Ha pour une fois Didier souhaite discuter ! c'est le père Noel en
avance ?
effectivement le sujet "politique linguistique" fait bien partie
des champs où EDE doit prétendre et même avec une certaine
expertise.
Ce champs est on ne peut plus étendu puisqu'il s'étend sur toute
l'activité humaine, et répond aussi à un problème éternel.
Ainsi nous soulevons la question du "Niveau de Langue"
généralement absolument oubliée de toutes les présentations
merdiatiques. Lorsqu'on nous assène " tout le monde parle anglais"
, l'affirmation n'est pas pondérée par des données objectives à
propos du niveau fonctionnel des locuteurs.
Au long de ma réflexion je pense qu'au de là d'un défaut très
général d'esprit de finesse, et d'une propagande partie prenante
de la guerre des langues et il a sans doute dans les cercles de
tireurs de ficelle un objectif non dit lui aussi. Le faible niveau
de langue conduit en effet, et chacun l'a éprouvé par lui même à
un statut linguistique proche du perroquet. Cet handicap conduit
mécaniquement à un appauvrissement de l'arbre conceptuel, celui
qui soutient notre activité intellectuelle. Ainsi la couverture
merdiatique permet de conforme très facilement, ce qui va devenir
le discours dominant faute d'autres mots, d'autres phrases. Ainsi
la pensée s'étiole, le velléité de voix contradictoires ne seront
même pas comprises et si celà ne suffit pas nous observerons la
censure plus ou moins revendiquée.
Il est certain que cette question de niveau de langue, s'applique
aux migrants, mais il est facile d'observer qu'il atteint aussi
les présentateurs de nos grands médias. Vous savez ceux qui
répètent sereinement leur vocabulaire orwellien. Oui cette
question du niveau de langue est déterminante et plaide facilement
pour l'espéranto, qui permet d'atteindre un niveau de langue
philosophique, qui n'est accessible en anglais qu'à une extrême
minorité de nos élites. Pour ma part j'ai observé l'extrême
pauvreté des questions soulevées dans les congrès internationaux
de médecine par la plupart des professeurs dont ce n'est pas la
langue maternelle. Ils ne lâchent pas la rampe du déjà dit, et
pourtant ils seraient capables de beaucoup mieux. Dans un telle
contexte il est facile de mesurer le marasme des "discussions"
dans les réunions internationales à propos du climat, des guerres
et même des droits de l'homme .
EDE aurait pu donner l'exemple de ce que l'espéranto permet
d'atteindre comme niveau conceptuel dans ces matières, au niveau
d'une discussion internationale. Malheureusement la pauvreté
ambiante des débats a contaminé les espérantistes aussi et cette
démonstration reste à faire.
suite la 'correction puis la traduction en espéranto par Mistral ( IA très forte en français)
Pour une fois, Didier souhaite discuter ! Est-ce le Père Noël avant l’heure ?
Effectivement, le sujet de la politique linguistique fait bien partie des domaines où l’EDE (Espéranto-Démocratie-Europe, ou autre acronyme selon le contexte) doit prétendre à une certaine expertise. Ce champ est des plus vastes, puisqu’il couvre toute l’activité humaine et répond à un problème éternel.
Ainsi, nous soulevons la question du niveau de langue, généralement oubliée dans toutes les présentations médiatiques. Quand on nous martèle que « tout le monde parle anglais », cette affirmation n’est jamais pondérée par des données objectives sur le niveau fonctionnel des locuteurs.
Au fil de ma réflexion, je pense qu’au-delà d’un défaut général d’esprit critique et d’une propagande active dans la « guerre des langues », il existe probablement, dans les cercles d’influence, un objectif non avoué. Un faible niveau de langue conduit en effet — et chacun peut en faire l’expérience — à un statut linguistique proche de celui d’un perroquet. Ce handicap entraîne mécaniquement un appauvrissement de l’arbre conceptuel, celui qui soutient notre activité intellectuelle.
La couverture médiatique permet ainsi de conformer facilement les esprits, transformant ce qui devient le discours dominant par défaut, faute d’autres mots ou d’autres formulations. La pensée s’étiole, les velléités de contradiction ne sont même plus comprises, et si cela ne suffit pas, on assiste à une censure plus ou moins assumée.
Il est certain que cette question du niveau de langue s’applique aux migrants, mais on observe facilement qu’elle touche aussi les présentateurs de nos grands médias — ceux qui répètent sereinement leur vocabulaire orwellien. Oui, cette question est déterminante et plaide aisément en faveur de l’espéranto, qui permet d’atteindre un niveau de langue philosophique inaccessible en anglais à la majorité, y compris parmi nos élites.
De mon côté, j’ai constaté l’extrême pauvreté des questions soulevées dans les congrès internationaux de médecine par la plupart des professeurs non anglophones. Ils s’accrochent aux lieux communs, alors qu’ils seraient capables de bien mieux. Dans un tel contexte, il est facile de mesurer le marasme des « discussions » dans les réunions internationales sur le climat, les guerres ou même les droits de l’homme.
L’EDE aurait pu montrer ce que l’espéranto permet d’atteindre comme niveau conceptuel dans ces débats, à l’échelle d’une discussion internationale. Malheureusement, la pauvreté ambiante des échanges a aussi contaminé les espérantistes, et cette démonstration reste à faire.
Jen Didiero volas diskuti! Ĉu tio estas antaŭtempaj Kristnaskoj?
Efektive, la temo de lingva politiko estas kampo, kie EDE (Espéranto-Demokratio-Eŭropo, aŭ alia akronimo laŭ la kunteksto) devus pretendi ian kompetentecon. Ĝi estas vastega kampo, ĉar ĝi kovras ĉian homan agadon kaj respondas al eterna problemo.
Ni do levas la demandon pri lingva nivelo, kutime tute forgesita en ĉiuj mediaj prezentoj. Kiam oni al ni batas, ke « ĉiuj parolas la anglan », tiu aserto neniam estas pezigita per objektivaj datumoj pri la funkcia nivelo de la parolantoj.
Tra miaj refleksioj, mi pensas, ke preter ĝenerala manko de kritika spirito kaj propagando aktiva en la « lingva milito », eble ekzistas en influaj rondoj nekonfesita celo. Malalta lingva nivelo kondukas — kaj ĉiu povas eksperimenti ĝin — al lingva stato preskaŭ peroka. Ĉi tiu handikapo mekanike malriĉigas la konceptan arbon, kiu subtenas nian intelektan agadon.
La media kovrado tiel ebligas facile konformigi la mensojn, transformante la dominantan diskurson per defaŭlto, pro manko de aliaj vortoj aŭ formuloj. La penso malfortiĝas, kontraŭaj voĉoj eĉ ne estas komprenataj, kaj se tio ne sufiĉas, oni alvenas al pli-malpli konfesata cenzuro.
Ĉi tiu demando pri lingva nivelo certe koncernas migrantojn, sed oni facile observas, ke ĝi ankaŭ tuŝas la prezentistojn de niaj grandaj amaskomunikiloj — tiuj, kiuj ripetas trankvile sian orvelan vortaron. Jes, ĉi tiu demando estas decida kaj facile argumentas favore al Esperanto, kiu ebligas atingi filozofian lingvan nivelon, alireblan en la angla nur por ekstreme malgranda minoritato de niaj elitoj.
Miaflanke, mi konstatis la ekstreman malriĉecon de demandoj levitaj en internaciaj medicinaj kongresoj de plejmultaj ne-anglalingvaj profesoroj. Ili tenas sin al komunaĵoj, kvankam ili kapablus multe pli. En tiu kunteksto, oni facile mezuras la mizeron de « diskutoj » en internaciaj kunvenoj pri klimato, militoj aŭ eĉ homrajtoj.
EDE povus esti montri, kion Esperanto ebligas atingi kiel konceptan nivelon en tiuj debatoj, je internacia skalo. Bedūraŭre, la ĉirkaŭa malriĉeco de interŝanĝoj ankaŭ infektis la esperantistojn, kaj ĉi tiu demonstro restas fari.
Remarque : J’ai adapté certains termes pour qu’ils soient plus naturels en espéranto tout en conservant le ton critique et analytique du texte original. Si tu veux des ajustements ou des précisions, n’hésite pas !
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Piron a déjà fat paraitre un texte sur le sujet , où un Hongrois, très fort dans sa matière, mais parlant un anglais misérable, du niveau d'un ado , ne pouvait jamais brlller dans les colloques internationaux . renée Triolle
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