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"Eole" Eric Gonzalès. Sous premios pas subre internet

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Bèstio del Giboudan

unread,
Jun 26, 2011, 8:38:10 PM6/26/11
to
Après abedre bingat uno de sas escoulanos de 14 ons (!) lou rat Eric
GONZALÈS, de PAU, es estat foro-bandit de l’Educaciou Naciounago.
En 2005 et 2006 le rat Gonzalès nous expliquait sur soc culture
breton
qu'il avait payé un travesti du Bois de Boulogne pour
se faire enculer "pour vérifier mon orientation sexuelle", disait-il.
+++
Es tagament madur que s’en bantabo, lou paure neici !
+++
+++
+++
Ensuite il a gravement accusé la femme d'un internaute d'avoir été
"une putain devenue stérile après ses nombreux avortements".
+++
+++
Qué li abio fach aquelo fenno ? Pas res. L'o pas jamai bisto.
+++
+++
Mais cette femme est l'épouse d'un félibre. Donc pour quelqu'un comme
Eric Gonzalès qui n'a que la dignité du rat,
+++
+++
ça lui donnait le droit
de la calomnier aussi gravement.
+++
++
+
Cette femme est Roumaine d'origine et le rat Gonzalès considère les
Roumains comme une race inférieure.
+++
++
+
Saben dounc desempiei qu'Eric Gonzalès es l'ome lou mai miserable
mouralomen, lou mai desesperat sicoulougicamen, lou mai mespresable
des omes, un enculé au deux sens du terme.
+++

Aquelo bourdilho demoro rue du sergent Bernès-Cambot a Pau.

Éole

unread,
Jul 5, 2011, 3:34:24 PM7/5/11
to
La vérité sur Éric Gonzalès est bien loin de ce que le pseudo-A.M.,
véritable malade mental, essaie de faire courir sur Usenet.

Au demeurant, pour que ceux qui pourraient nourrir un doute, un simple
coup de téléphone à n'importe quel collège suffirait à mettre les
choses
au point.

Mais ce que peu de gens savent, c'est que cet homme d'apparence banale
-avec sa taille moyenne, sa corpulence moyenne, ses lunettes-, c'est
que
cet homme est un véritable héros qui a évité un trouble à l'ordre
public
majeur dans son ancien quartier du 14 Juillet, le jour où un Arabe
insulta un jeune Manouche d'une manière extrêmement outrageante.

À Pau, beaucoup d'Arabes et absolument tous les Manouches ont entendu
parler de lui. La plupart des Manouches et beaucoup d'Arabes
reconnaissent sa voiture. Lorsqu'il croise des Manouches, ils le
saluent; lorsqu'il lui arrive de passer dans un de ces quartiers qu'on
appelle "sensibles", on l'y reçoit avec tous les égards. Tant les
Arabes
que les Manouches le défendent, il est intouchable, mais ce n'est pas
un
problème parce que non seulement M. Gonzalès n'est pas violent et ne
s'est jamais battu de sa vie, mais de surcroît c'est quelqu'un
d'affable
et de très aimable avec tout le monde.

Voilà ce que M. Gonzalès voulait dire lorsqu'il prévenait le pseudo-A.
M. que s'il accusait M. Gonzalès de toutes ces horreurs dans certains
quartiers de Pau, il trouverait des gens prêts à se battre pour
défendre
ce dernier.

Pour les Arabes, il est celui "qui a passé une nuit entière entre un
Arabe et un Gitan".

Pour les Tsiganes, qui, en raison de la faible importance numérique de
leur communauté, sont davantage informés de ce qui s'est passé, il est
celui "qui a évité une guerre au 14 Juillet". En effet, face à une
insulte tellement outrageante que nous préférons ne pas la reproduire
ici, c'est toute la famille qui était prête à venir laver l'affront,
ce
qui aurait inévitablement amené d'autres Arabes du quartier à
intervenir. C'est Éric Gonzalès, tout seul mais avec le soutien moral
de
son amie de l'époque, Mlle Lucie C., qui a fini par convaincre cet
Arabe, M. Hakimi, de remonter chez lui avant que les choses ne
tournent
au tragique. Il n'y a pas passé toute la nuit, mais y resté jusqu'à 2
h
du matin.

C'était un lundi soir. Le lendemain, ça recommençait. Et le
surlendemain. M. Gonzalès en a été très marqué psychologiquement.

La semaine suivante encore, M. Hakimi s'amusait à parader le soir sur
le
parking de la résidence, en contrebas de la maison des Manouches, dans
le but évident de les provoquer. Cette fois, M. Gonzalès, qui n'avait
pas voulu choisir entre Arabes et Tsiganes, a pris le parti de ces
derniers, qui n'avaient rien demandé à personne, mais ce n'est qu'au
bout d'une semaine qu'il a pu régler définitivement l'affaire. M.
Hakimi, complètement isolé des Arabes du 14 Juillet, n'avait même pas
le
soutien des Arabes de sa résidence!

Mais comme si ça ne suffisait pas, ce M. Hakimi s'est ensuite retourné
contre M. Gonzalès et a même menacé Mlle Lucie C. M. Gonzalès s'est
trouvé dans l'obligation de déposer une main courante au commissariat.

En vérité, les derniers jours de M. Gonzalès au 14 Juillet ont été un
véritable enfer. De plus, M. Gonzalès est un intellectuel, un homme
qui
a peu de centres d'intérêt dans la vie: la littérature, son travail
pour
la langue occitane, les femmes... Ce qu'il a accompli là le dépasse et
il se refuse à écrire un roman qui raconterait ces terribles
événements
-terribles en vérité quand on les vit en première ligne. Mais il faut
du
moins lui en rendre justice et dire combien la vérité sur ce monsieur,
et les raisons pour lesquelles il peut effectivement avoir une
certaine
notoriété dans sa ville, en dehors de celle qu'il doit à son oeuvre
d'écrivain et son action de patriote, sont ô combien éloignées des
délires que l'on peut lire ici.

Nous savons que cette mise au point sur Éric Gonzalès ne manqueront
pas
de provoquer d'autres délires de la part du pseudo-A. M., qui sera
capable de l'accuser de ce qu'il a empêché. Néanmoins, cette vérité,
nous la crierons ici haut et fort autant de fois que ce sera
nécessaire.

On pourra également gloser sur le fameux "keffieh" que porte souvent
M.
Gonzalès. La vérité est que dans le quartier, des gens connaissaient
cette famille tsigane mieux que lui, mais que grâce à ce "keffieh"
dont
on parle ici sur un ton de mépris, les Arabes le connaissaient de vue
et
savaient qu'il éprouvait également de la sympathie pour leur
communauté.
C'est ainsi qu'il était la seule personne du quartier du 14 juillet à
pouvoir éviter que la situation ne dérape, et c'est pour ça qu'il l'a
fait, sans quoi il aurait bien laissé à d'autres le soin de le faire.

Sinon, Éric Gonzalès fit ses premiers pas sur Internet en juillet
2000, sur les conseils de Nicolas Rey-Bethbéder qui lui avait vanté
cette nouvelle technologie, soit plus de cinq ans avant le message
racontant son anecdote parisienne !

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