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Transformations de Lorentz...

11 vues
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Richard Hachel

non lue,
8 janv. 2002, 14:55:5808/01/2002
à

Je n'arrive pas à comprendre Einstein.

Bien sur, sa mathématique est impeccable,
et les transformations sont d'une cohérence
presque totale.

Je dis presque, et je les aurais louées,
si je n'avais remarqué dans ses développements
une monstruosité.

Albert Einstein a toujours cru à ce que j'appelerais
un temps plat, un univers plat.

Pour lui, Roméo et Juliette, installés sur un banc,
présenteront, instant après instant, ce qu'on pourrait
appeler un présent absolu, puisqu'ils font partie
du même référentiel.

Cette vision du monde, je la réfute.

Et si j'ai le même premier postulat que lui,
je n'ai pas tout à fait le même deuxième,
même si, d'une certaine manière, le quatrième
corollaire s'y retrouve bien.

L'erreur d'Einstein, ce fut aussi de croire en la réalité
des vitesses observables, et, pour lui,
lorsqu'un déplacement se fait de A vers B, hé bien
la durée mesurée est celle de la distance parcourue
sur la vitesse endoréférentielle réelle.

Quoi de plus simple et de plus clair pour lui!

Il a 28 ans quand il énonce sa théorie de la relativité,
et, je le réaffirme, il a encore beaucoup, beaucoup,
beaucoup de beurre au nombril face à son concurrent
de l'époque, Henri Poincaré.

L'incroyable erreur d'Einstein, suivie de la formidable
cécité de l'humanité, fut d'introduire dans ses transformations,
la vitesse c pour la lumière, et dans tous les cas de figure.

Or, c'est faux.


La vitesse de la lumière (qu'on la définisse comme infinie
comme je le fais, ou qu'on la définisse comme valant c;
ce n'est qu'une question de définition), hé bien
cette vitesse sera, en apparence de fuite, c'=0.5c,
et en apparence d'approche, c"=infinie.

Ainsi, j'ai retravaillé cet aprés midi sur les transformations
qui sont necessaires pour passer de O à O', et, dans
tous les cas de figure, j'ai bien, comme énoncé hier:

Coordonnées dans R

x=x
t=t

Coordonnées dans R'

x'=x.sqrt[(1-Vo/c)/(1+Vo/c)]+Vapp.Tapp
t'=t.sqrt[(1+Vo/c)/(1-Vo/c)]


Ici deux choses sont à noter:
t' est un invariant par rapport à la distance,
et on peut substituer Vapp.Tapp par Vo.To ou Vr.Tr


Cela vient du fait que je ne travaille plus qu'en temps apparent.

Et que travaillant en temps apparent, la vitesse apparente
de la lumière est infinie pour tout observateur qui la voit
arriver sur lui (j'espère ne pas avoir à le démontrer)
et qu'elle paraitra se déplacer à c pour tout observateur
la voyant fuir.


Maintenant, nous allons voir que mes résultats sont d'une
remarquable concordance.

On place une fusée de 30 mètres dans un référentiel
galiléen, et elle évolue à 0.6c.

Lorsque la queue O passe le point O' où je me trouve,
on déclenche les chronomètres.

On déclenche également le chronomètre O" placé
très loin et sur l'orthogonale centrée au système.

La synchronisation n'a aucune importance,
et on admet qu'elle se fait quand O" voit O et O' se croiser.

On admet maintenant qu'à un certain moment t=30.10-^8secondes
du référentiel R centré sur O de la fusée, celle-ci voit,
une déflagration en tête de fusée, soit x=30mètres.

Calculons alors la distance à laquelle aura lieu la déflagration
dans R' (là où je suis resté).

Transformation de Hachel:
x'=x.sqrt[(1-Vo/c)/(1+Vo/c)]+Vo.t/sqrt(1-Vo^2/c^2)
x'=30/2 + 0.75*3*30=82.5mètres.


82.5 mètres.


Cette distance va être invariable, évidemment, pour tous les
observateurs du référentiel O'.
Bien.

t'=t.sqrt[(1+Vo/c)/(1-Vo/c)]

t'=30*10^-8*2=60*10^-8

L'horloge O' note 600 nanosecondes.

Prenons maintenant le point O" placé orthogonalement.

On a, par effet de contraction des longueurs, une fusée
qui va mesurer 24 mètres pour O".
Puisque Lapp=Lr.sqrt(1-Vo^2/c^2) pour ce point là.

Lorsque la déflagration a lieu (à 82.5 m évidemment)
la queue de la fusée se trouve pour O" à 58.5m
(puisqu'il faut retrencher 24 mètres de longueur apparente).

Or, le temps apparent pour franchir cette distance pour la queue
de fusée, c'est, vu de O":
Tapp=x/Vo=58.5/(0.6*3*10^8)=32.5*10^-8sec

Maintenant, revenons en arrière:
Quelle heure marque O' lorsqu'elle avait percue la déflagration?
30*10^-8sec

Quelle heure va marquer O" quand elle va observer O' en train
de voir la déflagration?
t"=t/sqrt(1-Vo^2/c^2)=37.5*10^-8sec


On remarque alors que tout se tient, et que pour O",
va exister une différence de 50 nanosecondes entre le moment
où O" percoit le flash, et où O" percoit O' en train de percevoir
le flash.

C'est tout à fait normal.

Pour O", pendant ces 50 nanosecondes, la lumière va rebrousser
chemin sur la queue de fusée, pendant que la fusée va avancer
vers elle.

On a alors une distance totale de:
0.6c*50ns+c*50ns=9+15=24mètres.

C'est la hauteur de la fusée observée dans R' par la montre O".


C'est d'une précision parfaite.


Ainsi, il me parait évident que:

La RR est tout à fait juste quand elle parle de dilatation
des temps et de contraction des distances, et les valeurs
qu'elle donne sont les bonnes.

Sauf que:

Tout ceci n'est pas réel, mais le fait d'aberrations optiques
relativistes (il est d'ailleurs ridicule de privilégier une réelle
anomalie d'un référentiel sur un autre; ce qui ferait éclater
le premier postulat).

Si l'on passe en référentiel non galiléen, les distances
ne paraissent plus se contracter, elle sont identiques,
alors que les temps se dilatent, cette fois, réellement.

C'est pourquoi une roue qui tourne ne se contracte pas,
mais que les éléments qui la composent ont des temps
qui se dilatent en fonction de leur vitesse tangentielle.
Soit To=Tr/sqrt(1-Vo(tang)^2/c^2)

Les transformations de Lorentz sont fausses, car Einstein
utilise la notion de vitesse observable de la lumière,
pour des observations apparentes.
Il doit faire comme moi, et utiliser des vitesses apparentes
soit infinies, soit égales à 0.5c, et laisser c pour des
observations
purement orthogonales lointaines.


Enfin, les additions de vitesses sont toutes aussi fausses,
sauf si l'on reste en longitudinal pur, puisque là, c'est vrai:

Wo=(Vo+Uo)/(1+Vo.Uo/c^2)


C'est tout pour aujourd'hui.

C'est déjà pas si mal.


Ceux qui veulent aller prendre une aspirine.....


R.H.


Alexandre

non lue,
8 janv. 2002, 16:23:1208/01/2002
à

"Richard Hachel" <r.ha...@m6net.fr> a écrit dans le message news:
3C3B4ECE...@m6net.fr...

Alexandre

non lue,
8 janv. 2002, 16:24:3208/01/2002
à
Oups dsl pour le dernier message, fausse manouevre

"Richard Hachel" <r.ha...@m6net.fr> a écrit dans le message news:
3C3B4ECE...@m6net.fr...
>
>

Richard Hachel

non lue,
8 janv. 2002, 17:44:4208/01/2002
à

Alexandre a écrit :

> Oups dsl pour le dernier message, fausse manouevre

Oui, tu es gentil, mais déjà qu'un seul de mes posts
a le don d'énerver toute la collectivité, pis moi avec,
toi, tu nous les recolle en triple...

"On en a marre, merde!"


Nan, je déconne.


Bon, j'en profite pour ajouter, au cas où ce ne serait pas
clair, que l'observateur O' perçoit la déflagration
simultanément au bip qu'envoie O pour montrer
qu'il vient de percevoir la déflagration.

Les deux événements sont pour lui simultanés,
et la longueur de la fusée parait être de 15 mètres
pour lui.

Je sais que plusieurs vont encore pousser de hauts cris,
parce que je n'utilise même pas x dans ma formule
t'=t.sqrt[(1+Vo/c)/(1-Vo/c)]

En fait, on n'en n'a pas besoin.

La vitesse apparente d'un photon étant infinie pour
tout observateur qui le voit venir vers lui.

Tout ce qui se passe dans son hypercône de présent
étant, pour lui, instantané.


R.H.


Oncle Dom

non lue,
9 janv. 2002, 01:03:4709/01/2002
à
Il me semble qu'il y a déja eu pas mal de tentatives de ce genre. En
choisissant bien ses invariants, on arrive en général à une théorie
cohérente.
J'ai l'impression que dans ta théorie, il n' y a plus d'isotropie.
Et puis définir les idées d'Einstein à se place, j'hésite. Es tu sur qu'il
ait toujours cru à l'univers plat?
--
Oncle Dom

"Richard Hachel" <r.ha...@m6net.fr> a écrit dans le message news:
3C3B4ECE...@m6net.fr...
>
>

Eric Chapuzot

non lue,
9 janv. 2002, 01:03:5409/01/2002
à
non, non, faire la critique des inepsies d'Einstein, ca ne me dérange pas...
tu peux continuer...

justement , je me disais que si il arrivait à de telles formules c'était
justement qu'il nous voyait tout le temps au bord d'un trou hyperbolique
d'espace-temps...

aussi passionant que les résultats de la roulette...


Richard Hachel

non lue,
9 janv. 2002, 06:40:5309/01/2002
à

Oncle Dom a écrit :

> Il me semble qu'il y a déja eu pas mal de tentatives de ce genre. En
> choisissant bien ses invariants, on arrive en général à une théorie
> cohérente.
> J'ai l'impression que dans ta théorie, il n' y a plus d'isotropie.
> Et puis définir les idées d'Einstein à se place, j'hésite. Es tu sur qu'il
> ait toujours cru à l'univers plat?

Oui.


Il n'a jamais dit la plus merveilleuse phrase qui soit,
c'est à dire:
"Il n'y a pas de simultanéité endoréférentielle absolue,
et chaque point de l'univers se compose pour lui même
son propre et unique hypercône de présent.
De là dérive toute la théorie de la relativité de l'espace et du temps."

Sa théorie est purement mathématique.

Quand on lui a demandé d'expliquer, il a tiré la langue
et a dit: "Je ne peux pas le faire:
je laisse ces broderies aux tailleurs"

Il bluffait.

A la fin de sa vie, il a eu cependant le courage de dire:
"On croit que je considère ma vie comme une réussite;
et c'est tout à fait faux...
Il n'y a rien dont je suis tout à fait honnêtement sur,
et j'ai bluffé bien des fois."

>
> --
> Oncle Dom

R.H.

Alexandre

non lue,
9 janv. 2002, 09:59:3409/01/2002
à
> Il n'a jamais dit la plus merveilleuse phrase qui soit,
> c'est à dire:
> "Il n'y a pas de simultanéité endoréférentielle absolue,
> et chaque point de l'univers se compose pour lui même
> son propre et unique hypercône de présent.
> De là dérive toute la théorie de la relativité de l'espace et du temps."


Ouahhouh, quelle belle phrase, je susi vraiment sur le cul, einstein me
décoit à un point de ne jamais avoir dit cette merveilleuse phrase que plus
jamais je ne lui ferais ocnfiance !
P.S. JE déconne, c'est juste que je suis en train e me pisser dessus et que
c'est la quinzième fois que je relis cette phrase et que je m'aperçois
qu'elle est si superbe....
LOL
(lol² plutot)

Richard Hachel

non lue,
9 janv. 2002, 11:45:1009/01/2002
à

Alexandre a écrit :

Nan écoute Coco, qu'est ce que tu sais faire toi?

Si ça se trouve, tu sais même pas résoudre une équation
du second degré.

T'as combien de doctorats toi, avant de pisser de rire sur
ce que j'essaye d'expliquer sur le forum?

Bon, pour les moins cons que toi, je continue.

L'erreur d'Einstein, qui avouait ne pas pouvoir se représenter
son espace-temps dans l'esprit, alors que la façon dont je
construit le mien ne nécessite que trois dimensions,
et est véritablement compréhensible dans l'esprit,
et qui va aboutir aux transformations de Lorentz,
c'est à dire à:
x'=(x+Vo.t)/sqrt(1-Vo^2/c^2)
c'est de ne pas avoir pris garde à ce qu'il appelait t.

J'ai reformulé point par point les x' et les t' véritablement
ressentis par chaque point du référentiel R', et tout concorde.

En fait, Einstein confond (c'est logique puisqu'il avoue lui-même
travailler dans la semoule, ce qui, merde, devrait au moins
vous mettre la puce à l'oreille, là où moins je ne cesse de dire
que mon espace-temps, je le conçois clairement et je peux le dessiner
sur du papier) deux temps.

Le temps t de l'instant où, dans l'exemple, O perçoit
la déflagration dans R, et le temps T où la déflagration
a réellement lieu dans R.

L'écart est de 40 nanosecondes dans R pour l'exemple
que j'ai pris.

Soit 50 nanosecondes dans R'.

Ainsi, la distance x' n'est pas celle d'Einstein, mais la mienne,
et l'équation doit s'écrire:
x'=[x+Vo.(t-dt)]/sqrt(1-Vo^2/c^2)

Mais qu'importe, on s'interesse au point O'.

Que perçoit-il?

Je l'ai dit:
x'=x.sqrt[(1-Vo/c)/(1+Vo/c)]+t.sqrt(1-Vo^2/c^2)
(cette distance est invariante pour tous les points du référentiel).

et à l'instant t'=t.sqrt[(1+Vo/c)/(1-Vo/c)]


Voilà, c'est tout simple.


Le grand malheur, c'est que là dessus, et alors qu'on propose
enfin une théorie compréhensible, géniale, et démonstrative,
il y a toujours des gens qui veulent réfuter, sans rien comprendre
à ce qu'ils essayent de réfuter, ou tout simplement, parce que
la science leur parait parfaite, et qu'il leur parait que rien n'est
à rediscuter....

Ils passent leurs vie en conservateurs bon chic bon genre,
mais n'aident en rien au développement de la connaissance humaine,
qui devrait être le premier facteur d'humanité chez un homme.


"L'ignorance, c'est la mère de la misère"
Victor Hugo.


J'ajouterais bien l'obscurantisme moqueur et imbécile.

R.H.


Vincent Samarcq

non lue,
9 janv. 2002, 12:34:0609/01/2002
à
Richard Hachel wrote:
>
> Alexandre a écrit :
>
> > > Il n'a jamais dit la plus merveilleuse phrase qui soit,
> > > c'est à dire:
> > > "Il n'y a pas de simultanéité endoréférentielle absolue,
> > > et chaque point de l'univers se compose pour lui même
> > > son propre et unique hypercône de présent.
> > > De là dérive toute la théorie de la relativité de l'espace et du temps."
> >
> > Ouahhouh, quelle belle phrase, je susi vraiment sur le cul, einstein me
> > décoit à un point de ne jamais avoir dit cette merveilleuse phrase que plus
> > jamais je ne lui ferais ocnfiance !
> > P.S. JE déconne, c'est juste que je suis en train e me pisser dessus et que
> > c'est la quinzième fois que je relis cette phrase et que je m'aperçois
> > qu'elle est si superbe....
> > LOL
> > (lol² plutot)
>
> Nan écoute Coco, qu'est ce que tu sais faire toi?
>
> Si ça se trouve, tu sais même pas résoudre une équation
> du second degré.
>

Comme ca vous etes deux...

Alexandre

non lue,
9 janv. 2002, 13:54:3209/01/2002
à
>
> Nan écoute Coco, qu'est ce que tu sais faire toi?
>
> Si ça se trouve, tu sais même pas résoudre une équation
> du second degré.
>
Oh putain, trop horrible, la je dois te laisser mon poulet, je vais me
suicider, je viens de m'apercevoir comment j'étais bête, futil, et borné
dans ma vision des choses.
Comment ce monde a t il pu m'accepter aussi longtemps sans que je sache

résoudre une équation du second degré.
Non, franchement, tu déconnes là, j'en appelle a tout ceux qui connaissent
ce richard, qui m'explique si il est dans mon délire ou si il se prends
vraiment au sérieux ???
Je commence à me demander en fait.

Richard Hachel

non lue,
9 janv. 2002, 14:27:1209/01/2002
à

Alexandre a écrit :

Te fatigues pas...

Ils te diront tous que je délire.

C'est une attitude bien française que le général de Gaulle appelait:
la facilité.


Ca leur évite de se poser des questions sur la théorie que je présente.


En fait, c'est simple, je pars de deux postulats:

Le premier est aisément compréhensible, il s'agit de l'absence
de référentiel absolu.

C'est exactement le même premier postulat qu'Einstein.

Le second est plus étrange et plus profond que le deuxième
d'Einstein (il postule simplement que la vitesse de la lumière
est constante dans tous les référentiels) et je ne fais de son
deuxième postulat que le quatrième corrolaire de mon second.

"Il n'y a pas de simultanéité endoréférentiel absolue"

Bref, que la notion de présent dans un référentiel donné
est complètement dépassée, et que chaque point
constituant un référentiel donné a son propre hypercône
d'univers propre.

Pour mieux dire, que Roméo et Juliette n'ont pas la même
notion de présent propre, même assis sur le même banc,
s'il sont séparés d'un mètre.

De là, une nouvelle vision de l'univers.

De là de nouvelles équations.

De là l'affirmation que je suis supérieur à Einstein
dans le sens où il avouait ne pas pouvoir se représenter
son univers 4D dans l'esprit, alors que je le peux fort bien.

Non le sien, mais le mien.

Voyant clairement les choses, je peux mieux les comprendre.

Un point c'est tout.

Je rappelle l'adresse de mon site:
http://www.multimania.com/richardhachel/galileen.htm

Je veux qu'on lise et qu'on me dise OU je me fourvoie.

J'ai montré sur ce forum OU et EN QUOI je pensais qu'Einstein
s'était trompé.

Qu'on fasse la même chose avec moi.

Simplement, il semblerait que l'être humain soit incapable
de se forger la simple idée de mon second postulat.

Ca me parait pourtant beaucoup moins difficile que de tracer
une hyperbole ou de maitriser les nombres complexes.

C'est du niveau de première-terminale de Lycée ma théorie.

Bien comprise, elle pourrait être une excellente question
de baccalauréat.


R.H.

Boris Borcic

non lue,
9 janv. 2002, 14:31:4509/01/2002
à
Alexandre wrote:
>
> Non, franchement, tu déconnes là, j'en appelle a tout ceux qui connaissent
> ce richard, qui m'explique si il est dans mon délire ou si il se prends
> vraiment au sérieux ???

A propos de l'équation du second degré, il rigole.

Pour le reste : le chat de Shroedinger est-il mort ou vivant ?

Moi je trouve qu'avec sa passion pour trouver des variantes
aux matières Lorentziennes, il loupe vraiment quelque chose
à ne pas considérer de plus près le treillis lorentzien pair
unimodulaire II_25,1 qui s'ébat donc dans 26 dimensions
d'espace-temps et quotiente si bien les cordes bosoniques
que le résultat a un groupe de symétries sans pareil.

Ou alors, peut-être y a-t-il quelque chose à faire de la
convergence des noms de Lorentz, Lorenz et Laurent...

BB

Boris Borcic

non lue,
9 janv. 2002, 14:39:0209/01/2002
à
Richard Hachel wrote:
>
> Ca me parait pourtant beaucoup moins difficile que de tracer
> une hyperbole ou de maitriser les nombres complexes.

Les nombres complexes sont indûment pénalisés par un nom
malheureux, et la théorie des fonctions d'une variable
complexe est des plus élégantes qui soient.

>
> C'est du niveau de première-terminale de Lycée ma théorie.
>
> Bien comprise, elle pourrait être une excellente question
> de baccalauréat.

La dernière fois que j'ai passé mon bac, la RR était au
programme ici (comme d'ailleurs un petit trimestre
d'arithmétique des nombres complexes, si je me souviens
bien - c'est loin).

BB

Alexandre

non lue,
9 janv. 2002, 14:45:5309/01/2002
à
> Moi je trouve qu'avec sa passion pour trouver des variantes
> aux matières Lorentziennes, il loupe vraiment quelque chose
> à ne pas considérer de plus près le treillis lorentzien pair
> unimodulaire II_25,1 qui s'ébat donc dans 26 dimensions
> d'espace-temps et quotiente si bien les cordes bosoniques
> que le résultat a un groupe de symétries sans pareil.

Non, franchement, ça veut dire des trucs vos belles phrases, parce que si
c'est le cas, moi je dis respect.
Sérieusement, j'ai l'impression que vous parlez chinois.
JE vasi relire le message à Riri, je vais peut etre arriver a y capter
qqchose...
A dans deux trois jours.
Alex

Oncle Dom

non lue,
9 janv. 2002, 16:49:4209/01/2002
à
C'est une belle phrase, mais il n'a pas de preuve négatives. Il faidrait
donc dire "Je n'ai pas connaissance que Einstein ait dit que...". De fait
s'il l'avait écrit, ca se saurait, mais s'il l'avait simplement dit, c'est
moins sur.
Des générations de philosophes relativistes ont tout de même dit avec
Nicolas de Cusa, que l'univers est comme un cercle (ou une sphère), dont le
centre est partout, et la circonférence nulle part. C'est, au fond, la même
chose, dite en langue vulgaire.
--
Oncle Dom

"Richard Hachel" <r.ha...@m6net.fr> a écrit dans le message news:

3C3C2C44...@m6net.fr...

Eric Chapuzot

non lue,
9 janv. 2002, 20:18:1709/01/2002
à
ouep, je ne sais pas, il faut reconnaitre que le terrain est bien boueux et
qu'on s'enfonce à chaque fois dans des conjectures un peu particulières...

... certains voudraient utiliser tout ca rien que pour bien faire marcher
leur montre, d'autres pour soigner l'humanité, d'autres enfin pour des
intermédiaires personnels plus obscurs...

il est clair que la vie de chacun contient sa part de bluff, de mensonges
qui mènent à des situations inextricables, puis de vérités qui elles aussi
mènent à des situations encore plus inextricables....

voila, pourquoi j'aime en partie la physique, j'aime voir ma toute belle et
toute grande intelligence se planter lamentablement comme plus bas sur des
problèmes simples , ptet par paresse, ptet par la pratique de raisonnements
un peu laissés trop longtemps de côté...

bref l'oeuvre d'EInstein, c'était surtout l'oeuvre de Lorentz et Leibniz qui
eux savaient qu'ils ne faisaient que des suppositions gratuites de cas
particuliers


Richard Hachel

non lue,
10 janv. 2002, 06:33:5910/01/2002
à

Eric Chapuzot a écrit :

> bref l'oeuvre d'EInstein, c'était surtout l'oeuvre de Lorentz et Leibniz qui

> eux savaient qu'ils ne faisaient que des suppositions gratuites de cas
> particuliers

Personnellement, je me demande si la théorie de la relativité,
ce n'est pas l'oeuvre de Poincaré.

Qu'Einstein aura, non poussée plus loin, mais fait diverger.

J'aimerais énormément retrouver le travail de Poincaré sur la
théorie de la relativité, et voir jusqu'où il l'avait laissé.

Dans ce cas, il me suffirait de la reprendre où il l'avait laissé,
et de la porter au bout.

Pour Einstein, il se trompe dans son raisonnement
quand il pose:
c=dx/dt=dx'/dt'

Il fait la confusion entre:
-la vitesse de la lumière est la même pour tout gars
placé dans son référentiel quelque soit ce référentiel
et
-la vitesse de la lumière dans un référentiel est la même
pour tous les autres référentiels qui l'observeraient.

C'est à cet instant de son développement que quelque
chose se met à ne tourner plus rond.

Les mathématiques en sont infaillibles, c'est vrai, mais
il donne les propriétés du canard au dindon.


R.H.


Sylvain

non lue,
10 janv. 2002, 08:57:2010/01/2002
à
Richard Hachel <r.ha...@m6net.fr> wrote in message news:<3C3C9990...@m6net.fr>...

> De là, une nouvelle vision de l'univers.
>
> De là de nouvelles équations.
>
> De là l'affirmation que je suis supérieur à Einstein
> dans le sens où il avouait ne pas pouvoir se représenter
> son univers 4D dans l'esprit, alors que je le peux fort bien.
>
> Non le sien, mais le mien.
>
> Voyant clairement les choses, je peux mieux les comprendre.

Ne pas confondre:

- voir / comprendre : la vision est une maniere de comprendre, mais la
comprehension, si elle est acquise, est une chose plus ou moins
independante du choix de la vision. Bien sur une meilleure vision
presente des avantages pratiques, facilitant l'utilisation
ulterieure... mais elle n'est qu'un outil.

- (voir et comprendre)/presenter a autrui : on peut avoir les
meilleures choses possibles dans la tete, trouver le meilleur moyen de
les communiquer a autrui est une autre affaire.

On peut se representer n'importe quoi, de plusieurs manieres
possibles. Sauf qu'il y a des manieres de se representer telle ou
telle chose qui sont plus claires que d'autres.

> Je veux qu'on lise et qu'on me dise OU je me fourvoie.
>
> J'ai montré sur ce forum OU et EN QUOI je pensais qu'Einstein
> s'était trompé.
>
> Qu'on fasse la même chose avec moi.
>
> Simplement, il semblerait que l'être humain soit incapable
> de se forger la simple idée de mon second postulat.

Vous et Einstein faites une meme erreur : celle de penser qu'il n'y
aurait qu'une seule maniere de presenter ou se representer les choses
qui soit "la vraie". La vraie n'existe pas, mais il y en a plusieurs
au choix qui sont equivalentes, pouvant avoir des avantages et des
inconvenients en quantites variables.
L'une peut etre "la plus vraie" suivant un certain type de critere,
mais ca n'en fait pas un absolu. L'ideal est de savoir qu'il y a
differents points de vue possibles, et si on en choisit un, de savoir
pour quelles raisons pratiques on le choisit et pas un autre (car les
raisons ne peuvent etre que pratiques, d'une maniere ou d'une autre),
afin de savoir dans quelle mesure on peut s'appuyer dessus, et en
quelles circonstances il vaudra mieux en changer.
Einstein (ou plutot Lorentz et Poincare) est excusable de n'avoir
presente qu'un point de vue, ayant ainsi fait passer leur nombre de
zero a un. Il etait difficile d'avoir du recul sur une chose nouvelle.
Mais vous n'avez plus cette excuse.

Je me forge tres bien l'idee de votre second postulat, qui consiste a
prendre pour un absolu un certain aspect du reel (qui est certes bien
reel) different de ce que prenait Einstein, a savoir le point de vue
de "ce qu'on voit".
Sur mon site (ou toutes ces questions philosophiques sont egalement
expliquees) j'en ai meme montre son elegance que vous n'avez pas vue:
l'image de toute ellipse de foyer O est une ellipse de foyer O, et la
restriction a cette ellipse est une transformation affine.

Mais la vision que je propose est encore differente de ces deux-la;
non seulement je la trouve la plus elegante, mais elle a aussi les
avantages considerables de correspondre a la vision pratique qu'en ont
les theoriciens, ainsi que d'etre intrinsequement "non-serieuse"
(manifestant l'evidence du fait qu'elle n'est pas un absolu elle ne
peut pas nous pieger), et de faciliter le lien avec les autres
visions.

Et puis, vous repetez toujours la meme chose, c'est lassant.
De mon cote, c'est peut-etre la deuxieme ou troisieme fois que
j'explique tout ca, mais je ne le repeterai plus. Si vous ne voulez
pas comprendre ce n'est plus mon probleme.

Derniere remarque : vous pretendez que votre point de vue est le seul
possible, et feignez etre enferme dedans, mais vous ne l'etes pas
vraiment, vous faites semblant, car vous utilisez aussi implicitement,
comme tous les physiciens depuis si lontemps d'ailleurs, ce dont
l'explicitation est le principal objet de mon approche. La preuve,
c'est vous vous etres trahi en ecrivant:


" Tout ce qui se passe dans son hypercône de présent étant, pour lui,
instantané."

D'ou pourrait venir l'idee que ce present que vous definissez, et que
vous dites etre absolument et uniquement identique a la notion de
present, ressemblerait subitement a un hypercone ??? Dans quel espace
le voyez-vous, cet hypercone ?

Sylvain
http://spoirier.lautre.net/

JC

non lue,
11 janv. 2002, 06:48:5611/01/2002
à

> JE vasi relire le message à Riri, je vais peut etre arriver a y capter
> qqchose...

T'es en prpéa avec Monsieur Rioual ?


> A dans deux trois jours.
> Alex

hé bé

Alexandre

non lue,
11 janv. 2002, 11:39:0111/01/2002
à
nan dsl, je suis en term


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