torture en algérie
ubuje...@free.fr
où vivent 700 personnes, à dix kilomètres de Melouza. Melouza est un
village qui est rallié à messali hadj et à son MNA.
Tous les hommes de plus de 15 ans sont parqués dans une place sous la
surveillance d'hommes armés. A la nuit les femmes et les enfants sont
conduits devant la place et les hommes sont massacrés sauvagement,
(avec les mutilations rituelles). Il y aura 301 morts et plus de 150
blessés, et une dizaine e femmes rendues folles.
Photos disponibles sur simple demande.
Votez Nestor le pingouin
Camille
"Votez Nestor le pingouin" a conseillé, sans payer :
> Pourquoi ne faites-vous pas un site ?
C'est une fausse bonne idée.
Je pense que ça pourrait être dangereux, même 40 ans après...
ubuje...@free.fr
il y en a déjà:
http://www.algerie-francaise.org/
et sur celui là quelque autres liens.
mais le problème est bien sûr de toucher les gens qui s'en foutent,
ceux qui vont voir ce site sont déjà convaincus.
Hervau
40 ans après les accords d'Evian et l'indépendance, dans les djebels
d'Algérie, tous les jours et toutes les nuits des victimes sont égorgées
comme des moutons ! La France n'a plus rien a y voir depuis très longtemps
puisque "les vilains colonialistes" sont partis depuis longtemps en emmenant
toute culture ! Ceux qui toutes les nuits sur le territoire algérien,
confondent désormais leurs coreligionnaires avec des agneaux et leurs
appliquent le "sourire Kabyle" ne sont-ils pas les mêmes (ou leurs
descendants) qui à l'époque commirent un "véritable génocide" sur la
population PIEDS-NOIRE ET HARKIS, avec la complicité "ACTIVE", il est vrai
des autorités françaises dont un trop fameux de gaulle, assisté des joxe,
mitterrand, général KATZ et les barbouzes de de gaulle, les fameux réseaux
FOCCART etc...
La France n'est plus en cause, c'est donc bien une culture digne des pays
communistes qui s'est mis en place avec l'indépendance ! Cela nous rappelle
ceux "QUI VOULAIENT NOUS FAIRE PASSER DE L'OMBRE A LA LUMIÈRE" en 1981.
Depuis d'un côté comme de l'autre de la méditerranée, c'est le chaos, le
néant , le règne de l'arbitraire et des exécutions sommaires ! Les ratées de
la France en Algérie et de l'Algérie en France ont la même origines et les
mêmes VOLEURS et affameurs de peuple pour RESPONSABLES ET COUPABLES ! Seule
une législation a géométrie variable, taillée sur mesure pour ses pères
FONDATEURS avec les pseudo accords d'évian :"Accusé de gaulle et consorts !
LEVEZ -VOUS !" , Si parfois les mots :"DIGNITÉ , HONNEUR" vous rappelle
quelque chose ! (déjà la culture de l'autoamnistie ?). Bizarre, cette loi
qui permet de juger Maurice PAPON pour des faits commis en 39-45 et qui ne
permet pas de traîner en justice même à titre posthume et de flétrir à
jamais l'Honneur disparu des de gaulle, mitterrand, joxe, katz et de tous
les acteurs de la déportation de masses des Pieds-Noirs et Harkis, de leur
abandon, de leur assassinat en masse.(pour des faits commis de 54 à 62, voir
plus si affinités).
40 ans après hors présence de la france, la république "démocratique"
algérienne montre son vrai visage, le même qu'avant l'indépendance pendant
les 7 ans "d'opérations de Maintien de l'Ordre"(** Le terme officiel de
"GUERRE D'ALGÉRIE" n'étant admis que depuis 1999 !), le FLN et ses clones
sont toujours là ! Le couteau à la main, et ainsi révèle son vrai visage !
Sans que les grandes consciences humanitaires ne s'en émeuvent ! Dépêchons
nous de déplier le tapis rouge pour accueillir le chef des bourreaux à
nouveau sur le sol français ! C'est ainsi qu'elle est grande la france,
"faible avec le fort et forte avec le faible !" C'est pour ces gens que l'on
nous demande de voter ? Y-a-t'il un pilote dans l'avion ? Sommes nous en
droit de nous demander !
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<ubuje...@free.fr> a écrit dans le message :
3c963443...@news.free.fr...
HOT SHOT
on s'en tape de la torture en algerie.il n'y a pas de guerre sans torture ou
alors dans vos tetes habituees a etre mises dans le sable.et les medias infeodes
on s'en tape aussi(arte,m6,a2 etc..)
--
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ubuje...@free.fr
Un témoignage du harki Z... attaché pendant quatre ans aù 15. B.C.A.
et 121. B.C.A., réfugié en métropole :
Le lieutenant A.L.N. Boumedienne Mouloud a fait égorger trois de mes
camarades: Oussel Ali, Dahmane Mohamed, Amar Ouaroun.
Six autres ont été attachés, arrosés d'essence, brûlés vifs en plein
centre de Tizi-Ouzou.
La patronne d'un hôtel, une Européenne, m'a caché et j'ai rejoint
l'Armée. Les Européens qui voulaient nous cacher étaient menacés de
mort ou enlevés.
A Trolard Taza, le F.L.N. a reconstitué deux petites unités de harkis,
les a jetés dans une arène improvisée sous les yeux de leurs familles
et de la population réunie de force, en leur imposant une rencontre au
poignard sous la promesse de laisser la vie sauve au vainqueur. Le
combat étant médiocre, l'A.L.N. a abattu sur-le-champ quelques harkis
et leurs corps furent abandonnes sans sépulture.
A Duvivier, dans le Constantinois, des harkis ont été attachés par les
poignets les uns aux autres comme un chapelet de saucissons derrière
un camion G.M.C. qui, après avoir démarré lentement, a accéléré et les
a traînés à toute vitesse jusqu'à ce que mort s'ensuive. "
Le harki Ichou Boumar a déclaré: le 17 septembre,j'ai été arrêté avec
vingt-quatre de mes camarades de la harka de Perrigotville, frappé,
malmené sauvagement pendant quatre jours. On nous a fait pénétrer le
cinquième jour dans un silo de terre sèche en forme de tronc de cône
et là, entassés les uns sur les autres, on a commencé à nous
mitrailler. Je voyais les balles, par rafales, entrer dans la masse
des corps enchevêtrés. Je sentis une grande douleur dans le dos. Mes
camarades gémissaient, et alors nos bourreaux entassèrent de la paille
et des branchages. Me trouvant dans le fond du silo et, poussé par la
douleur, j'ai pu me dégager. Mes vingt-trois camarades étaient morts.
Thomas CARDON
fait grave flipper môa les pauvres t'imagines ou koi nan mé je veu dire
comment je pourrai aider môa la dedans parceque je voudrai bien aider môa
kan même desfois si je peux si c'est posible ou koi ke ce soit.
DISANA
la remuer sans cesse comme çà sûr il doit aussi en manger. Ce con n'a pas
encore compris que ce n'est pas en jetant de l'huile sur le feu que l'on va
ramener la paix entre les deux rives de la méditérannée. Ce con la guerre il
aime çà, il l'aime tant qu'il voudrait qu'elle recommence, pauvre type. T'es
comme l'autre chacal t'es encore moins respectable qu'une semelle de botte
de SS.
LBZ.
<ubuje...@free.fr> a écrit dans le message :
3c9b7ade...@news.free.fr...
VGR
"Thomas CARDON" <tom.c...@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
a7fuuk$5hu$1...@wanadoo.fr...
VGR
"DISANA" <leon.l...@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
a7g17p$81$1...@wanadoo.fr...
DISANA
la merde et de voir que çà ne prend pas. Padpo pour le traîneur de sabre de
service, la guerre de Troie n'aura pas lieu. Remarque que si tu as tant
envie de te faire casser la gueule, rien ne t'empêche de t'engager chez les
Talibans, avec eux tu seras servi tout est interdit sauf de s'entre-tuer.
LBZ.
VGR <mv...@wanadoo.fr> a écrit dans le message : a7gt96$snd$1...@wanadoo.fr...
ubuje...@free.fr
Ichou, chef d'autodéfense, El Bor, égorgé.
Boughazi, harki D.B.F.M. Nemours, fusillé.
Khaladi, policier, Nemours, tué à coups de cailloux.
Hassemou, agent 2- b, Nemours, tué à coups de cravache.
Belbekir, G.M.S. 80, El Bor, fusillé.
Benhadki, interprète, 2" b., Tlemcen, fusillé.
Begdadi, père du sous-préfet, Nedroma, tué à El Bor.
Voici le récit recueilli le 10 août 1962 d'un sergent-chef d'un
régiment d'infanterie en garnison à l'A..., près d'Alger.
" Le régiment rentre en France dans un mois; comme nous ne faisons
rien, pas même protéger les gens menacés, cela vaut mieux pour tous.
~ " Quand je dis qu'on ne fait rien, c'est si vrai qu'on n'intervient
même plus auprès des commissions mixtes de cessez-le-feu pour obtenir
la libération des Français, Européens ou musulmans que nous
connaissons, qui sont prisonniers. Si nous demandons à agir, nous
sommes sanctionnés ou mutés. Le plus affreux, c'est qu'il y a eu, en
juillet, à Blida et à Zéralda, et sûrement dans d'autres coins, des
musulmans qui ont manifesté en criant : " Algérie française" .L '
A.L.N .a tiré dessus et nous n'avons pas bougé. Je commandais en
second un commando de chasse. Mes quarante harkis, que l'on avait
progressivement désarmés, ont été pris par les rebelles. Certains ont
été tués au hasard, les rescapés sont au camp de Taourtatsine, dans
l'Atlas blidéen.
Plusieurs centaines de prisonniers, parmi eux des Européens, femmes et
enfants avec lesquels on " s'amuse ", puis on les torture, on sale les
plaies. Pour vous montrer où l'on en est, la Wilaya IV vient braver
les militaires français devant le cantonnement, interdisant aux
militaires de porter les décorations acquises en Algérie. ~
M. Ben Bella, dans sa déclaration à Europe N. 1, reconnaissait
l'existence de camps d'internements qui seraient en fait des centres
de protection. Il admettrait aujourd'hui, ce dont il me sera permis de
douter, un contrôle de la Croix-Rouge, mais que ne l'a-t-il permis
plus tôt, au moment où le crime et l'horreur étaient quotidiens. Le 8
septembre 1962, l'hebdomadaire Paris-Match, n° 700, rapportait des
faits qui avaient eu lieu dans la région de l'Orléansvillois. Ces
informations recoupent celles recueillies par mes informateurs sur la
vie à l'intérieur de ces camps. Sur toutes les routes d' Algérie qui
conduisent à ces enfers, il y a au fond des oueds, des cadavres
déchiquetés, coupés en morceaux, et des champs transformés en
charniers.
J'évoque le camp de Bois-Sacré, qui était un ancien centre de repos
des Sahariens, à quelques kilomètres de Gouraya. Une katiba y règne
depuis juillet où furent amenés cent cinquante prisonniers. Au début
de septembre, il n'en restait plus que vingt.
Un harki évadé de cet enfer m'a raconté comment un médecin français,
enlevé le 14 juillet à Marceau, a été, devant toute la population du
camp, frappé, ligoté à un arbre, les yeux crevés, émasculé, les mains
coupées. Ce harki me disait qu'il n'oublierait jamais ce qu'il avait
vu, et ce qui rendait encore plus affreux leur existence, c'est que de
temps en temps, des avions de l'Armée, qui ne pouvaient pas ne pas
voir les grappes d'Européens et de musulmans qui, sous les yeux de
leurs bourreaux, faisaient des signes désespérés, survolaient le camp.
ubuje...@free.fr
wrote:
>ubu-viala est le roi des cons et en plus il doit aimer l'odeur de la merde à
>la remuer sans cesse comme çà sûr il doit aussi en manger. Ce con n'a pas
>encore compris que ce n'est pas en jetant de l'huile sur le feu que l'on va
>ramener la paix entre les deux rives de la méditérannée. Ce con la guerre il
>aime çà, il l'aime tant qu'il voudrait qu'elle recommence, pauvre type. T'es
>comme l'autre chacal t'es encore moins respectable qu'une semelle de botte
>de SS.
disana le petit salaud violeur de fatma par bouc interposé aime pas
qu'on rappelle les barbaries de ses copains, aime juste les programmes
tv ousqu'on parle des baffes et magnétos de l'armée française;
disana, le fln réfugié en france.
henry.toitot
incendies, et font ressurgir des souvenirs qui ne sont glorifiant ni pour
les uns ni pour les autres, sont des imbéciles qui risquent de ce
détruirent en détruisant les autres.
<ubuje...@free.fr> a écrit dans le message de news:
3c9cfd56...@news.free.fr...
henry.toitot
manger, l'homme tue par plaisir.
DISANA
tv en parle enfin des atrocités que l'armée française à faite en Algérie, çà
lui fout les nerfs à l'ubu de mes fesses, surtout lorsque l'armée française
fait monter des femmes Algériennes par des boucs. Çà c'est sûr une foué la
vérité qu'on veut cacher quand elle te revient en pleine gueule çà doit
faire chier, surtout lorsqu'on joue, très mal d'ailleurs, les apprentis
reporter.
LBZ.
<ubuje...@free.fr> a écrit dans le message :
3c9d01de...@news.free.fr...
MAng;
atrocités, celle de l'armée francaise et de l'OAS soit,
mais pas de silence non plus sur le terrorisme pré-guerre,
la chasse aux sorcieres post-guerre (genre Oran) et
des charniers découverts dans les années 80 pendant-guerre,
dont il n'est jamais plus question !
la guerre n'est pas propre, mais il ya pire saleté, c'est
d'oublier ses propre obscenités, pour ne parler que de
celle des autres.
quand aux cause réelles, indigenat et Cie, je pense
qu'il y avait d'autre moyen de les regler , mais on pourrait
en causer 107 ans sans etre d'accord et cela ne changerai
rien ce qui s'est passé.
j'aimerai assez quand même qu'on cesse de casser du harkis
et du pied noir (surtout qu'ils s'agit de leurs descendance
plutot maintenant) a loisir, ça commence a me gonfler sérieux.
tous ce qu'il ya a gagner dans cette guerre psychologique
stupide, c'est de la haine entretenue, notamment contre
toute la population nord africaine qui n'en demande pas tant !
alors on remue vraiment la merde ou on construit l'avenir ?
MAng;
"DISANA" <leon.l...@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
a7klvt$rpl$1...@wanadoo.fr...
DISANA
encore compris que ce n'est pas en jetant de l'huile sur le feu que l'on va
aime çà ce con, il l'aime tant qu'il voudrait qu'elle recommence, pauvre
type. T'es comme l'autre chacal, t'es encore moins respectable qu'une
semelle de botte de SS.
LBZ.
<ubuje...@free.fr> a écrit dans le message :
3c9cfd56...@news.free.fr...
MAng;
MAng;
"DISANA" <leon.l...@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
a7kvgu$4ao$1...@wanadoo.fr...
DISANA
ce que je dis, que ce n'est pas en remuant la merde sans cesse qu'on risque
de ramener la paix.
LBZ.
MAng; <tmarti...@guetali.fr> a écrit dans le message :
3c9dffd0$0$11121$626a...@news.free.fr...
ubuje...@free.fr
wrote:
>Si t'avais tout lu, ne serait-ce que deux posts plus haut, c'est exactement
>ce que je dis, que ce n'est pas en remuant la merde sans cesse qu'on risque
>de ramener la paix.
>
sauf que queand c'est la télé qui remue la merde au sujet de l'armée
française, ça fait flipper le FLN réfugié en france disana qui
écrivait ceci il y a trois ans déjà:
>Mon cher papi des atrocités il y en a eu dans les deux camps, laissez moi
vous conter celle-ci.
Dans un bled (c'est le cas de le dire) paumé, une colonne de RIMA
passe par là. Ils en ont chié comme c'est pas possible les marsouins,
il faut qu'ils se défoulent. Pas de pot pour le couple d'Algériens
qu'ils rencontrent dans le coin. Ils mettent la mouquère à poil, lui
attache les poignets au sol sur un piquet, et la font monter par le
bouc de la ferme. Ce que gueulait l'époux en arabe à ce moment là, je
me le suis fait traduire depuis. "Allah enlève moi !!".
>C'est tout.
c'st beau comme l'antique et c'st un ignoble mensonge bien digne de
disana, le fell réfugié en france .
ubuje...@free.fr
travaux de piste et roués de coups sur le bord des chemins. Dans ces
mêmes conditions, au camp du douar Ridane, à quinze kilomètres au
sud-ouest d'Aumale, on exécutait chaque soir, sadiquement,quelques
harkis. Les gradés d'abord. On ne les tuait pas d'un coup, mais on les
laissait expirer lentement.
Ainsi est mort d'épuisement après quatre jours de tortures, le chef de
la harka d'Aumale. Il en fut de même dans la région de Nemours, de
Tizi-Ouzou, où les harkis du capitaine Oudinot ont été massacrés dans
la S.A.S. transformée en camp, à Marceau, à Bouzemane, à Dupleix.
Chacun de ces camps avait un centre d'interrogatoire qui recevait les
détenus à moitié morts, transférés des prisons où, chaque soir,
rapporte un harki, on entendait à trois cents mètres les hurlements
des prisonniers torturés. C'est dans cette région que fut découvert,
dans la Cour de la mairie d'Akourmu, les corps de cinquante harkis.
-C'est à Akbou, le Jundi 15 octobre, à onze heures du matin, que le
maire de la commune, ancien combattant des deux guerres, a été Lynché
par une fouie excitée et encadrée par l'A.L.N. Cinq harkis qui ont
voulu défendre leur maire ont été abattus. La furie se porta sur les
villages avoisinants et le massacre continua à Tazmalt, où dix-sept
harkis furent égorgés et, suprême cruauté, le maire de cette commune,
qui était aussi chef de la harka, a dû assister au massacre de toute
sa famille, vingt-cinq hommes, femmes et enfants, âvant d'être
lui-même livré aux couteaux des égorgeurs.
ubuje...@free.fr
Retournez chez vous, on ne vous fera pas de mal. C'est un lieutenant
F.L.N. que nous avions arrêté avec la harka et libéré qui est venu me
chercher avec
cinq fellagha. Ils m'ont d'abord mis en prison, puis emmené dans un
camp à la frontière tunisienne. Là, on déminait à mains nues la ligne
Maurice, le jour. La
nuit, on faisait des parpaings en terre. On ne nous laissait pas
dormir et ceux qui tombaient étaient frappés, torturés et abattus.
C'est un Allemand qui travaillait avec le F .L.N .depuis sept ans, un
nommé Ali, qui organisait les tortures. Le F.L.N. avait grosse
admiration pour lui parce qu'il portait toujours sur lui un morceau de
la veste du commandant du 5e régiment de tirailleurs, qu'il avait
assassiné.
De temps en temps, on nous faisait défiler dans les rues de la ville
en criant: " Voici les traîtres! ~ A vec des mitraillettes, l'A.L.N
.obligeait la foule à nous lancer des cailloux et, le soir, nous
revenions au camp avec quatre ou cinq de nos camarades en moins.
" Un jour, soixante de mes camarades se sont révoltés, ils ont attaqué
un magasin d'armes et pris le maquis. Les fellagha les cherchent
encore. Moi, une nuit, j'ai réussi à m'évader. J'ai marché les nuits,
me cachant le jour, et je suis arrivé à Bône. Je suis monté sur le
premier bateau qui partait pour la France. C'étaient les hommes du
F.L.N. qui faisaient le contrôle des passagers. Moi, j'étais pas sur
leur liste, mais ils ont fait descendre du bateau des harkis avec leur
femme et leurs enfants... ~
ubuje...@free.fr
Témoignage M... Kaddour, sergent harki :
J'ai vu à Penthièvre plus de vingt-cinq harkis égorgés, les têtes
coupées étaient exposées à l'entrée de la cité et la population devait
barbouiller de merde les têtes de ces malheureux.
Témoignage harki B... trois ans au 37. B.G.
Le chef F.L.N. Zemourri Salah m'a emmené le 1 août ainsi que ma femme.
Ils m'ont pris toutes mes économies. Nous avons été attachés et
battus, et ma femme de 29 ans violée par quatre hommes. Mon oncle et
mes deux cousins harkis ont été égorgés le jour de notre évasion. Nous
sommes maintenant sous la protection de l'armée.
Témoignage de B... Messaoud, de Tablat :
Le 28 juin, les derniers militaires français partirent de Tablat. Cinq
harkis seulement furent engagés parce que célibataires. L'armée ne
prenait pas en charge les mariés. Mon lieutenant, qui a voulu nous
emmener, fut muté par ses supérieurs. On s'est réunis dans la cité
harki de Tablat, mais le 1er juillet au matin nous étions attaqués,
nos familles jetées hors de leur maison et soixante harkis livrés à la
foule, piétinés; des femmes enfonçaient des tiges de fer dans la tête
des harkis, d'autres découpaient des morceaux de chair et leur
faisaient manger. On les jeta dans les locaux du 20 bureau. Ils furent
exécutés à Zemmala et Beni-Jouglal. Le harki Emri Amar fut assassiné
en compagnie de son épouse et de ses deux enfants, 5 ans et 2 ans 1/2.
Le juge de paix européen de Tablat fut témoin, mais n'intervint pas.
Les gendarmes firent une intervention, mais n'insistèrent pas. Sur
soixante-dix harkis à Tablat, dix seulement ont survécu. On est sans
nouvelle des familles.
Les noms des disparus sont à la disposition de la Croix-Rouge.
Philippe RAI
> ubu-viala est le roi des cons et en plus il doit aimer l'odeur de la merde à
> la remuer sans cesse comme çà, sûr il doit aussi en manger. Ce con n'a pas
> encore compris que ce n'est pas en jetant de l'huile sur le feu que l'on va
> ramener la paix entre les deux rives de la méditérannée. La guerre il
> aime çà ce con, il l'aime tant qu'il voudrait qu'elle recommence, pauvre
> type. T'es comme l'autre chacal, t'es encore moins respectable qu'une
> semelle de botte de SS.
Il me semble que s'il fait cela c'est en réponse aux falsificateurs de
l'histoire qui ne parlent que de la responsabilité de la France et des
ignobles adeptes de la torture, français bien entendu, les algériens
étant d'innocentes victimes.
Philippe RAI
ubuje...@free.fr
Le 2 août 1962, vingt harkis de la S.A.S. de Maginot ont été enlevés
par l'A.L.N. Aucune nouvelle n'en a été donnée depuis.
Témoignage du moghazni A... Ahmed, de Rovigo :
Sept harkis et moghaznis de la S.A.S. du commando de chasse 117. R.I.
ont été enlevés et tués à Rmili.
Témoignage de A..., harki à la S.A.S. de Rivet : Le sergent Djemai
Borouis, 27 ans, a été supplicié et égorgé le 27 juillet.
Le harki Ta'har, pris par le F.L.N. en mars 1962, a eu la chair
arrachée et ingurgitée de force; salé et exposé au soleil pendant
plusieurs jours, il fut ensuite achevé.
.
..
Harkis de Palestro morts pour la France en juillet 1962 :
Sehib, mokadem à la S.A.S. de Maalla-el-lsseri; valeur militaire, deux
citations, assassiné à El-lsseri (Grande Kabylie).
Ayache Abderhamane, sergent au commando du 2e bataillon du 1er
R.I.M.A., valeur militaire, assassiné à Boukouchene.
Oucheffoun, sergent-chef au commando du 2e bataillon du 1er R.I.M.A.,
valeur militaire, assassiné à Soul es Seby.
Ayache Ali ben Ahmed, harki au commando du 2e bataillon du 1er
R.I.M.A., valeur militaire, assassiné à Guerrouma.
Ayache Ali ben Mohamed, harki au commando du 2éme bataillon du 1er
R.I.M.A., assassiné à Guerrouma.
Bouchrit Ahmed, harki au commando du 2éme bataillon du 1er R.I.M.A.,
valeur militaire, assassiné à Guerrouma.
Aissaoui, moghazni à la S.A.S. de Guerrouma, assassiné.
Témoignage de K... Saad, moghazni à la S.A.S. de Laperrine :
" Nous étions restés une dizaine de harkis au village d'Ain-Bouzid.
Les rebelles nous ont pris et emmenés au commandant Mokhtar qui nous a
pris notre argent, jugés et condamnés à mort. Huit de mes camarades
ont été pendus ou égorgés. Un accrochage, à l'entrée du village, m'a
sauvé la vie. J'ai réussi à rejoindre l'Armée française. On nous avait
rasé la tête, la barbe et la moustache et promenés dans le village de
Palestro où nous avons pu constater que cinquante-cinq harkis avaient
été exécutés.
Témoignage de L... Abdelkader, moghazni pendant cinq ans à la S.A.S.
de Mechtras " Au cessez-Ie-feu, les rebelles nous font mis en
confiance nous invitant à déserter. Regroupés dans des camps, on nous
a pris notre argent, nos armes, nos bijoux et remobilisés pour aller
combattre l'O.A.S. Nous avons refusé; une vingtaine ont été aussitôt
abattus. Une révolte a éclaté dans le camp, mais une trentaine de mes
camarades ont été fusillés. "
Les petites torsions font les grandes natures.
ubuje...@free.fr
Témoignage de K... Saad, moghazni à la S.A.S. de Laperrine :
" Nous étions restés une dizaine de harkis au village d'Ain-Bouzid.
Les rebelles nous ont pris et emmenés au commandant Mokhtar qui nous a
ont été pendus ou égorgés. Un accrochage, à l'entrée du village, m'a
rasé la tête, la barbe et la moustache et promenés dans le village de
Palestro où nous avons pu constater que cinquante-cinq harkis avaient
été exécutés.
Témoignage de L... Abdelkader, moghazni pendant cinq ans à la S.A.S.
de Mechtras " Au cessez-Ie-feu, les rebelles nous font mis en
confiance nous invitant à déserter. Regroupés dans des camps, on nous
a pris notre argent, nos armes, nos bijoux et remobilisés pour aller
combattre l'O.A.S. Nous avons refusé; une vingtaine ont été aussitôt
abattus. Une révolte a éclaté dans le camp, mais une trentaine de mes
camarades ont été fusillés. "
Témoignage d'un sous-officier en activité dans la région de Sétif :
" La commune de Teffreg est sous les ordres du chef rebelle Guet tari,
libéré en mars 1962 d'une prison parisienne. Il fait régner la terreur
dans toute la région. II a fait brûler vif son ancien camarade, le
harki rallié, Sebbane Saddek, couper en morceaux le harki Sebbane
Tayeb, massacrer à coups de pioche le sergent harki Lagha.
" Le harki Nait Belkacem Said, interprète de la S.A.S. d'Ouled Rached,
adjudant de l'Armée française en retraite est mort le 10 août 1962
après avoir été lardé de coups de couteaux, exposé dans les W.C. et
traîné au bout d'une corde.
" Tous les harkis du bordj Bou-Arreridj ont été enfermés dans la
maison contonnière et massacrés.
" La harka en entier de Beni-Lalem a été massacrée. Le chef de cette
harka, célèbre dans toute la région pour son courage, bien que torturé
a crié aux gens de l'A.L.N. : " Jusqu'à la dernière goutte de sang
nous sommes Français. Vous pouvez nous tuer, cela ne changera pas
notre coeur. "
UBU
ubuje...@free.fr
>ubuje...@free.fr a écrit dans le message
><3ca4f2ef...@news.free.fr> :
>
>[témoignages]
>>
>>UBU
>
>Je me pose une question depuis quelque temps, en lisant vos posts, et je
>suppose que vous pourrez me fournir au moins des éléments de réponse.
>
>Les Harkis étaient des supplétifs de l'Armée française, si j'emploie le
>terme correct.
exact, ils s'agissait de civils avec un contrat à durée limitée, qui
étaient armés et encadrés par l'armée.
> Existe-t-il un rapport entre eux et les troupes
>nord-africaines dont les Algériens sur ce forum et d'autres nous
>rebattent les oreilles avec l'antienne "Ils sont venus délivrer la
>France" ?
assez souvent, les anciens combattants de la guerre de 42/44 furent
parmi les premiers à s'engager du coté des français.
En général ils n'étaient pas harkis au sens strict, mais des moghaznis
(sorte de gendarmes) des garde champétres et autre personnel avec un
statut moins précaire.
ils furent traités comme les harkis à l'indépendance.
ubuje...@free.fr
sur la guerre d'algérie, réédité recemment aux éditions atlantis.
-Quand les paysans n'auront plus peur, ils viendront me demander de
les aider. Je leur confierai des armes. Les armes, c'est le sceau qui
scelle un pacte entre guerriers. Cette guerre est une bataille de
l'engagement.
Le colonel Vaudrey se lève; haute silhouette doublée d'une ombre
portée immense que le toit bas casse en deux. Il revient, tenant à la
main une sorte de collier. Il l'approche de la lampe.
-Regardez cela... Savez-vous ce que c'est ?
Je regarde le trophée. De petites coupelles brunes enfilées sur un fil
de fer. Le fil de fer est rouillé. Mais je ne parviens pas à
identifier les coupelles recroquevillées et semées de taches
noirâtres; soudain, je comprends. Des oreilles !
-Ce sont des oreilles.
-Oui, dit le colonel V audrey , ce sont des oreilles humaines. Pour
effrayer les paysans, les soumettre par la terreur, " les autres "
égorgent. Mais, pour sanctionner les désobéissances mineures, ils
mutilent. Ils tranchent une oreille. Et ils en font ces trophées
barbares qu'ils accrochent à leur ceinture.
Je regarde l'horrible collier d'oreilles desséchées et qui ont perdu
leur semi transparence.
-Quand nous sommes arrivés ici, dit le colonel V audrey nous prenions
chaque mois une dizaine de ces trophées sur les rebelles que nous
capturions les soirs d'embuscade, ou dont nous relevions les cadavres
entre les rochers polis dans le lit des oueds. Aujourd'hui, nous n'en
trouvons plus qu'un ou deux. Quand nous n'en saisirons plus du tout,
cela voudra dire que nous avons gagné la partie.
Le colonel alla raccrocher le collier d'oreilles à une poutre.
Je le voyais maintenant comme s'il irradiait une mystérieuse lumière
intérieure. Il témoignait de la barbarie des temps, dans son écrin
d'ombre.
-Quand nous ne trouverons plus de ces trophées, dit un
sous-lieutenant, cela pourra également signifier que les paysans n'ont
plus d'oreilles.
Tout le monde rit.
-Non, dit le colonel V audrey , cela voudra dire que nous avons gagné
la partie.
-Vous aurez gagné la partie ici, autour du piton de Chouf et dans les
monts de Collo. Mais elle sera perdue ailleurs.
-Où ? demanda le colonel.
-Partout où les militaires-ronds.de.cuir, les militaires-tintins
laissent les rebelles couper des oreilles la nuit, pourvu qu'ils ne
troublent pas l'ordre apparent pendant le jour. Partout où l'on a
conclu tacitement avec les rebelles le pacte AMJ-ATN.
Je laissai passer un silence. La petite flamme de la lampe dansait sur
son bec.
Connaissez-vous, dis-je, le pacte AMJ-ATN ?
-Non, dit le colonel.
-A Moi le Jour, A Toi la Nuit.
ubuje...@free.fr
>ubuje...@free.fr a écrit dans le message
>
>Merci de cette réponse. Mais quel était le statut des soldats d'Afrique
>du Nord qui ont combattu en Europe pendant la 2e GM ? Engagé, conscrits,
>autre ?
hé bien comme vous le savez puisque c'st la raison essentielle qui
absous les téroristes, il y avait deux statuts parmi les personnes
résidant en algérie française, les français de droit coutumier
(coranique) et les français de droit normal.
ces derniers furent appellés de façon massive (douze classes furent
mobilisées au complet, désorganisant complétement la vie économique),
du jamais vu même au plus fort de 14/18.
par contre pour les français de statut coranique la régle était
l'engagement volontaire, souvent un rien sollicité, mais en tout cas
rémunéré.
dans l'armée d'afrique (la premiére armée) plus de la moitié des
effectifs étaient des "français de droit commun" (qui bien entendu
comprenaient non seulement les auropéens de toute origine, mais les
juifs et un certain nombre de musulmans qui avaient demandé ce
statut), très peu nompbreux étaient les volontaires de métropole ayant
réussi à gagner soit l'angleterre, soit l'afrique du nord et un bon 40
% étaient des français de droit coranique.
ubuje...@free.fr
pour en finir l'article par le général Maurice Schmitt (CR)
ancien chef d'état-major des armées
.Si l'on réduisait la Seconde Guerre mondiale aux destructions de
Dresde, Hiroshima et Nagasaki, nul doute que devant le tribunal de
l'histoire Winston Churchill et Harry Truman seraient condamnés.
Ecrire l'histoire d'un conflit, ce n'est pas extraire quelques faits
d'un ensemble complexe. Or, depuis deux ans, il semble que la guerre
d'Algérie ait ,été limitée aux tortures, celles exercées par l'armée
française bien entendu, pourtant infiniment moins nombreuses et
sanguinaires que les exactions de ceux que l'on appelait les rebelles
algériens.
L'opération " tortures" a vraisemblablement été montée par les "
porteurs de valises" retraités qui ont assuré une partie de la
logistique des rebelles. Certains médias français en ont été les
véhicules en orchestrant et publiant des déclarations d'anciens
assassins issus de l'organisation de tortionnaires et de terroristes
dite zone autonome d'Alger (ZAA). Ces déclarations n'ont été ni
recoupées, ni vérifiées et se contredisent souvent.
L'opération " tortures " a débuté en juin 2000 avec la publication du
témoignage de Louisette Ighilariz, ancienne complice, très subalterne,
d'une cellule terroriste. Elle fut arrêtée fortuitement début octobre
1957 au cours d'une opération de police au sud d'Alger. Cette
opération visait à appréhender Bakel Saïd, un des derniers membres
encore en liberté de la ZAA, à ce moment complètement démantelée.
Bakel Saïd se défendit et fut tué. Louisette Ighilariz fut grièvement
blessée à ses côtés, faite prisonnière et soignée. Elle prétend
aujourd'hui avoir été ensuite torturée et même violée durant trois
mois, le tout avec une balle dans la colonne vertébrale! C'est pure
affabulation.
L'opération " tortures" fut prolongée par la publication des
déclarations d'un général âgé, très fatigué et mégalomane qui
revendique un rôle essentiel, qu'il n'a jamais eu, dans le
démantèlement de la ZAA. Tous deux, Mme Ighilariz et Aussaresses, ont
confié leurs souvenirs à des plumes auxiliaires. Ainsi ont été publiés
en 2001 deux livres truffés d'inexactitudes, d'affirmations non
prouvées et de contrevérités.
Le général Massu, certainement recru d'épreuves, a cru devoir écrire:
" On aurait dû faire autrement ". Mais quoi ? Comment ? Il oublie que,
durant l'été 1957, la ZAA fut détruite en agissant par l'infiltration
et le retournement et non par des procédés réprouvés surtout par ceux
qui, confrontés à des choix dramatiques, ont dû parfois les employer
pour sauver des centaines d'innocents.
A la fin de l'année 2001, la guerre d'Algérie se résumait donc aux
tortures de l'armée française qui n'auraient été d'ailleurs que le
prolongement de l'action menée par la France en Algérie depuis 1830.
Ainsi, le 14 juin 2001, reçu solennellement à l'Assemblée nationale,
le président algérien Abdelaziz Bouteflika disait: " La lourde dette
morale des anciennes métropoles envers leurs administrés s'avère
ineffaçable et, pourquoi ne pas l'avouer, imprescriptible. "
Quelques semaines après, le 29 août, une bombe dans la casbah d'Alger
faisait trente-quatre blessés, lui rappelant la lourde dette morale du
FLN vis-à-vis des Algériens à qui un régime totalitaire est imposé
depuis 1962.
S'il faut écrire une nouvelle fois l'histoire de la guerre d'Algérie,
il faut en aborder tous les aspects: le contrôle de la population
exercé par le FLN par le biais des pires violences, l'élimination de
ses rivaux par les mêmes procédés, la collecte de fonds effectuée en
métropole par des moyens identiques, les enlèvements, les viols, les
assassinats exercés contre les Européens et aussi contre les Musulmans
par les bandes rebelles. Il faut aussi rappeler qu'au milieu de 1959,
l'armée française avait pratiquement neutralisé la rébellion. Le
gouvernement ne sut pas profiter de cette victoire pour éviter, après
la sjgnature des accords d'Evian, les massacres d'Européens et les
hécatombes des anciens harkis et tirailleurs algériens et de leurs
familles.
Une nouvelle réflexion exhaustive sur la guerre d'Algérie montrerait
que, s'il y eut effectivement quelques actions regrettables commises
par nos soldats, elles ne justifient aucune repentance collective. Si
le prurit de la contrition agite quelques hommes politiques
aiguillonnés par les nostalgiques du transit des valises et leurs
nouveaux complices, je suggère une révision des priorités.
Si repentance il y a, elle doit s'exercer vis-à-vis des pieds-noirs
que l'on a mal accueillis et vis-à-vis des ex-tirailleurs et harkis
livrés désarmés à leurs tortionnaires. Elle doit s'exprimer enfin
vis-à-vis de l'armée française, engagée dans la guerre d'Indochine
malgré les mises en garde du général Leclerc et ensuite dans celle
d'Algérie que certains lui reprocheraient presque, aujourd'hui,
d'avoir gagnée sur le terrain.
> " Alger été 1957, une victoire sur le terrorisme ",
par le général Maurice Schmitt, L'Harmattan, 155 pages, 13,7 euros. ~
