue Blanche, dans le 9ème . À
l'heure du déjeuner, ses collègues étant absents, Jean-Michel
ouvre la porte du bureau à un jeune arabe de nationalité algérienne
(évidemment, l'on verra pourquoi), qui lui demande « s'il peut
lui donner un travail ». Jean-Michel Jacquemin lui répond non, avec
amabilité.

Quelques jours plus tard, Jean-Michel Jacquemin croise le même jeune
algérien sur le trottoir. Celui-ci lui renouvelle sa demande et
insiste pour se faire offrir un café.

Jean-Michel, homme naturellement affable, catholique pratiquant, ayant
comme l'on dit familièrement « le cœur sur la main », accepte
d'offrir un café à ce jeune Mustapha à un comptoir du quartier.

« Peux-tu m'aider à trouver un travail ? » demande à nouveau
Mustapha. Il se trouve que, à cette époque, Jean-Michel Jacquemin est
aussi candidat aux élections législatives à Massy, où il demeure
avec son ami Fabien Baron, avec qui il vit en couple homosexuel après
leurs divorces respectifs.

Jean-Michel Jacquemin propose donc à Mustapha Remache (le nom ne sera
connu que quelques mois plus tard) de lui faire rencontrer l'imam de
Massy, avec qui Jean-Michel Jacquemin est en contact en tant que
candidat aux législatives soutenu par Cap 21, le groupe politique
animé par l'ancienne Ministre de l'Écologie et avocate Corinne
Lepage.

Les numéros de téléphone portables sont échangés, Mustapha insiste
pour que Jean-Michel Jacquemin l'invite chez lui « quand tu seras
seul » et les deux hommes se séparent.

Trois semaines plus tard, ne se doutant de rien, Jean-Michel Jacquemin
propose à Mustapha de venir chez lui le vendredi 24 mai au soir, pour
qu'il puisse le présenter le lendemain à l'iman de Massy, avec
qui contact avait été pris.

Mustapha avait insisté pour venir le soir, au motif « qu'il ne
pouvait pas quitter de bonne heure le matin l'appartement de l'ami
restaurateur qui l'hébergeait et travaillait tard le soir ».

Mustapha passe ainsi une soirée agréable en compagnie de Jean-Michel
Jacquemin et de son ami Fabien Baron, en leur racontant sa vie
difficile d'émigré algérien « seul en France ».

Le lendemain, Mustapha reste une partie de la matinée avec Fabien
Baron et insiste pour nettoyer seul la cuisine en attendant l'appel
de l'imam pour son rendez-vous. Après une opération de distribution
de tracts électoraux à laquelle Mustapha avait proposé de participer
« pour rendre service à ses nouveaux amis », les trois protagonistes
de ce mauvais roman policier se retrouvent pour un repas du samedi
soir, sans alcool ni drogue, avec un couple d'amis qui avaient
participé à la distribution de tracts et qui quittent l'appartement
vers minuit.

Jean-Michel Jacquemin et Fabien laissent Mustapha, alors tout à fait
calme, se coucher sur le canapé du salon et vont se coucher dans leur
chambre.

Minuit trente-huit, nuit du 25 au 26 mai 2002 : Mustapha se précipite
brusquement dans la chambre de Jean-Michel et Fabien, fait un
roulé-boulé au-dessus du lit et se jette sur Jean-Michel Jacquemin,
à qui il donne huit coups de couteau avec une lame de 20 cm. Fabien
tente de défendre son ami et reçoit quatre coups de couteau, dont un
sectionnera l'artère mammaire gauche. Mustapha est incontrôlable et
déploie une force inattendue et inexplicable.

Tentative de défense, fuite, Fabien réussit à téléphoner aux
pompiers pendant que Jean-Michel tente d'enfermer Mustapha dans la
chambre. Le sang commence à gicler sérieusement des plaies et
couvrira le sol de la chambre, du couloir et de l'entrée.
Jean-Michel et Fabien réussissent à quitter l'appartement et
appellent leurs proches voisins au secours.

Police, ambulances, refus d'un premier hôpital, envoi des deux
victimes dans deux hôpitaux différents, évanouissements, pertes de
près de 5 litres de sang pour Fabien, qui restera plusieurs semaines
entre la vie et la mort, Jean-Michel s'en sortant un peu mieux
malgré ses huit coups de couteaux dans la poitrine.

L'opération « homo », malgré les drogues prises par Mustapha au
moment de l'action pour déclencher son agressivité, vient
d'échouer lamentablement.

C'est alors que va se mettre en place la gestion de crise, par le
système policier et judiciaire, puisque, contrairement à ce qui
était prévu, Jean-Michel Jacquemin et son ami ne sont pas morts.

4. La gestion de crise : policiers, juges et journalistes gangsters
entrent en action

Le mauvais roman policier devient alors totalement exécrable : nous
entrons désormais dans une histoire qui va de plus en plus ressembler
à une gestion de crise dans l'affolement et la panique la plus
complète des services de police et de justice concernés.

Jean-Michel Jacquemin a consigné par écrit en détail l'ensemble
des opérations et actes de procédures de l'enquête policière et
judiciaire : selon le point de vue où l'on se place, c'est à
hurler de rire ou pleurer de désespoir. Un livre de 300 pages a
d'ores et déjà été déposé à la Société des Auteurs le 29
juillet 2003 en attendant de trouver un éditeur.

C'est exclusivement à cause de cet écrit que l'auteur de
l'agression a fini par être arrêté par la police en décembre
2003, selon la procédure que Jean-Michel Jacquemin avait décrite dans
son livre en expliquant que le tueur aurait pu être arrêté quelques
jours après l'agression... Il est actuellement à la prison de
Fleury-Mérogis, les policiers n'ayant pas réussi à le laisser en
fuite... C'est à présent un livre de 400 pages qui va paraître
prochainement.

Non, l'enquête ne connaît pas de « dysfonctionnements » ou des «
erreurs », comme le croient encore parfois les victimes et comme tous
ces gangsters vont tenter de le faire croire maintenant qu'ils sont
dénoncés publiquement.

L'enquête est simplement conçue, organisée et menée étape par
étape pour démontrer que le jeune Mustapha Remache est un pauvre
arabe agressé par deux homosexuels en rut un soir de campagne
électorale, qui ont voulu le violer et dont il a été obligé de se
défendre.

Avec les policiers de Massy, tout se passe bien mais dès que le SRPJ
de Versailles arrive, tout dérape : un des policiers a ainsi demandé
aux voisins du couple Jacquemin-Baron, qui ne savaient même pas que
les deux hommes vivaient ensemble : « Lequel fait l'homme ? Lequel
fait la femme ? » Puis, s'ils ne voulaient pas aussi déclarer «
qu'on les avait trouvés en bas et porte-jarretelles »... Lorsque
l'on connaît Jean-Michel et Fabien, l'on ne peut que hurler de
rire...

Il est inutile de détailler ici comment policiers et magistrats s'y
prennent pour mettre en oeuvre une opération de désinformation,
manipulation et trucage de la réalité des faits : le récit complet,
pièces à l'appui, sera bientôt disponible et tout journaliste ou
magistrat intègre qui le souhaite peut d'ores et déjà en prendre
connaissance.

L'analyse psychosociologique et linguistique du contenu des actes de
procédure, tant des policiers et des magistrats, conduit à des
conclusions terrifiantes :

mensonges innombrables manifestement volontaires des policiers et des
juges visant à protéger le criminel, faux incontestables en
écritures publiques, perquisitions illégales et répétées du
domicile des victimes, faux procès-verbaux sans mention des questions
ni signature des personnes interrogées, refus d'actes évidents,
rapports truqués d' « experts » aux ordres, questions orientées
tant des policiers que des juges pour aider l'agresseur à mieux
mentir et à retourner la situation, pour transformer une affaire
d'assassinat d'État en affaire de cul, pressions sur les victimes,
subornations répétées de différents témoins, destruction de
preuves matérielles, déclarations homophobes discriminatoires et
délirantes des juges et policiers...

Pourtant, comme le dit Mustapha à l'un des juges d'instruction :
« Ce sont les policiers qui m'ont dit de dire cela »...

Anecdoctiquement, les policiers ont cru pendant quelques jours que les
deux victimes allaient effectivement mourir de leurs blessures, comme
cela était prévu ; cela leur a permis de voler près de 2 000 euros
de bijoux dans le bureau de Jean-Michel Jacquemin : le procès-verbal
d'inventaire et les photos font disparaître les bijoux posés sur le
bureau et, miraculeusement, ceux-ci ont réapparu pour le retour de
Jean-Michel, sauf deux de grande valeur... Bien qu'il soit aisément
démontrable que seuls les policiers ont pu effectué ce vol, la
plainte sera classée sans suite par le TGI d'Évry.

Alors que Jean-Michel Jacquemin a fourni aux policiers toutes les
informations nécessaires qui auraient permis l'arrestation
immédiate de l'agresseur dès le lendemain du crime, les policiers
vont attendre 18 mois pour opérer l'arrestation... sous les caméras
de TF1 !!

Et ce, après 18 mois d'écoutes téléphoniques multiples sabotées
volontairement tant par les magistrats que par les policiers.

Pourtant, les policiers avaient connaissance du numéro de portable du
criminel dès le 26 mai à 14 h 30 et, dès le 29 mai, avaient en leur
possession l'adresse parisienne de son principal correspondant.
Depuis l'arrestation d'Yvan Colonna en Corse, tous les français
savent que n'importe qui peut être repéré à moins de 30 mètres
par son téléphone portable.

Nous sommes dans cette affaire dans un véritable délire collectif mis
en oeuvre par des policiers totalement nuls, malhonnêtes,
incompétents et criminels, qui vont agir avec la complicité très
active des équipes de l'émission de TF1 « Droit de savoir », sous
la direction de Charles Villeneuve.

En effet, le 4 mai 2004, TF1 va diffuser - puis rediffuser deux
autres fois les 7 et 13 mai 2004 - un « reportage » qui montre en «
live » l'arrestation du jeune Mustapha Remache dans un hôtel borgne
du 18ème arrondissement un matin de décembre 2003...

Six heures du matin, le criminel attend les policiers et, impatient,
soulève les rideaux de sa chambre (au rez-de-chaussée sur cour) pour
vérifier si ceux qu'il attend sont bien là. Sa compagne est déjà
toute habillée dans le lit et, bien entendu, notre arabe de service
hurle comme il se doit quand les policiers se jettent sur lui...

TF1 ira même jusqu'à laisser le jeune Mustapha dire haut et fort à
l'antenne son nom, alors que, au moment de l'arrestation, il
n'est encore que prévenu. Cela lui permettra sans doute de gagner 10
000 € devant un tribunal... Sans parler du fait que les informations
données à l'antenne permettent à quantité de gens d'identifier
très aisément les victimes, dont la parole est totalement ignorée
par le « reportage ». Une mise en demeure du CSA a été adressée
à TF1 pour ces faits parfaitement illégaux et en violation des
règles du CSA.

La manipulation télévisuelle dans cette affaire est digne des anciens
pays de l'Est. Ce n'est plus seulement immonde, c'est du fascisme
télévisuel en marche.

Le caméraman de la société de production de Charles Villeneuve, TAP,
un certain Jean-Pierre Rey, va continuer à filmer notre tueur raté
lorsqu'il se retrouvera dans la voiture de la police, ce qui
n'empêchera pas le même Mustapha de dire plus tard au juge qu'il
ne savait pas avoir été filmé... Évidemment, le juge ne relèvera
pas...

Ce « reportage » inqualifiable tente de démontrer, avec une
pseudo-reconstitution, avec des images tournées à l'insu du voisin
militaire de Jean-Michel Jacquemin et Fabien Baron, pendant son
audition comme témoin - où le policier fait les questions et les
réponses -, avec des interviews totalement orientés et manipulés du
criminel, que, oui, tout cela n'est qu'une banale affaire
d'homosexuels obsédés et que les victimes, ma foi, sont en fait
très certainement les agresseurs initiaux du pauvre arabe de
service...

L'étude attentive de ce « reportage » de M. Charles Villeneuve
permet de conclure de façon formelle, manifeste et incontestable à
une manipulation totalement volontaire de l'information que ne peut
en aucun cas être imputable à des maladresses, des malentendus ou des
incompétences tant des policiers que des journalistes ou des juges.

Notre étude de l'ensemble du dossier, notamment des actes de
procédures auxquels nous avons eu accès et des images diffusées par
TF1 nous ont conduit à une absolue et définitive certitude : nous
sommes bien face à une opération « homo », telle que les «
services » sont coutumiers sous la Vème République : tous les
ingrédients y sont présents.

Les policiers et les magistrats obéissent manifestement aux ordres
reçus : protéger par tous les moyens le criminel à qui des papiers
en règle ont été certainement promis en échange du « service »
qu'il a accepté de rendre, à savoir tuer Jean-Michel Jacquemin,
décrédibiliser les victimes en passant totalement sous silence le
fait que, avant toute chose, la personne visée par l'agression,
Jean-Michel Jacquemin, était au moment des faits, candidat aux
législatives et auteur de trois livres très dérangeants sur les
conséquences de Tchernobyl. Et pour réussir cela, quoi de plus simple
que d'utiliser la « faille » de Jean-Michel Jacquemin ? Il vit en
couple homosexuel...

5. Les auteurs et complices de cette tentative d'assassinat d'État

L'auteur de l'agression, Mustapha Remache, à ce jour sous les
verrous, est évidemment clairement identifié.

Pourquoi lui ? Les fonctionnaires de l'État Français, y compris les
agents des services « action » de la DGSE ou de la DST, sont à ce
jour beaucoup trop soucieux de leur confort et de leur carrière pour
assumer eux-mêmes directement un assassinat au service et sur ordre de
l'État.

Les « services » font donc appel, comme cela se pratique de toutes
les façons depuis longtemps, à des « petites mains », recrutées
comme tueurs d'occasion après avoir été mis sous pression pour une
affaire quelconque et gardés « au chaud » parfois pendant nombre de
mois « au cas où ». Un peu de pressions, une carotte (argent,
papiers, libération de prison d'un proche, oubli d'un dossier
délicat etc.) et le tour est joué : le tueur va pouvoir passer à
l'action, en étant certain ou à peu près de l'immunité... Sauf
si cela tourne mal... ce qui est le cas dans la présente affaire.

Pour preuve, contrôlé par la police et les Renseignements Généraux
lors de la fermeture d'un squat le 23 avril 2003 - soit près
d'un an après l'agression - Mustapha, dont le nom figure sur les
documents policiers, est laissé en liberté alors que 25 autres
personnes sont mises en garde à vue...

Pourquoi un algérien ? C'est bien connu, les algériens et/ou les
arabes manient mieux le couteau que les suédois... Et rares sont les
suédois qui ont des problèmes de papiers pour vivre en France... Et,
par ailleurs, cela permet, en bénéfice secondaire, de renforcer
l'image de l'arabe-danger public...

Il est très clair et manifeste dans cette affaire que l'ordre de
tuer Jean-Michel Jacquemin est parti du sommet des autorités de
l'État.

Pour le moment, nous n'avons pas identifié qui, précisément, a
donné l'ordre. En général, dans les règles écrites ou non du
fonctionnement de la Vème République, les opérations « homo »
doivent être signées conjointement par Matignon et par l'Élysée.
Dans le cas d'espèce, il n'est pas impossible que l'ordre ait
seulement été donné par un ou plusieurs hauts responsables
militaires ou civils en charge de la protection des affaires
nucléaires.

Outre les juges déjà nommés ci-dessus, les exécutants organisés en
bande criminelle qui ont obéi « aux ordres » et ont mis ou mettent
toujours à ce jour en œuvre tous les actes nécessaires et utiles à
la protection du criminel et qui seront donc considérés comme les
complices actifs de la tentative d'assassinat sont les suivants.

- Sylvie Nérot, juge d'instruction, vice-présidente du TGI Évry,
dessaisie,

- Jean-Wilfrid Noël, juge d'instruction, vice-président du TGI
Évry,

- Charles Villeneuve, ex-officier du SDECE/DGSE, « journaliste » à
TF1,

- Jean-Pierre Rey, journaliste « indépendant » et pigiste pour la
société TAP de Charles Villeneuve,

- Michel Gaudin, préfet, Directeur Général de la Police Nationale,

- Mr le Procureur de la République, TGI d'Évry,

- Franck Du Peyroux, capitaine de police, SRPJ de Versailles, Brigade
Criminelle,

- Patrice Faugeroux, Commandant de Police, SRPJ de Versailles,

- Martine Volle, Lieutenant de Police, SRPJ de Versailles,

- Richard Théry, Lieutenant de Police, SRPJ de Versailles,

- Serge Delesse, Commandant de Police,

- Laurent Duchâtel, Capitaine de Police, SRPJ de Versailles,

- Olivier Sotty, Lieutenant de police, SRPJ de Versailles, Brigade
Criminelle,

- Frédéric Naizot, journaliste au Parisien,

- Dr Yves Dano, médecin légiste, expert près la Cour d'Appel de
Paris et des Tass.

Sous réserve d'une étude plus approfondie.

Il doit être noté que deux policiers se sont comportés
convenablement dans cette affaire. Ils ne sont donc pas cités ici mais
pourront faire l'objet ultérieurement de citation comme témoins.

Les représentants du CSA se sont eux aussi montrés corrects dans leur
démarche de mise en cause de TF1 et de Charles Villeneuve pour les
illégalités commises.

Par contre, les fonctionnaires de l'IGS/IGPN (Inspection Générale
de la Police Nationale) n'ont donné aucune suite aux plaintes de M.
Jacquemin et seront donc mis en cause.

Il appartiendra à un juge indépendant et intègre d'établir les
responsabilités de chaque acteur dans la présente affaire de
tentative d'assassinat d'un honnête citoyen européen par des
représentants de l'État Français.

6. Quelques commentaires du psychosociologue

Au lendemain de la deuxième guerre mondiale, les militaires gaullistes
ont défini un accord puissant avec les ingénieurs polytechniciens du
Parti Communiste Français, pour construire et sauvegarder la
souveraineté politique et l'indépendance énergétique française,
au travers, d'une part, de l'acquisition, malgré l'opposition
des USA, de la bombe atomique et, d'autre part, du développement du
nucléaire civil.

Ces réseaux, bien souvent imbriqués dans différentes loges
maçonniques, regroupent héritiers du stalinisme et catholiques
bien-pensants aux familles nombreuses, droits, intègres pour ne pas
dire intégristes et, surtout, profondément persuadés, en leur âme
et conscience, d'œuvrer pour le bien du pays tout entier, de la
nation française et donc, de chacun de nous.

Au nom de ce « grand œuvre » qu'est la sauvegarde de
l'indépendance énergétique de la France, via EDF, le CEA et les
autres structures du nucléaire, ces ingénieurs intégristes ont
construit depuis plusieurs décennies nos centrales et ont ainsi fourni
à la France devises et énergie relativement bon marché. Il se peut
qu'ils aient ainsi vraiment rendu service à leur pays.

Le petit souci est que, à ce jour, tous savent - ou devraient savoir
- que le nucléaire est une impasse scientifique et intellectuelle
totale et que cette industrie est, soit, promise à une fin prochaine,
soit nous conduira tous à la destruction radicale de la planète et de
l'espèce.

Mais un ingénieur français, surtout lorsqu'il est polytechnicien,
ne peut pas avouer qu'il s'est trompé. C'est « congénitalement
» strictement impossible. C'est bien pour cela d'ailleurs que
l'on trouve dans ce groupe social si particulier de nombreux
communistes version staliniens bon chic bon genre : les dérives
intégristes et totalitaires de la pensée sont les mêmes dans les
deux cas.

Reconnaître que le nuage de Tchernobyl ait pu toucher la France en 86
a donc été totalement insupportable pour ces gens-là, Professeur
Pierre Pellerin en tête. Ils ont donc tout fait pour cacher le réel
aux Français, pour, surtout, ne pas nuire à l'image du nucléaire :
le nuage s'est donc arrêté sur la ligne Maginot...

Absurde et dramatique à la fois : aujourd'hui, vingt ans après, les
chiffres des cancers dus à cette irradiation qui n'a pas été
gérée à l 'époque sont en train d'exploser.

Jean-Michel Jacquemin a eu le tort de dénoncer courageusement ce
véritable crime d'État contre la population française, menée «
au nom de la raison d'État ».

Il fallait donc l'éliminer physiquement, toujours « au nom de la
raison d'État ».

Le jeune arabe qui a donc été envoyé pour accomplir cette basse
besogne, sous la protection active des policiers, magistrats et
journalistes réquisitionnés sur ordre dans ce dossier, est au final
tout autant victime que les victimes directes de l'agression : les
véritables responsables sont à ce jour bien au chaud derrière leurs
confortables bureaux et leur bonne conscience d'avoir agi « au nom
de la raison d'État ».

Je ne suis pas certain que cela soit acceptable dans une État de droit
et une République qui se veut démocratique. Je fais même partie de
ceux qui pensent que cela n'est pas acceptable du tout.

Il y a quelques années, j'ai accusé M. Charles Pasqua d'être
lourdement impliqué dans l'affaire des 76 morts de l'Ordre du
Temple Solaire.

Il y a quelque temps, M. Charles Pasqua a déclaré à son médecin -
qui est aussi celui de M. Dumas, de M. Chevènement et de quelques
autres du même milieu, du côté des Champs-Élysées - qu' « il
ne risquait rien dans l'affaire de l'OTS, puisque c'est une
affaire d'État ». Merci, M. Pasqua de cet aveu, c'est honnête de
votre part.

Sans doute pourrez-vous bientôt lui dire la même chose à propos de
l'assassinat raté de Jean-Michel Jacquemin : « Je ne risque rien,
c'est une affaire d'État ».

Je suppose, cher Charles, que vous souvenez que, lorsque vous étiez
Ministre de l'Intérieur de Jacques Chirac en mai 86, c'est bien
vous qui, à la place de Mme Michèle Barzach clouée au fond de son
lit, avez fait rédigé sur papier à en-tête de votre Ministère le
communiqué de presse diffusé par le Ministère de la Santé
déclarant haut et fort :

« La Santé Publique n'est aucunement menacée par les conséquences
de cet accident. (Tchernobyl). Les activités courantes peuvent donc
être poursuivies sans précautions particulières, notamment :

- alimentation : les eaux habituellement potables, le lait, les
produits alimentaires frais ou de conserve peuvent être consommé
quel que soit l'âge du consommateur ;

- activités de plein air : elles peuvent être menées sans
modification (travaux divers, jeux, sports, promenades, baignades).

Aucune précaution particulière ne s'impose donc, mais les règles
ordinaires d'hygiène s'appliquent normalement. Les indications sont
valables pour l'ensemble du territoire. » (Le Monde, 18-19 mai 1986)


Soit, en substance : « Circulez, il n y'a rien à voir ». Comme
l'ont compris les Français, le nuage de Tchernobyl s'est
miraculeusement arrêté à la frontière germano-française...

Combien de morts ce texte publié par votre Ministère a-t-il causé à
un moment où il était indispensable de donner d'extrême urgence
aux Français des pilules d'iode et de leur demander de cesser toute
consommation de légumes frais et de lait ? Au lieu de cela, vous les
avez encouragés à faire du tourisme dans les zones les plus
contaminées...

Bon, d'ici peu, vous pourrez toujours redire à votre médecin
préféré ce que vous lui avez dit à propos de l'OTS : « Je ne
risque rien, c'est une affaire d'État ».

En effet, un fait apparemment anodin m'a bien fait rire, tant il vous
ressemble : l'appartement de Jean-Michel Jacquemin a été
perquisitionné à 7 reprises pendant son séjour à l'hôpital, dont
6 fois de façon illégale, sans témoins ni procès-verbaux ; et comme
par hasard, lors de son retour, Jean-Michel Jacquemin trouve sur le
sol de son bureau, bien ouvert, son dossier Paris-Match/Charles Pasqua,
relatif à une affaire de diffamation - gagnée par le journal grâce
au témoignage de Jean-Michel Jacquemin - où, précisément, vous
étiez mis en cause... Une signature et un autre avertissement ? Raté,
Charles.

C'est quand même terrible qu'un ancien Ministre de l'Intérieur
ne puisse même plus avoir confiance dans son médecin pour garder le
secret des confidences et des aveux qu'il lui fait pour soulager sa
conscience de criminel d'État ayant à ce jour des centaines de
morts sur la dite conscience.

Que voulez-vous, cher Charles, les psychosociologues et
psychothérapeutes de mon espèce disposent de technologies
ultramodernes d'écoute et de renseignement qui dépassent très
largement les médiocres performances de vos petits poseurs de micros
et autres flics à la petite semaine.

Si vous voulez, je vous expliquerai, dans une prochaine vie...

En attendant, il va bien falloir que les cloportes qui ont tenté de
faire assassiner Jean-Michel Jacquemin répondent de leurs crimes, tout
comme ceux qui les protègent :

non seulement, ils ont tenté de mettre en œuvre un assassinat
d'État ignoble et totalement injustifiable mais, en plus, ils ont
totalement et lamentablement raté leur coup.

Il fut une époque, cher Charles, où vos services étaient tout de
même plus performants et savaient dépenser les fonds de l'État
dans des opérations plus réussies que celle-ci...

Christian Cotten

18 avril 2005

Le site de Jean-Michel Jacquemin

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