trobí 'quò sus un sit catoliste d'estrema dreita...
E aquò sus los bretons (sus un sit de gaucha que iò surtet per iò
comentat)
http://torrebenn.over-blog.com/article-le-breton-un-bougnoule-comme-les-autres-45153701.html
Monsieur le Maire,
Dans son rapport du 11 janvier, la commission pour l'assainissement
des logements insalubres vous signalait ce fait : que l'insalubrité
des logements, dont la raison principale était la malpropreté avait
souvent pour cause première des habitudes de malpropreté invétérés
chez les personnes.(...) nous devons le reconnaître, nos espérances se
décourageraient, si les quartiers misérables, dont nous poursuivions
l'assainissement, devaient être régulièrement infectés, le mot n'est
pas trop fort, par ces invasions de mendiants qui nous viennent des
campagnes de Bretagne.
Ces populations étrangères à notre département, chez lesquelles la
malpropreté la plus repoussante est une seconde nature, et dont la
dégradation morale est descendue à un niveau effrayant, viennent
périodiquement encombrer nos quartiers les plus pauvres et les plus
insalubres.
(...) Ajoutons que la plupart de ces malheureux ne comprennent que le
bas-breton, et qu'il est presque impossible aux agents de l'autorité
de s'en faire comprendre.
De la même manière que les Méridionaux n'avaient pas de mots assez
durs sur les Espagnols et les Italiens. Vous voulez des descriptions
des Juifs portugais de Bordeaux chez Mauriac ?
Et bien je vais vous dire ce qui manque à l'Occitanie tiens : c'est un
écrivain à la Goncourt capable de dire en un vocabulaire un peu osé la
francisation du Sud de la France, les bambins blonds nasaliseurs de
voyelles qui pullulent dans les cours de récréation de notre belle
terre méditerranéenne de Provence, les laiderons obèses du Poitou ou
de Normandie qui se trimballent dans les rues de Bordeaux, ces
Lorrains qui se paient leur fantasme de Sud de la France dans un
immonde pavillon communiant dans la médiocrité de Plus Belle la Vie
"le Midi", ces oliviers rachitiques qui gèlent en hiver dans les
jardins des ploucs nordiques de l'arribère de Garonne.
Seulement, aucun occitaniste n'oserait penser même cela, alors
l'écrire ... Et pourquoi les occitanistes ne sont-ils pas capables de
telles pensées (pensée que tout homme ouvert doit taire évidemment,
d'où le mode du Journal) ? Parce que les occitanistes sont des
Républicains français. Quand ils ne sont pas français du Nord. Et au
fond, ce sont les derniers félibres, paysans aigris, écrivailleurs de
canton, poètes médiocres, qui encore dénoncent la franchimandisation
de Toulouse. Désespérément. La figure du franchimand s'est évanouie,
remplacée par celle de l'Etat français. Langue de bois occitaniste que
cela, politicaillerie de marxiste de bas-étage, euphémisme hypocrite.
Le caractère ethno-culturel de la lutte entre Nord et Sud est ramenée
à une vague question d'organisation institutionnelle. La nullité de la
pensée.
De la votre oui, révolté de placard.
Révolté ? Par rapport à quoi ? Je suis bien dans mes baskets :
j'accepte totalement la francisation conformément à la loi du plus
fort, je n'ai aucun souci à reconnaître que la diversité dialectale
est morte ou que la novlag occitaniste ne pourra pas constituer une
langue de culture pour les masses. Le sentiment de révolte est puéril.
Par contre on peut être mélancolique. Mais c'est un sentiment
impuissant. En ceci, le placard est en effet le lieu de vie idéal.
Cela est inhérent à la nostalgie. On ne peut pas être révolté en étant
calfeutré. Se masquer, c'est entériner que la révolte est inutile.
Le terrain de la pensée est différent par contre. Il obéit à des
règles esthétiques. Le brio en fait partie. L'élégance du
raisonnement. Et le must : la complétude. C'est la force de
l'idéologie. Elle permet une opinion sur tout sujet. Biais ?
Probablement. Mais au moins on crève avec l'idée que l'on a pu
appréhender le monde. Je ne serai jamais de ces cons qui mourront en
expirant lamentablement "pourquoi es-tu si méchant Etat français ?".
Enfin, pour ma part, je ne suis que prisonnier de mes idées. Je n'ai
pas un héritage à assumer, je n'ai pas enfanté les générations
nouvelles. Je n'ai ni à ménager mon passé, ni à cajoler ma
descendance : l'occitan, ce n'est pas moi. Cela rend ma critique
autrement plus forte. Je n'ai pas de parts dans le business.
Caldrio sabé francimand ou felibre ?es pas aco mèmes ia pas que legi
Celine!
Et au
> fond, ce sont les derniers félibres, paysans aigris,
I avio pas cap de paisans chès les felibres, pas que de bourgéses e de
nobles ,es pas qu'uno pousturo pouetico , cal pas counfoundre un
prouprietari terrian aisat coumo Mistral amb un paisan. El vivio de
la tèrro , mès fintavo les autri la trabalha per el ! Le soul paisan
que i avio èro Charloun Rieu emai n'èro pas un mès puslèu qualcun
d'amounedat esten jardiniè!
L'ouliviè èro cultivat dins le rodoul Toulouso pels orts per ne fa
d'oli al sègle 19, l'ai legit mès sabi pas pus ount !
Pamens de toutis aquelis arbres n'ai pas jamai vist cap , les pus
jouves enpraici an pas mai de 20- 30 ans !
Me pensi qu'an pas passat le gèl de 1956 : - 19°
Serio lougique çaquela de ne trapa pel jardi de las plantos mès n'i a
pas cap de pus de 10 ans !
Las varietats plantado aro venon me pensi d'Andalousio e me pensi
qu'un -10° sufiro per les banda!
Les oulivo venon prou pla a Toulouso , n'ai aprestado per manja
oungan !
Mès çaquela n'ai visto de maduro tabé a Paris!
Siquenou la toupounimio semblo assoulida la presenço anciano d'ouliviè
a toulouso amb le cantou dels orts de Mountouliu ount les francimand
se fasquèron coupa le mourre del temps de Mountfort!
Mès aquel cantou es tout planiè alavets es sio tampat (mès serio
difissilament un mount) ou un remenbre de Jerusalèm
>
> > fond, ce sont les derniers félibres, paysans aigris,
>
> I avio pas cap de paisans chès les felibres, pas que de bourgéses e de
> nobles ,es pas qu'uno pousturo pouetico , cal pas counfoundre un
> prouprietari terrian aisat coumo Mistral amb un paisan. El vivio de
> la tèrro , mès fintavo les autri la trabalha per el ! Le soul paisan
> que i avio èro Charloun Rieu emai n'èro pas un mès puslèu qualcun
> d'amounedat esten jardiniè!
>
Acos tagamen la bertat que Norib refuset de dintra al Felibrige, quond
lous felibres d'Ourlhac ou li demandabou ame insistencio.
El respoundio, "mas ieu sèi païsô".
Lous felibres d'Ourlhac erou de brabes gents, mes erou touches curats
o bourges.
C'est mal d'apprendre l'occitan à Paris ? A Pragues, a Moncton ? Sinon
disposez-vous d'une machine à remonter le temps que chacun puisse téter
l'occitan au sein de votre maman ?
Peux-tu seulement imaginer qu'on puisse agir sans être révolté, et
pire, agir avec bienveillance ?
C'est sûr, c'est pas le cas des penseurs à l'emporte-pièces comme toi.
Cela dit, je suis bien conscient que vous devez être majoritaires sur
cette Terre.
On 18 mar, 13:22, Un gascon <un.gas...@gmail.com> wrote:
Tous ces Montoulieu sont issus d'abbayes : ce sont des allusions au
Mont des Oliviers.
Acos ma d'aprendre un patoes espanho e de bougue l'inpausa al Poble
d'oc.
"Acos ma" what do you mean ? Ô, bête du Gévaudan, je t'impose le patois
espagnol. Grotesque non ?
> "Acos ma" what do you mean ? Ô, bête du Gévaudan, je t'impose le patois
> espagnol. Grotesque non ?
Te cal pas far attencion, lo paure sap aps çò qu'escriu. La
consanguinitat gevaudanesa, comprenes..
Le quartiè Mountouliu de toulouso èro pas ges abitat del tems de la
crousado , mès èro pas que de jardis ount se sagneron coumo cal ,
d'aco que me souveni !
Es al dintre del barri rouma me semblo! Cal dire que l' espandi de la
vilo roumano èro immense e al 3/4 cultivat mai que pels jardis me
pensi, emplit de campetous per fa de blats e de prats per las bestios!
Le barri rouma èro pas qu'un "pomerium" barri sens utilitat militatio
(coustat garouneto dato de sècle3 sounque) mas justo religiouso e
ounourifico esten que toulouso es un un "municipe "alligat a Roumo de
dreit lati pas uno vilo counquistado.
Las situaciu geografico dels mountouliu courrespound soulament a de
regiou influençado pel climat miètgerranenc. Se troubats d'atestaciu
en auvèrgno basso ou enLimousi aqui serio interessant!
Del tems de Richard cor de lioun i avio de vignos en Anglotèrro e en
nourmandio!
Quan èri en deug estudièri un texte medieval del cantou de lille ount
un curat cultivavo uno vigno; le prof disio que èro pel culte sounque,
mè calio bé que le rasi maduresse, fasio pas de vi am de rasi vert!
Aro un rasi ven pas en dessus de la Champagno en deforo d'uno serro!
Les oliviers en Mayenne, pas vraiment crédible ...
Mèfi Negre èro un tarnés en mai d'aquo èro occitann : l'ayatollah que
succedèt a Salvat al collègi d'occitanio!
Suporto pas l'umiditat segur!
òc, lo primièr canonge aiatollah !
crebat de rire !
I a bé de mimosas en tourreno , se veson del tgv, e le mimosa resisto
pas a -10°.
Me es mai que mai uno questiou d'umiditat per l'ouliviè ,que l'ivèr
jous la plèja amount deu pouiri e atapa toutis les campairols e escana
lèu lèu!
Olivet Loiret
de Oliveto mayenne
de olivo, de oliveto, partem oliveto manche
Pas ges de mountouliu en deforo dels airal ount pourio buta (dount las
landos), estounant !
Me pensi qu'es puslèu un pichou noun- patrounime hipocoristique ;
demoustrat mai que mai pel : partem oliveto
Per resuma :
Trabal de Negre=trabal d'occitann= salle trabal , pas fissable!
> Trabal de Negre=trabal d'occitann= salle trabal , pas fissable!
ça ne s'arrange pas !
Montoulieu a sa plus grande distribution comme lieu-dit en Béarn. Je
pense qu'on peut même dans certains cas envisager une formation
suffixée : mont + ol + iu (<latin ivu), sens de "montueux". Aucun
Montoulieu dans le Gard ou tout autre département méditerranéen.