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Wikipédia, "l'encyclopédie" écrite par des débiles séparatistes occitans pour des débiles de toutes tendances

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Bestio del Giboudon

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Mar 16, 2010, 11:35:17 AM3/16/10
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On a vu que Yannick Toutain, "Hégésippe Cormier" comme il se fait
appeler, est un catholique intégriste et pétainiste assez naïf.

On ne sait pas quelle est la part de connerie et quelle est la part de
complicité consciente qui le fait mettre Wikipédia au service de
l'extrême-droite séparatiste occitane.

Ainsi, tous les Français savent qu'on parle (ou parlait selon les
régions) la langue d'oc dans le tiers sud de la France. En Auvergne la
langue est bien restée, plus que partout ailleurs.

Tous les Français savent que le grand auteur auvergnat est Arsène
Vermenouze (mort en 1910) qui écrivit en français "Mon Auvergne" et
"En plein vent", et qui écrivit en langue d'oc "Flour de brousso" et
"Jous la cluchado".

Que les séparatistes occitans apellent "occitan" toute la langue d'oc,
c'est assez gênant.
En effet, "occitan" a toujours voulu dire "du Languedoc", donc pas de
Provence, pas d'Auvergne, pas du Limousin, pas de Gascogne....

En plus les "occitans" ont collaboré avec les Boches durant la
dernière guerre.

Le mouvement occitan a été fondé par un personnage bien sombre, Louis
Alibert, Adrien Louis Alibert pour l'administration.

Ce salaud notoire a été d'abord camelot du roi et ligueur de l'Action
Française, puis sous l'Occupation militant du groupe "Collaboration"
d'Alphonse de Chateaubriand et supplétif de la Gestapo de Carcassonne,
puis taulard condamné pour collaboration avec l'occupant nazi.

Ce CV ne pouvait qu'enthousiasmer Yannick Toutain qui chante sur
Wikipédia la gloire de Louis Alibert et qui calomnie la Résistance
limouzine.

Plus grave, il affuble d'un "portail Occitanie" des villes, des
provinces et des gens qui sont de langue d'oc, mais certainement pas
d'extrême droite, ni séparatistes.

Quand le pharmacien de Montréal (Aude) Louis Alibert dénonçait les
résistants gaullistes à la Gestapo de Carcassonne, les félibres
auvergnats, défenseurs de la vraie langue d'oc, résistaient
vaillamment au Mont-Mouchet contre les divisions SS.

Mais pour Alibert "les Auvergnats sont contaminés racialement par les
Celtes" (Cahiers du Sud, 1942)

Alibert croyait en effet que les "Occitans" étaient des Ibères. Pour
purifier la langue il l'a donc mélangée de catalan d'Espagne et
d'espagnol.

En Auvergne, les gens parlent et écrivent la langue d'oc d'Auvergne,
langue clairement gallo-romane, comme le français, le piémontais et le
romanche des Grisons.

Ca déplaît aux séparatistes occitans nostalgiques de la Collaboration.

Comme ils n'ont pas d'écrivains ni de poètes dans leur espéran-toc,
ils revendiquent ceux des autres.

Ainsi, ils revendiquent Vermenouzo comme poète "occitan", alors que
celui-ci ne connaissait même pas le mot!

Pire.

Comme les occitans veulent faire du patois de Carcassonne -
aujourd'hui disparu d'ailleurs - la langue "nationale" de leur
"Occitanie" indépendante, ils veulent faire croire qu'on parle
languedocien jusqu'au coeur du Massif Central.

Ainsi, pour Yannick Toutain, le catho intégriste, Vermenouze est
devenu un auteur "occitan" écrivant en "languedocien".

Pourtant Vermenouze a bien écrit en français "mon Auvergne" et a
toujours appelé sa langue "l'auvergnat", qu'il considérait, comme tous
les félibres, comme une branche de la "langue provençale".

Deux citations courtes que même les non-Auvergnats peuvent comprendre:

"Mistral o restaurat nuostro lengo prouvençalo" (Flour de brousso)

"Lou parla francés, ieu lou vante,
E l'inhore pas - d'acò rai ! -
Mès cò's l'AUVERNHAT mai que mai
Que parle, qu'escrive e que cante". (Jous la cluchado)


Sur le fait qu'il n'était pas séparatiste et qu'il n'était pas occitan
mais félibre, voici la fin de la
"parlicado del capiscòu al desparti d'ò Vic"

Lou Franchimand aurò bèl dire,
Tant que luzirò lou souguelh,
E de quone biais que cò vire,
Saren tant francés coumo guel.

(Le Français du nord aura beau dire,
Tant que luira le soleil,
Et de quelque manière qu'on le tourne
Nous serons autant Français que lui)

Les filhs de la raço latino:
Auvernhat, Gascoun, Prouvençau,
Sabou tabé dinc lour cuzino
Bouta del pebre e de la sau.

E se la Franço miejournalo
Cessabo un jour davant lou nord,
Se de nuostro lengo mairalo
Sian en drech de crenha la mort

(Et si la France méridionale il ne
dit pas l'Occitanie, lui !
reculait un jour devant le nord
Si de notre langue maternelle
nous sommes en droit de craindre la mort)

Nostres puèchs rengats en batalho
Se desplegariòu dinc lou cièu,
E fariòu coumo uno muralho
De las Alpos jusco à Bourdèus.

Voulen dèstre d'un païs libre,
E cò's soubre un puèch auvernhat
Que veiriat lou darrier FELIBRE
Se quilha per la libertat !

(Nous voulons être d'un pays libre
Et c'est sur un puy auvergnat
Qu'on verrait le dernier félibre
Se dresser pour al liberté)


Bestio del Giboudon

unread,
Mar 16, 2010, 4:09:38 PM3/16/10
to

Erratum:


> E se la Franço miejournalo
> Cessabo un jour davant lou nord,
> Se de nuostro lengo mairalo
> Sian en drech de crenha la mort
>
> (Et si la France méridionale          

> reculait un jour devant le nord
> Si de notre langue maternelle
> nous sommes en droit de craindre la mort)
>


La bonne traduction est:

Si de notre langue maternelle

nous étions en droit de craindre la mort

Bestio del Giboudon

unread,
Mar 16, 2010, 4:00:40 PM3/16/10
to

erratum:

il y a une petite erreur de traduction:

E se la Franço miejournalo
Cessabo un jour davant lou nord,
Se de nuostro lengo mairalo
Sian en drech de crenha la mort

(Et si la France méridionale

reculait un jour devant le nord
Si de notre langue maternelle
nous sommes en droit de craindre la mort)


La bonne traduction est :

nous étions en droit de craindre la mort

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