Mais bon, il n'y a rien derri�re, sauf la tentative de faire du grand
m�chant loup un loup encore plus m�chant!
Vous lui emandez � lui... je vais m�me �tre plus dur encore: � mon avis, la
quasi-totalit� des psychoth�rapeutes non form�s en universit�, plus une
certaine marge de gens form�s (psys, m�decins) utilisent parfois (ou
seulement, pour ertains d'entre eux )des m�thodes anti-scientifiques.
>
> Sachez encore que j'ai pris et d�s le d�part mes distances avec le
> CICNS ; ce dernier, voulant faire pression sur moi m'a de nouveau
> envoy� un mail me demandant de retirer dans mes pages web ('Biologie-
> Totale' de C. Sabbah et 'Germanique Nouvelle M�decine' du Dr G. Hamer)
> la r�f�rence � la notion bas�e sur un constat personnel (t�moignages
> de patients entre autres) de "d�rives de nature sectaire" ;
> ce que j'ai refus�.
>
> Donc merci de ne pas m'associer de pr�s ou de loin avec le CICNS (je
> r�pviens d'un nouvel, possible et facile amalgame manich�en).
Sur quelles données statistiques repose un tel avis, vous qui vous
vous qui vous réclamez de la science (conventionnelle) et vous qui
voulez toujours des "preuves" scientifiques pour tout ?
Je vous l’ai déjà demande en appliquant à vous-même ce que vous
attendez des autres.
Mesurez-vous à quel point ce que vous exigez pour les autres (°) comme
rigueur, vous ne l'appliquez même pas à vous-même ?
(°) En ce qui me concerne, j'ai encore détaillé sur ce forum les
raisons pour lesquelles les critères matérialistes et rationalités
(par ailleurs dogmatiques, de l'expérimentation scientifique ne
pouvaient pas s'appliquer au domaine psychothérapeutique ; en revanche
j'ai aussi démontré qu’est tout à fait crédible l'observation
empirique sur le plan scientifique : je l’utilise aussi dans mon
domaine et elle est non seulement valable, parce qu'elle est
authentiquement scientifique (sans aucun dogme à l'inverse de la
science conventionnelle), mais rigoureuse (dans ce qu’elle met au jour
des vrais liens de cause à effet).
Cf. http://groups.google.com/group/fr.soc.sectes/browse_thread/thread/571ce8975f4b1d11?hl=fr
Sur ce section du forum, vous n’avez pas pris la peine de répondre aux
questions posées ni de vous situer par rapport à l’argumentaire que
j’ai développé alors que c’est vous qui m’interpelliez !
Par rapport à la méthode scientifique conventionnelle (matérialistes
et rationaliste) à laquelle s’accroche donc désespérément M. Gonnet
(et ses copains zététiciens), voici encore une réflexion qui montrera
encore l’absurdité de vouloir la faire appliquer au domaine de la
psychothérapie :
La recherche scientifique à laquelle vous vous référez ne tient
dogmatiquement aucunement compte des immanquables incidences du
psychisme et qui comptent parmi de telles variables contaminantes et
superbement écartées par la recherche scientifique (dans sa partie
matérialiste et rationaliste) : ce sont pourtant des facteurs
INCONTOURNABLES.
Les « variables contaminantes » comme on le dit en expérimentation
(rigoureusement) scientifique sont des Variables qui ne font pas
partie du plan de recherche mais qui peut exercer une forte influence
sur les variables étudiées.
Une bonne recherche doit autant que possible neutraliser l'effet
nuisible de ces variables en utilisant des mesures ou des procédures
de contrôle.
Dans le cas inverse, ce seront alors d'authentiques variables
incontrôlées qui invalideront ipso facto les résultats des recherches
qui en auront été entachés.
« C'est la médecine tout entière qui doit s'ouvrir à la psychologie et
devenir psychosomatique. Ou pour mieux dire, avec WEISS et ENGLISH
(°) : " Toute maladie relève à la fois de l'esprit et du corps et
toute thérapeutique est, de ce fait, de la médecine psychosomatique.
Lorsqu'on en sera dûment persuadé, le terme psychosomatique pourra
disparaître, les données qu'il traduit étant désormais impliquées dans
le terme médecine". Mais pour cela il faut que tous les médecins et
psychiatres soient authentiquement formés à la psychologie et aient
renoncé au préjugé organiciste.». Marc-Alain Descamps (1992). Corps
et psyché, p16.
(°)(‘Médecine Psychosomatique. L'Application de La Psychopathologie
aux Problèmes Cliniques de Médecine Générale’)
Plus de détails sur : http://www.psychobiologie.eu
sur aucune donn�e statistique, puisqu'il faudrait que le sujet soit assez
passionnant pour en faire une �tude pouss�e. Ce que j'ai constat�,
tristement constat�, c'est que presque � chaque fois que je me suis point�
chez des sites d�fendant la psychoth�rapie non dipl�m�e, c'�tait pour y lire
des all�gations comme celles que vous pr�tendez vous-m�me sur votre propre
site perso de psychoth�rapeute se disant ennemi des ham�riens et autres
jusqu'au boutistes. Et que les mouvements les plus connus du lot de la
psychoth�rapie non dipl�m�e allaient aussi dans ce sens: affirmations sans
preuves (cf scientologie, kin�siologie, ham�risme, bio-�nergie, ^psy g�n�a
logique et autres illogismes.
Pourquoi devrais-je aller beaucoup plus loin? Je ne cesse de croiser les
m�mes absurdit�s dans ces "psychoth�rapies"! Est-ce que vous voudriez bien
de votre c�t� me donner des URLs de psychoth�rapeutes non conventionnels qui
ne tomberaient pas dansde tels pi�ges?
Cela ne signifie pas que tous les d�rapeutes ne fassent QUE du tort � leurs
patients: m�me la sciento fait parfois du bien � ses clients; l'ennui, c'est
que les emmerdes sont toujours au bout du lot: fausses explications
individuelles qui mettent les patients sur de fausses pistes et leur causent
des torts, fausses promesses de bien-�tre qui s'ach�vent par des suicides,
etc.
r
Ce qui m'int�resse aussi, M. Labrique, c'est que vous vous d�cidiez � faire
suivre LA d�cision de justice. C'est aussi ce qu'ils vous demandent au
CICNS: pas �tonnant d�s lors qu'ils vous critiquent de ne pas l'avoir
refil�e! Est-ce que vous allez le faire, oui ou non, qu'on puisse v�rifier
vos dires ?
r
> Cela ne signifie pas que tous les d�rapeutes ne fassent QUE du
> tort � leurs patients
C'est vrai : il arrive parfois qu'ils se fassent du tort � eux-m�mes.
Vous n'avez pas l'air de vous rendre compte que s'il y avait une once
de contre-vérité dans ce que j'ai transmis à propos du jugement, les
parties adverses n'éhsiteraient pas à m'attaquer en justice !
J'ai expliqué au CICNS que si je ne transmettais pas le jugement c'est
d'une part parce qu'il y avait plusieurs erreurs matérielles qui me
désservent et d'autre part parce qu'il y a un élément matériel que je
difuserais et qui pourrait entraîner des effets dommageables chez
quelqu'un : déontologiquement, je dois toujours veiller à respecter
scrupuleusement le 'primum nil nocere'.
> Sur quelles données statistiques repose un tel avis, vous qui vous
> vous qui vous réclamez de la science (conventionnelle) et vous qui
> voulez toujours des "preuves" scientifiques pour tout ?
Il me répond : « sur aucune donnée statistique, puisqu'il faudrait que
le sujet soit assez passionnant pour en faire une étude poussée. »
Brave la pirouette ! L’absence de données statistiques ne justifie pas
qu’on puisse se croire autorisé à donner des informations non fondées
(ce que vous faites) !
Le sujet est pourtant plus que passionnant vu les tonnes de pages
consacrées mais toujours en faisant l’impasse intellectuellement
honnête de faire reposer les « analyses » sur des données tangibles et
vérifiables !
M. Gonnet écrit :
>« Ce que j'ai constaté, tristement constaté, c'est que presque à chaque fois que je me suis pointé
>chez des sites défendant la psychothérapie non diplômée, c'était pour y lire
>des allégations comme celles que vous prétendez vous-même sur votre propre
>site perso de psychothérapeute se disant ennemi des hamériens et autres
>jusqu'au boutistes. Et que les mouvements les plus connus du lot de la
>psychothérapie non diplômée allaient aussi dans ce sens: affirmations sans
>preuves (cf scientologie, kinésiologie, hamérisme, bio-énergie, ^psy généa
>logique et autres illogismes. «
1° ce que vous appelez les ‘allégations’ et qui sont reprises en tous
cas sur mon site sont le fruit d’observations empiriques et comme le
soulignait le Dr Thomas-Lamotte déjà cité : « Cette étude empirique
n’en n’est pas moins rigoureusement scientifique. »
2° vous revenez avec votre disque rayée des preuves : vous n’admettez
dogmatiquement que les preuves que la science matérialiste et
rationaliste admet pour telles !
3° la psychogénéalogie est la seule approche parmi celle que vous
citez et que j’aborde sur mon site mais, vous ne le savez sans doute
pas, elle est universitaire :
La psychogénéalogie est une branche de la psychologie et de la
psychothérapie et s'est développée dans les années 1970 par le Pr Anne
Ancelin Schützenberger (Université de Nice) qui a inventé le terme de
psychogénéalogie au début des années 1980. Elle a travaillé avec le
psychosociologue Jacob Levy Moreno aux USA et à repris le génogramme
qui avait été créé dans les années 70 par les pionniers de la thérapie
familiale (Grégory Bateson, l’école de Palo Alto…) et, qui reprend le
concept de « génogramme », crée le "génosociogramme" en y incorporant
des données psychanalytiques. Dans son best-seller "Aie mes aïeux"
elle écrit "Rappelons que le professeur Henri Collom a développé à
Dakar (et ramené à Nice en 1978) la technique du génogramme), issue
des réflexions de Moreno".
M. Gonnet écrit :
>« Est-ce que vous voudriez bien « de votre côté me donner des URLs de psychothérapeutes non >conventionnels qui ne tomberaient pas dans de tels pièges ? »
Le meilleur piège est celui que vous fabriquez vous-même : la
sempiternelle et obstinée référence au sine qua non (prétendument)
scientifique (conventionnel).
M. Gonnet écrit :
>« fausses explications individuelles qui mettent les patients sur de fausses pistes et leur causent
>des torts, fausses promesses de bien-être qui s'achèvent par des suicides, etc. »
Ce que vous dites montre ne concerne que les ‘dérapeutes’ : ceux qui
comme trop souvent en Biologie-Totale et chez les Hamériens plaque de
leur propre cru le sens à donner à la maladie, au lieu de s’en tenir à
l’écoute empathique qui permet au patient de livrer lui-même ce qu’est
le sens de sa maladie et d’en tirer alors tout le bénéfice.
D’autre part, s’il y avait autant de dérives à ce point dramatiques,
il y aurait beaucoup d’affaires judiciaires en rapport mais je vous
défie de dresser et pour les 20 ans passé une liste d’affaire de ce
type qui dépasserait la dizaine !
Alors en toutes choses, il faut savoir garder raison.
Il faut aussi relever le fait qu'il se trouve parfois des posteurs qui
feraient mieux de s'abstenir denvoyer des messages ; s'ils ne
comprennet pas pourquoi je suggère, mais sans trop me faire trop
d'illusion, de méditer sur les aphorismes suiavnts du regretté Pierre
Desproges :
"La vitesse de la lumière étant supérieure à celle du son, beaucoup de
gens sont brillants jusqu’à ce qu’ils ouvrent leur gueule "
« Il vaut mieux se taire et passer pour un con que de parler et de ne
laisser aucun doute à ce sujet »
car
« De tous ceux qui n’ont rien à dire, je préfère encore ceux qui se
taisent » !
vous r�vez? La tr�s vaste majorit� des affaires de ce type sont ignor�es par
les soci�t�s de production, seul leur service jurdique s'y int�resse, et il
ne s'emmerderait pas un instant � aller vous chercher querelle si vous avez
un peu arrang� les choses, mais comme on le lit ensuite, la situation n'est
pas � votre avantage, proc�s gagn� ou pas:
>
> J'ai expliqu� au CICNS que si je ne transmettais pas le jugement c'est
> d'une part parce qu'il y avait plusieurs erreurs mat�rielles qui me
> d�sservent et d'autre part parce qu'il y a un �l�ment mat�riel que je
> difuserais et qui pourrait entra�ner des effets dommageables chez
> quelqu'un : d�ontologiquement, je dois toujours veiller � respecter
> scrupuleusement le 'primum nil nocere'.
C'est �a, voil� enfin la v�rit�: les juges ont commis plusieurs erreurs, et
vous refusez qu'elles apparaissent. Le probl�me, c'est que vous, vous
commettez l'erreur de ne pas transmettre ce qu'ils disent et que vous
pensiez qu'on serait incapable de v�rifier ce qu'ils disent et que vous
consteteriez_
r
Rien d'une pirouette. Contrairement �,vous, je ne vais pas m'inventer du
boulot pour prouver qqchose qui est d�j� �vident d'embl�e.
> Le sujet est pourtant plus que passionnant vu les tonnes de pages
> consacr�es mais toujours en faisant l�impasse intellectuellement
> honn�te de faire reposer les � analyses � sur des donn�es tangibles et
> v�rifiables !
>
>
> M. Gonnet �crit :
>> � Ce que j'ai constat�, tristement constat�, c'est que presque �
>> chaque fois que je me suis point�
>> chez des sites d�fendant la psychoth�rapie non dipl�m�e, c'�tait
>> pour y lire
>> des all�gations comme celles que vous pr�tendez vous-m�me sur votre
>> propre
>> site perso de psychoth�rapeute se disant ennemi des ham�riens et
>> autres
>> jusqu'au boutistes. Et que les mouvements les plus connus du lot de
>> la
>> psychoth�rapie non dipl�m�e allaient aussi dans ce sens:
>> affirmations sans
>> preuves (cf scientologie, kin�siologie, ham�risme, bio-�nergie, ^psy
>> g�n�a
>> logique et autres illogismes. �
>
> 1� ce que vous appelez les �all�gations� et qui sont reprises en tous
> cas sur mon site sont le fruit d�observations empiriques et comme le
> soulignait le Dr Thomas-Lamotte d�j� cit� : � Cette �tude empirique
> n�en n�est pas moins rigoureusement scientifique. �
Ecoutez, il sort plusieurs centaines de bouquins chaque ann�e sur les sujets
de ce type, et on y trouve toute sorte d'avis souvent contraditoires selon
les auteurs. Je m'int�resse aux faits, et quand qqun commence � mentir,
pr�tenxre ou avancer nombre d'arguments ineptes, pourquoi aller se fatiguer
� faire une th�se? Ce n'est qu'en restant simple qu'on arrive � faire
comprendre les anomalies.
> Il faut aussi relever le fait qu'il se trouve parfois des posteurs
> qui feraient mieux de s'abstenir denvoyer des messages ;
Charit�, bien ordonn�e... vous ne croyez pas ?
> � De tous ceux qui n'ont rien � dire, je pr�f�re encore ceux qui
> se taisent � !
Allez-y, on vous regarde.