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CTSG et lorbériens

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claude grillet

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Aug 21, 2008, 2:32:09 PM8/21/08
to
Le site français des adeptes de Jakob Lorber vient de supprimer dans
les textes qu’ils proposent la précision suivante au sujet de leur
traducteur de l’italien en français, Noel Reynaud, « CTSG » (c’est a
dire Cercle du Temple et du Saint Graal).

Comme j’avais il y a quelques temps dans ce forum signalé que ce Noel
Reynaud était le fondateur du CTSG (avec Jean Marie Parent) en 1976,
le lorbérien français, Georges, m’avait contacté personnellement pour
me demander de retirer cette information concernant son ami Noel
Reynaud dont d’ailleurs il n’avait plus de nouvelles depuis les
années 1990. Je lui avait répondu qu’il était libre de faire tout
commentaire qu’il jugerait bon, mais qu’en ce qui me concernant, je
témoignais de ce que je savais et que je voyais.

Depuis, toujours par l’intermédiaire de Georges, les lorbériens
français étaient entrés en possession d’un texte qui était une
apocalypse annoncée, provenant d'un site lorbérien italien, toujours
traduite par le même Noel Reynaud, dont j’ai donné quelques extraits
(consulter mes interventions).

A l’attention donc des lorbériens, voici quelques informations du
milieu que fréquentaient Noel Reynaud et Jean Marie Parent, co-
fondateurs du CTSG.

De l’ARMORC, est issu l’ORT, dont sont issus l’OCDT et le CTSG
(1976) et OTS (Ordre du Temple Solaire bien connu)
Du CTSG est issu la FJRT (1978) qui devient le OCTCND en 1984.


Source : http://sergecaillet.blogspot.com/2007/05/trois-sicles-de-rsurgences-templires.html:


« Et voilà que l’histoire se répète. La décision de réveiller l'Ordre
du Temple, et par conséquent de fonder l'Ordre rénové du Temple,
aurait été prise par des maîtres cachés de la tradition, le 5 février
1962. Cette étape première d'une longue préparation aboutit, en 1968,
à la rencontre de Raymond Bernard et d’un mystérieux Jean, descendant
des rois de France, avec "le cardinal blanc", un dignitaire secret du
Temple. Celui-ci lui transmet, dans la crypta ferrata, crypte secrète
de l’abbaye uniate de San Nilo, en banlieue de Rome, l’adoubement et
la mission de réveiller l’Ordre en communiquant à son tour cet
adoubement, à Chartres. Là s’arrête le récit allégorique de Raymond
Bernard, que beaucoup, malheureusement, ont pris au pied de la lettre.

Au moment où il publie son "aventure", en 1968, Raymond Bernard
transmet donc l’adoubement "templier", soi-disant reçu près de Rome, à
deux proches, Raymond Devaux et Julien Origas, dans la crypte de la
cathédrale de Chartres. Deux ans plus tard, il fonde l’Ordre rénové du
Temple, dont il sera jusqu’en 1972 le grand maître secret. Cet Ordre
se développe d’abord dans le giron de l’AMORC, ce qui lui permet de
compter en quelques mois près de mille cinq cents membres. D’autant
que l’ORT adopte la forme d’enseignement par correspondance inaugurée
par l’AMORC. Par suite de difficultés diverses, en 1972, Raymond
Bernard choisit de se retirer de l’ORT et le confie à son bras droit,
Julien Origas, un ancien de l’OSTS, qui poursuivra son développement.
En 1988, après avoir cessé ses fonctions dans l’AMORC, Raymond Bernard
fondera l’Ordre souverain du Temple initiatique (OSTI) dont il a
transmis la grande maîtrise à Yves Jayet, en 1997.

A son tour, l’ORT donnera naissance à d’autres ordres néo-templiers :
l’Ordre des veilleurs du Temple (OVDT), de Lucien Metche, en 1973 ; le
Cercle des Templiers du Saint Graal (CTSG), en 1976, qui se
transformera lui-même, en 1978, en une Fraternité pour la résurgence
templière (FJRT), laquelle deviendra en 1984 l’Ordre des Chevaliers du
Temple, du Christ et de Notre-Dame (OCTCND), aujourd’hui ramifié.

Mais le descendant le plus connu de l’ORT restera à jamais le
tristement célèbre Temple solaire. A la mort de son grand maître,
Julien Origas, en 1983, la direction de l’ORT revient à un médecin
vivant en Suisse, du nom de Luc Jouret (1947-1994), désigné par le
grand maître défunt. Cependant, une partie des cadres refusent de lui
faire allégeance et reprennent rapidement en main l’ORT. Avec les
membres restants, Jouret et son associé, Joseph - dit Jo - Di Membro
(1924-1994) fondent alors, en 1984, l’Ordre international des
chevaliers du Temple solaire, qui mutera, en 1990, en Ordre Tradition
solaire ou Ordre du Temple solaire. Ce mouvement suivra, au fil des
mois, une dérive sectaire – voire peut-être une dérive mafieuse – dont
on sait qu’elle conduira à l’assassinat et au suicide de 53 personnes,
adultes et enfants, en Suisse et au Québec, en octobre 1994. En
décembre 1995, un deuxième acte du drame provoquera en France la mort
de 16 autres personnes. »


Autre passage concernant Jean Marie Parent :

Source : http://blog.ibelgique.com/osmth-mco/informations

« LA PISTE DE LA CHAUSSEE DE CHARLEROI (BRUXELLES) - L’ORDRE DES
CHEVALIERS DU TEMPLE DU CHRIST ET DE NOTRE DAME (OCTNCD)
C’est le policier et écrivain Roger Facon, par ailleurs grand maître
de l’OCTNCD, qui est à l’origine de cette information. Sa hiérarchie
souhaitait que son audition se déroule dans le cadre d’une commission
rogatoire, ce qui n’a pas été obtenu.
Il a été entendu une première fois par téléphone et a confirmé, lors
d’une rencontre, les propos tenus à cette occasion. Il semble que Jean-
Marie Parent, un grand nom de l’ésotérisme, soit à l’origine de
l’information relative à une présence de l’OTS dans la chaussée de
Charleroi. Ces informations dateraient de 1982 ou 1983.
M. Parent a fait partie de l’Ordre Rénové du Temple d’Origas et aurait
notamment créé l’OCTNCD pour essayer d’infiltrer la mouvance d’extrême
droite.
Selon Parent, l’OTS signifierait l’Ordre du Temple du Scarabée et
aurait été créé par une nommée Ange-la Van Room, alias De Bast. Cette
personne, qui ne serait plus dans notre pays et dont la France cherche
à savoir si elle est toujours en vie et, le cas échéant, où elle se
trouve, aurait créé cet OTS, en y reprenant les responsables de
différents ordres ésotériques du même type. Parmi eux, Julien Origas
de l’ORT, ainsi que des représentants de l’Ordre Vert et du Tombeau
narbonnais. »

Y aurait-il autre chose qu’une coïncidence dans la date de perte de
vue de Noel Reynaud, ce Noel Regnault traducteur d'apocalypses, dans
les années 1990?

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