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TESTER LA RELATIVITÉ D'EINSTEIN

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Pentcho Valev

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Aug 14, 2015, 6:38:27 AM8/14/15
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http://www.palais-decouverte.fr/fr/au-programme/activites/conferences/thema-fabuleuses-mutations/cycle-1915-2015-lodyssee-de-lespace-temps/
Gilles Esposito-Farèse, chercheur à l'Institut d'astrophysique de Paris, Jeudi 29 octobre 2015 à 19h: "Tester la relativité générale. Tous les tests expérimentaux confirment cette théorie, alors qu'un seul suffirait à l'invalider. Dans le Système solaire, ce sont notamment l'avance du périhélie de Mercure et la déflexion de la lumière des étoiles."

Aucun test n'a confirmé la relativité générale, et voici un qui l'invalide:

http://www.einstein-online.info/spotlights/redshift_white_dwarfs
Albert Einstein Institute: "One of the three classical tests for general relativity is the gravitational redshift of light or other forms of electromagnetic radiation. However, in contrast to the other two tests - the gravitational deflection of light and the relativistic perihelion shift -, you do not need general relativity to derive the correct prediction for the gravitational redshift. A combination of Newtonian gravity, a particle theory of light, and the weak equivalence principle (gravitating mass equals inertial mass) suffices. (...) The gravitational redshift was first measured on earth in 1960-65 by Pound, Rebka, and Snider at Harvard University..."

http://courses.physics.illinois.edu/phys419/sp2013/Lectures/l13.pdf
University of Illinois at Urbana-Champaign: "Consider a falling object. ITS SPEED INCREASES AS IT IS FALLING. Hence, if we were to associate a frequency with that object the frequency should increase accordingly as it falls to earth. Because of the equivalence between gravitational and inertial mass, WE SHOULD OBSERVE THE SAME EFFECT FOR LIGHT. So lets shine a light beam from the top of a very tall building. If we can measure the frequency shift as the light beam descends the building, we should be able to discern how gravity affects a falling light beam. This was done by Pound and Rebka in 1960. They shone a light from the top of the Jefferson tower at Harvard and measured the frequency shift. The frequency shift was tiny but in agreement with the theoretical prediction."

C'est-à-dire, l'expérience de Pound-Rebka a confirmé la variation de la vitesse de la lumière (dans un champ de gravitation) prédite par la théorie de l'émission de Newton.

Dans les cas de l'avance du périhélie de Mercure et de la déflexion de la lumière des étoiles, il s'agit de fraude:

http://irfu.cea.fr/Phocea/file.php?file=Ast/2774/RELATIVITE-052-456.pdf
Jean-Marc Bonnet-Bidaud: "Le monde entier a cru pendant plus de cinquante ans à une théorie non vérifiée. Car, nous le savons aujourd'hui, les premières preuves, issues notamment d'une célèbre éclipse de 1919, n'en étaient pas. Elles reposaient en partie sur des manipulations peu avouables visant à obtenir un résultat connu à l'avance, et sur des mesures entachées d'incertitudes, quand il ne s'agissait pas de fraudes caractérisées. (...) L'expédition britannique envoie deux équipes indépendantes sur le trajet de l'éclipse : l'une dirigée par Andrew Crommelin dans la ville de Sobral, dans le nord du Brésil, l'autre conduite par Eddington lui-même sur l'île de Principe, en face de Libreville, au Gabon. Le matériel embarqué est des plus sommaires au regard des moyens actuels : une lunette astronomique de seulement 20 cm de diamètre en chaque lieu, avec un instrument de secours de 10 cm à Sobral. Pour éviter l'emploi d'une monture mécanique trop lourde à transporter, la lumière est dirigée vers les lunettes par de simples miroirs mobiles, ce qui se révélera être une bien mauvaise idée. La stratégie est assez complexe. Il s'agit d'exposer des plaques photographiques durant l'éclipse pour enregistrer la position d'un maximum d'étoiles autour du Soleil, puis de comparer avec des plaques témoins de la même région du ciel obtenues de nuit, quelques mois plus tard. La différence des positions entre les deux séries de plaques, avec et sans le Soleil, serait la preuve de l'effet de la relativité et le résultat est bien sûr connu à l'avance. Problème non négligeable : la différence attendue est minuscule. Au maximum, au bord même du Soleil, l'écart prévu est seulement de un demi dix-millième de degré, soit très précisément 1,75 seconde d'arc (1,75"), correspondant à l'écart entre les deux bords d'une pièce de monnaie observée à 3 km de distance ! Or, quantités d'effets parasites peuvent contaminer les mesures, la qualité de l'émulsion photographique, les variations dans l'atmosphère terrestre, la dilatation des miroirs... Le jour J, l'équipe brésilienne voit le ciel se dégager au dernier moment mais Eddington n'aperçoit l'éclipse qu'à travers les nuages ! Sa quête est très maigre, tout juste deux plaques sur lesquelles on distingue à peine cinq étoiles. Pressé de rentrer en Angleterre, Eddington ne prend même pas la précaution d'attendre les plaques témoins. Les choses vont beaucoup mieux à Sobral : 19 plaques avec plus d'une dizaine d'étoiles et huit plaques prises avec la lunette de secours. L'équipe reste sur place deux mois pour réaliser les fameuses plaques témoins et, le 25 août, tout le monde est en Angleterre. Eddington se lance dans des calculs qu'il est le seul à contrôler, décidant de corriger ses propres mesures avec des plaques obtenues avec un autre instrument, dans une autre région du ciel, autour d'Arcturus. Il conclut finalement à une déviation comprise entre 1,31" et 1,91" : le triomphe d'Einstein est assuré ! Très peu sûr de sa méthode, Eddington attend anxieusement les résultats de l'autre expédition qui arrivent en octobre, comme une douche froide : suivant une méthode d'analyse rigoureuse, l'instrument principal de Sobral a mesuré une déviation de seulement 0,93". La catastrophe est en vue. S'ensuivent de longues tractations entre Eddington et Dyson, directeurs respectifs des observatoires de Cambridge et de Greenwich. On repêche alors les données de la lunette de secours de Sobral, qui a le bon goût de produire comme résultat un confortable 1,98", et le tour de passe-passe est joué. Dans la publication historique de la Royal Society, on lit comme justification une simple note : "Il reste les plaques astrographiques de Sobral qui donnent une déviation de 0,93", discordantes par une quantité au-delà des limites des erreurs accidentelles. Pour les raisons déjà longuement exposées, peu de poids est accordé à cette détermination." Plus loin, apparaît la conclusion catégorique: "Les résultats de Sobral et Principe laissent peu de doute qu'une déviation de la lumière existe au voisinage du Soleil et qu'elle est d'une amplitude exigée par la théorie de la relativité généralisée d'Einstein." Les données gênantes ont donc tout simplement été escamotées."

http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/04/23/einstein-besso-duo-pour-un-eureka_1341703_3244.html
"C'est à ce moment de l'histoire que commence celle, méconnue, du manuscrit Einstein-Besso. Le physicien convoque son ami et confident suisse pour l'aider à mener les calculs et tester son ébauche de relativité générale sur un problème bien connu des astronomes : l'anomalie de l'orbite de Mercure. "Depuis la fin du XIXe siècle, on sait de manière de plus en plus précise que le périhélie de cette planète (le point de son orbite le plus proche du Soleil) avance un peu plus que le prévoient les équations de Newton : l'excédent est de 43 secondes d'arc par siècle, c'est-à-dire l'angle sous lequel on voit un cheveu à une distance d'un mètre... Einstein se dit simplement que sa théorie sera validée si elle prédit correctement cette "anomalie" de l'avance du périhélie de Mercure." Une part du manuscrit Einstein-Besso est consacrée à ce test crucial. Aux pages d'Einstein, des lignes d'équations, sans ratures, presque vierges de tout texte, succèdent celles de Besso, un peu plus hésitantes et annotées de nombreuses explications. Le résultat est calamiteux. Au lieu d'expliquer le petit décalage de 43 secondes d'arc par siècle, la nouvelle théorie propose une avance de plus de 1 800 secondes d'arc par siècle. Très loin de la réalité des observations astronomiques ! "Mais, un peu plus loin dans le manuscrit, les deux hommes se rendent compte qu'ils se sont trompés sur la masse du Soleil"... Une erreur d'un facteur 10, qu'ils corrigent finalement, pour parvenir à un résultat moins absurde, mais toujours décevant : 18 secondes d'arc par siècle... Echec complet ? Un peu plus loin, en conclusion d'un tout autre calcul, Einstein écrit : "Stimmt" ("Correct"). "En dépit de l'échec de sa théorie à expliquer l'avance du périhélie de Mercure, Einstein croit avoir démontré autre chose, au détour d'une équation... En mai 1907, il avait eu l'intuition qu'une chute libre peut "annuler" un champ de gravitation. Ici, il pense avoir démontré qu'un mouvement de rotation peut, lui aussi, être considéré comme équivalent à un champ de gravitation. Il croit avoir généralisé son principe d'équivalence." Mais, plus de deux ans plus tard, Einstein comprend que son calcul était faux : il n'a rien généralisé du tout. C'est alors qu'il accepte d'utiliser dans sa théorie le premier tenseur, jugé trop complexe, que lui avait proposé Grossmann. Et en 1915, il teste ce nouveau tenseur sur l'avance du périhélie de Mercure. Cette fois, le résultat est le bon !"

Pentcho Valev

Pentcho Valev

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Aug 14, 2015, 7:17:27 AM8/14/15
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Les profiteurs d'Einsteiniana mentent comme ils respirent:

http://philosophie.initiation.cours.over-blog.com/article-la-theorie-de-la-relativite-restreinte-d-albert-einstein-expliquee-48902702.html
"A la fin du XIXème siècle, les travaux de deux physiciens, Michelson et Morley, mirent en évidence le constat suivant : quelque soit le référentiel utilisé, la vitesse de la lumière est constante, ce qui est en totale contradiction avec la vision classique ayant cours à leur époque."

http://www.sciences.univ-nantes.fr/physique/perso/blanquet/synophys/51relat/51relat.htm
Claude SAINT-BLANQUET, Maître de conférences: "Compte tenu des résultats de l'expérience de Michelson et Morley, on doit renoncer à la transformation de Galilée."

http://www.elisabrune.com/pdf/Jumeaux.pdf
Jean-Pierre Luminet: "La vitesse de la lumière dans le vide est la même pour tous les observateurs, quel que soit leur état de mouvement - il s'agit d'un principe dont Einstein est parti pour construire sa théorie, et d'un fait observé dans les célèbres expériences de Michelson et Morley."

http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/f/fiche-article-le-creationnisme-en-astronomie-aussi-26285.php
Alexandre Moatti: "L'expérience de Michelson et Morley, en 1887, en est un premier exemple. Par la mesure des interférences obtenues lors de deux trajets lumineux perpendiculaires (l'un dans le sens Nord-Sud, l'autre dans le sens Est-Ouest, celui du déplacement terrestre), l'expérience aurait dû mettre en évidence sur le trajet Est-Ouest une vitesse de la lumière diminuée de la vitesse de rotation de la Terre autour du Soleil. Il n'en fut rien. Ce résultat négatif a été expliqué en 1905 par la théorie de la relativité restreinte d'Einstein, qui stipule notamment que la vitesse de la lumière dans le vide est une constante absolue, indépendante de l'observateur et de son mouvement. L'expérience de Michelson et Morley a été répétée depuis un siècle avec des dispositifs de plus en plus précis, et a toujours donné un résultat négatif, confirmant la théorie de la relativité."

http://www.lacosmo.com/relativite.html
Christian Magnan: "...Michelson et Morley ne détectèrent aucun effet de vitesse. Il fallait construire une théorie dans laquelle la valeur de la vitesse de la lumière s'avèrerait indépendante et de la direction et du repère choisi pour la mesurer."

http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/f/fiche-article-la-disparition-du-temps-en-relativite-26042.php
Marc Lachièze-Rey: "Mais au cours du XIXe siècle, diverses expériences, et notamment celle de Michelson et Morley, ont convaincu les physiciens que la vitesse de la lumière dans le vide est invariante. En particulier, la vitesse de la lumière ne s'ajoute ni ne se retranche à celle de sa source si celle-ci est en mouvement."

Les Einsteiniens les plus intelligents ou bien évitent de discuter de l'expérience de Michelson et Morley, ou bien disent la vérité:

http://www.amazon.ca/Introduction-relativit%C3%A9-James-H-Smith/dp/B003YEIA3S
James H. Smith, "Introduction à la relativité", édition française dirigée par Jean-Marc Lévy-Leblond, pp. 39-41: "Si la lumière était un flot de particules mécaniques obéissant aux lois de la mécanique, il n'y aurait aucune difficulté à comprendre les résultats de l'expérience de Michelson-Morley.... Supposons, par exemple, qu'une fusée se déplace avec une vitesse (1/2)c par rapport à un observateur et qu'un rayon de lumière parte de son nez. Si la vitesse de la lumière signifiait vitesse des "particules" de la lumière par rapport à leur source, alors ces "particules" de lumière se déplaceraient à la vitesse c/2+c=(3/2)c par rapport à l'observateur. Mais ce comportement ne ressemble pas du tout à celui d'une onde, car les ondes se propagent à une certaine vitesse par rapport au milieu dans lequel elles se développent et non pas à une certaine vitesse par rapport à leur source. (...) Il nous faut insister sur le fait suivant: QUAND EINSTEIN PROPOSA QUE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE SOIT INDÉPENDANTE DE CELLE DE LA SOURCE, IL N'EN EXISTAIT AUCUNE PREUVE EXPÉRIMENTALE."

http://www.decitre.fr/livres/La-relativite.aspx/9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on pensait en termes d'ondes dans l'éther."

http://www.pitt.edu/~jdnorton/papers/companion.pdf
John Norton: "These efforts were long misled by an exaggeration of the importance of one experiment, the Michelson-Morley experiment, even though Einstein later had trouble recalling if he even knew of the experiment prior to his 1905 paper. This one experiment, in isolation, has little force. Its null result happened to be fully compatible with Newton's own emission theory of light. Located in the context of late 19th century electrodynamics when ether-based, wave theories of light predominated, however, it presented a serious problem that exercised the greatest theoretician of the day."

http://philsci-archive.pitt.edu/1743/2/Norton.pdf
John Norton: "In addition to his work as editor of the Einstein papers in finding source material, Stachel assembled the many small clues that reveal Einstein's serious consideration of an emission theory of light; and he gave us the crucial insight that Einstein regarded the Michelson-Morley experiment as evidence for the principle of relativity, whereas later writers almost universally use it as support for the light postulate of special relativity. Even today, this point needs emphasis. The Michelson-Morley experiment is fully compatible with an emission theory of light that CONTRADICTS THE LIGHT POSTULATE."

Pentcho Valev

Pentcho Valev

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Aug 18, 2015, 4:34:05 AM8/18/15
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http://ciret-transdisciplinarity.org/bulletin/b12c5.php
E. Klein: "Dans les premières années de ce siècle, Einstein tente de concilier l'électromagnétisme de Maxwell et le principe de relativité de la mécanique. Il trouve la solution dans une redéfinition de l'espace et du temps, introduisant le concept d'espace-temps, en remplacement des concepts jusqu'alors séparés d'espace et de temps. Si l'on change de référentiel galiléen dans l'espace-temps, le temps se transforme en partie en espace, et l'espace se transforme en partie en temps. Conséquence philosophique : le temps perd son idéalité newtonienne, il cesse d'être extérieur à l'espace et se met à dépendre de la dynamique. Conséquence pratique : les horloges, lorsqu'elles se déplacent en mouvement rapide dans l'espace, ralentissent le rythme de leurs battements. Ce ralentissement des horloges, qui mesure l'élasticité du temps de la relativité, est couramment observé sur les particules élémentaires instables, par exemple sur les muons. Les muons sont des sortes d'électrons lourds produits naturellement en haute atmosphère par le rayonnement cosmique, ou artificiellement lors de collisions entre particules accélérées à haute énergie. Leur durée de vie moyenne tau vaut 2,2 microsecondes. Toutefois, la théorie de la relativité implique, et l'expérience établit que l'intervalle de temps mesuré entre la création d'un muon et sa désintégration ne coïncide avec la durée de vie propre tau que si ce muon naît et meurt en un même point de l'espace. Autrement dit, cela ne vaut que s'il est immobile. Sinon, sa durée de vie effective (et donc la longueur du trajet qu'il parcourt) dépend de son énergie ou, si l'on préfère, de sa vitesse : plus il va vite et plus il dure longtemps, au point que si sa vitesse est proche de celle de la lumière dans le vide, il a tout loisir de se manifester pendant un temps bien supérieur à tau."

Comment est-ce qu'on mesure la durée de vie d'un muon immobile ou "au repos" (2,2 microsecondes)? Les Einsteiniens croient qu'un muon est "au repos" quand il subit une catastrophe au cours de laquelle sa vitesse, presque 300000km/s, devient instantanément zero. La "durée de vie" du muon "au repos" correspond à l'intervalle entre le début de la catastrophe et sa fin. La voiture à haute vitesse qui heurte un mur est au même "repos"; la durée de vie du chauffeur "au repos" est bien plus courte que la durée de vie des chauffeurs qui ne subissent pas une telle catastrophe mais cela n'a rien à voir avec la Théorie Divine d'Albert le Divin:

http://www.physics.rutgers.edu/ugrad/389/muon/muon-rutgers.pdf
"In order to measure the decay constant for a muon at rest (or the corresponding mean-life) one must stop and detect a muon, wait for and detect its decay products, and measure the time interval between capture and decay."

http://cosmic.lbl.gov/more/SeanFottrell.pdf
"Experiment 1: The lifetime of muons at rest (...) Some of these muons are stopped within the plastic of the detector and the electronics are designed to measure the time between their arrival and their subsequent decay."

http://www.stanford.edu/~jbarral/Downloads/Majeure1-Rapport.pdf
"Les muons qui arrivent au niveau du détecteur sont des particules ultra-relativistes dont la vitesse est proche de c et l'énergie comprise entre 7.5 MeV et 7.5 GeV La détection s'effectue grâce à deux scintillateurs et un bloc de verre au plomb. Les deux scintillateurs mesurent le passage d'une particule cosmique. Le verre au plomb arrête un certain nombre de particules, qui se désintègrent : on mesure alors leur temps de désintégration."

Pentcho Valev

Pentcho Valev

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Aug 29, 2015, 3:11:31 AM8/29/15
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http://www.sciencesetavenir.fr/fondamental/20141223.OBS8578/alain-riazuelo-la-relativite-generale-d-einstein-n-a-jamais-ete-refutee-par-l-experience.html
Alain Riazuelo : "La relativité générale d'Einstein n'a jamais été réfutée par l'expérience"

Voyons :

http://www.einstein-online.info/spotlights/redshift_white_dwarfs
Albert Einstein Institute: "One of the three classical tests for general relativity is the gravitational redshift of light or other forms of electromagnetic radiation. However, in contrast to the other two tests - the gravitational deflection of light and the relativistic perihelion shift -, you do not need general relativity to derive the correct prediction for the gravitational redshift. A combination of Newtonian gravity, a particle theory of light, and the weak equivalence principle (gravitating mass equals inertial mass) suffices. (...) The gravitational redshift was first measured on earth in 1960-65 by Pound, Rebka, and Snider at Harvard University..."

Donc, l'expérience de Pound-Rebka a confirmé que la lumière tombe dans un champ de gravitation avec la même accélération qu'un caillou (cette accélération est prédite par la théorie de l'émission de Newton) :

http://bouteloup.pierre.free.fr/vulg/relge.pdf
"Considérons une fusée posée sur le sol terrestre, donc immobile dans un champ de gravitation. Déjà, à cause du principe d'équivalence, la lumière tombe vers le bas avec la même accélération qu'un caillou, vue par un observateur immobile dans la fusée."

Est-ce que l'expérience de Pound-Rebka a aussi confirmé l'accélération prédite par la relativité générale d'Einstein ? Mais quelle est cette accélération ? Alain Riazuelo ? Aucune idée ? Et les frères einsteiniens ? E. Klein, Thibault Damour, Jean-Michel Alimi par exemple ? Qu'est-ce qu'ils en disent ? Ils n'en disent jamais rien ? Oh là là oh là là ! Quelle science en France !

Pentcho Valev
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