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Daniel Bensaïd est un charlatan qui fabrique de l'idéologie bourgeoise mystique : "Une histoire... sans garantie scientifique"

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Yanick Toutain

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Dec 7, 2008, 3:54:26 PM12/7/08
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http://monsyte.blogspot.com/2008/12/daniel-bensad-est-un-charlatan-qui.html
Daniel Bensaïd est un charlatan qui fabrique de l'idéologie bourgeoise
mystique : "Une histoire... sans garantie scientifique"

L'auteur de "Politique de Marx" est une variété de ces clowns que
dénonçait Lénine dans son Matérialisme et empiriocriticisme.
Un clown titré "philosophe" !

Par Yanick Toutain
06/12/08 01:50

"Daniel Bensaïd enseigne la philosophie à l’université Paris VIII
Saint-Denis. Il a récemment publié à La Fabrique Les Dépossédés. Karl
Marx, les voleurs de bois et le droit des pauvres."

Il y a plus de 25 ans que j'ai renoncé à lire cet escroc intellectuel.
En 1992, dormant chez un camarade de la LCR (un des rares à pouvoir se
regarder dans la glace quant à mon combat contre l'Éducation
Nationale), j'eus l'occasion nocturne de feuilleter sa bibliothèque.
Un livre récent du charlatan s'y trouvait.
Des mots, du baratin, de la rhétorique, des nuages de fumée. L'absence
totale de réflexion sérieuse, l'absence totale de science, l'absence
totale de faits classifiables, de thèses critiquables freinait la
lecture. Ses bouquins ressemblent à des devoirs à corriger écrits par
un élève fâché avec l'écriture.
Mais Daniel Bensaïd n'est pas fâché avec l'écriture, il est fâché avec
la réalité.
Sa rupture - ancienne - avec la réalité est la cause fondamentale de
sa rupture avec Marx et le marxisme.

LA FANFARE IDÉOLOGIQUE DU GANG POLITIQUE FORMOIS

Pour accompagner la dégénérescence politique de Krivine et Sabado,
pour accompagner les expulsions hors de la Quatrième Internationale,
les exclusions des rebelles, il fallait des baratineurs idéologues.
Il fallut une fanfare pour masquer le bruit des coups de Jarnac.
Il fallut une fanfare pour masquer les bruits de l'emprisonnement des
trotskystes sud-américains par les crapules formoises sandinistes au
Nicaragua, sous les applaudissements et à la probable demande des
crapules Sabado, Krivine et de tous ces gangsters néostaliniens qui
poursuivaient les vrais révolutionnaires dans toutes les vrais
révolutions.
Le rôle des idéologues faux trotskystes du genre Bensaïd consistait à
couvrir les bruits des coups.
Leur rôle consistait à fabriquer un nuage de fumée pour masquer leur
adaptation politique, leur dégénérescence humaine.

Ce monsieur est professeur de philosophie.
S'il l'avait été, un tant soi peu, il m'aurait épargné des milliers
d'heures de travail que je fus contraint de faire à cause de la
parfaite fainéantise intellectuelle de ces gens, de ces "clowns titrés
professeurs" comme les appelait Lénine.

Puthagoras comme précurseur de l'atomisme ?
Puthagoras et Democritos comme précurseurs de la physique atomique ?
Titus Lucretius comme constructeur de la compréhension rationnelle du
vide ?
Titus Lucretius comme constructeur de la conception scientifique du
vide et des atomOs ?
Newton comme précurseur de la conversion masse énergie ?
Newton comme scientifique comprenant que le photon est la brique de la
matière ?
Newton comme matérialiste comprenant que la gravitation est le choc
des photons ?

Le clown Bensaïd, tout comme le clown de Caen, Michel Onfray - le
militant de l'apologie du capitalisme - n'en connaissent rien,
absolument rien !
Ces fainéants, tout occupés à la construction de leur gloire
médiatique, occupés à la construction de leurs réseaux d'influence,
n'eurent jamais le temps d'y travailler.

Je dus tout faire.

De Lénine comme continuateur de Newton ?
De Lénine en tant que dernier défenseur de l'existence du vide en
soi ?
De Lénine en tant que dernier défenseur de la possibilité des vitesses
objectives, des vitesses absolues de Newton, des vitesses de la
matière par rapport au vide.
Les deux clowns titrés philosophes n'en ont pas la moindre idée.

Les prétendus matérialistes étaient en réalité des ennemis infiltrés
dans les lignes de la science, des ennemis infiltrés dans nos lignes
révolutionnaires.
Daniel Bensaïd est, en fait, l'idéologue de la formoisie exploiteuse,
il est le fabriquant de fumée de la classe exploiteuse dont Besancenot
est devenu le héraut.
Daniel Bensaïd est le fabriquant de la bonne conscience de la
formoisie de Montivilliers pour que puisse y mourir les SDF, un mardi
de décembre.
Il faut que la formoisie ait bonne conscience.
Pour qu'elle puisse réclamer ses 1500 euros, ses augmentations des
salaires de pilotes d'avion, ses augmentations des salaires des
crapules du SAMU - les adhérents du syndicat de Patrice Pelloux, la
crapule qui gagne 4200 euros et qui veut plus !
Pour que les Patrice Pelloux aient bonne conscience, il leur faut des
marchands de fumée, des Bensaïd, il leur faut des fanfares pour que le
bruit de la répression qui s'abat sur les pauvres ne vienne pas gâcher
leur plaisir de recevoir un joli salaire en "respect de leurs
qualifications acquises".

Mais, le brouillard de fumée que le charlatan Bensaïd fabrique depuis
plus de 30 ans avait la même caractéristique que les charlataneries de
Lacan ou d'Althusser. Soit une recopie pure et simple des textes des
auteurs de références, soit un salmigondis incompréhensible qui aurait
nécessité des heures de travail à décortiquer pour parvenir à y
découvrir un semblant de noyau rationnel.
Le combat scientifique avait autre chose à faire.
Quand bien même Lénine, lui, fit un tel travail de bénédiction pour
retrouver le semblant de raison qui subsistait dans les écrits
imbéciles des partisans de Mach et de Berkeley, l'océan à explorer,
l'océan de retard rendait absurde un tel travail à la loupe.
Mais aujourd'hui, il se trouve que l'ouverture du dernier ouvrage du
charlatan - une réédition de textes de Marx - laissa apparaître, au
beau milieu d'une page, une citation qui avait le mérite de montrer,
en toute lumière, l'absolue dégénérescence intellectuelle du
néostalinien Daniel Bensaïd.
Qui plus est une dégénérescence poussée jusqu'au point où l'idéologie
formoisie du stalinisme en vint à rejoindre la dégénérescence
intellectuelle de la bourgeoisie : L'idéologie proto-fasciste de la
fin du déterminisme absolu.
Le charlatan de la LCR en est arrivé à un tel point de dégénérescence
intellectuelle qu'il peut, aujourd'hui, écrire cela :

"La centralité de la lutte des classes et leur issue incertaine
exigent en effet une part de contingence et une notion non mécanique
de causalité, une causalité ouverte en somme, dont les conditions
initiales déterminent un champ de possibles sans déterminer
mécaniquement lequel l'emportera"


Une part de contingence ?
Pauvre crétin réformiste passé à l'adversaire.
Rappelons au lecteur égalitariste - ou simplement au lecteur honnête -
que la contingence est le mot universitaire, le terme huppé signifiant
"hasard".
Le verbe romain contingere signifie - le Larousse en atteste -
"arriver par hasard".
L'imbécile Bensaïd s'arroge le droit de rééditer Marx. Il le fait dans
une collection sponsorisée par la région Ile de France.
Qu'il vernisse son image "avec le concours" et les subventions
contrôlées par les gangsters colonialistes ne peut que nous révéler la
façon dont fonctionnent les réseaux du système bourgeois-formois.
Mais qu'il préface Marx en exigeant "une part de contingence" est une
imposture absolue.
N'importe quel scientifique sait que le hasard n'est rien d'autre que
l'ignorance provisoire.
Même Planck - celui qui ajouta "moins un" à la formule de Wien, et
fut, pour cela considéré comme l'inventeur de la physique quantique -,
même Planck refusait les aberrations intellectuelles dont le charlatan
Bensaïd est l'apologiste.

Une notion "non mécanique de causalité" ?

Ces charlatans encaissent en fin de mois le virement bancaire que la
bourgeoisie met, généreusement, à leur disposition, pour les
récompenser du baratin qu'ils mettent dans le cerveau de malheureux
étudiants de Jussieu et des universités bourgeoises.
Ils sont donc les bons larbins de la bourgeoisie, les gentils toutous
bien obéissants.

Quelles sont ces causalité non mécaniques ?
N'importe quel matérialiste qui a compris ce que Laplace expliquait
sait que les causalités sont absolues.
Il sait que les lois de causes et d'effets ne souffrent d'aucune
restriction. Il sait, qu'au niveau des particules, tout s'explique.

Je vais rappeler ici les thèses fondamentales du "Manifeste
matérialiste" de janvier 2006 :


SCIENCE DU MOUVEMENT DES ATOMOS
Cette science du mouvement des atomos s'appellera Mécanique de base.
Cette Mécanique de base est la brique de toutes les autres sciences.
Aucune science ne peut prétendre être en contradiction avec la
Mécanique de base.
Les sciences physiques (mouvement des particules et des corps de
l'Espace), les sciences biologiques et les sciences humaines étudient
des corps, qu'ils soient inanimés ou vivants ou vivants - humains,
dont le fonctionnement correspond à la Mécanique de base.
Un champion olympique gagne une épreuve parce que ses atomos
(organises en vivant), mis au contact des atomos de la nature
[socialisée partiellement] (stade, terrain, bateau etc.) organisée en
inanimé, lui ont permis d'avoir la performance la "meilleure".
Connaître tous les atomos concernés par un "cent mètres sprint" permet
évidemment de prévoir à l'avance le résultat de la course.
Cette assertion, cette affirmation est la base de toute science.
Celui qui la refuse quitte le groupe des scientifiques pour, rejoindre
la horde de la crédulité superstitieuse.
Et cela, quand bien même cette horde obtiendrait des labels de la
prétendue "communauté scientifique".
"Communauté scientifique" à laquelle Isaac Newton a craché, par
avance, tout son mépris.(*)
* * *
LE TRAJET DES ATOMOS
Lorsqu'il l'a fait, en 1706, la Terre se trouvait à des milliards de
kilomètres plus loin qu'aujourd'hui (des dizaines de milliers de
milliards de kilomètres quasi certainement. (*)
Les atomos de la Terre de 1706, il y a 300 ans, ainsi que les atomos
des êtres vivants qui s'y trouvent, se sont déplacés dans le vide à un
vitesse probable de plusieurs millions de kilomètres à l'heure
(possiblement vingt *)
* * *
Tous ces atomos ont fait un trajet. Trajet dont rend compte la
Mécanique de base.
Ces trajets ont provoqué la Révolution Française, les molécules
d'encre des pages des livres "Candide" édités (ouvrage de Voltaire),
ont provoqué les creux des CD ROM nous permettant d'écouter la
symphonie n°40 de W. A. Mozart.
La Mécanique de base explique tout cela : Avec les règles et les
données, la Mécanique de base aurait même pu prévoir tout cela.
Laplace, à la fin du 18° siècle, avait totalement raison.
Ses adversaires sont des imposteurs, des charlatans, des mystiques
déguisés.
* * *
La seule science de base c'est la Mécanique des atomos (atomostikos =>
atomostique)
Ce sont les mouvements réels des atomos dans le vide qui sont la seule
réalité qui existe. Il n'en existe pas d'autre.
Quiconque refuse cela est un idéaliste masqué.
* * *
BRIQUES PHYSIQUES, BRIQUES BIOLOGIQUES
La science a consisté à découvrir les briques de l'Univers. Ces
briques sont physiques (électrons, protons, etc.) ou biologiques (ADN,
etc.)
Mais les briques biologiques ont des briques physiques. Les briques de
la matière vivante ont elles-mêmes des briques non-vivantes.
Dans un corps vivant, à un moment déterminé, il y a un nombre précis
d'électrons et aussi, un nombre précis d'atomos.
Mais chaque électron, lui-même, contient un nombre précis d'atomos [on
peut supposer que les modifications de l'orbite de l'électron de
l'atome d'hydrogène sont liées à la variation de ce nombre d'atomos,
précisément.]
Dans un corps vivant, à un moment déterminé, il y a un nombre
déterminé de cellules. Chacune contient un nombre précis d'électrons,
d'atomos, etc.
* * *
MODALITÉS PARTICULIÈRES DE DÉPLACEMENT
Les lois de la Mécanique de base permettront, lorsqu'elles seront
complètes, de définir ce que signifie "vivant".
En effet, ce sont des modalités particulières de déplacement des
atomos qui fabriquent du "vivant".
La matière vivante, faite de briques vivantes, est faite d'atomos.
Mais ces atomos sont groupés d'une certaine façon, se déplacent d'une
certaine façon. Et ce sont ces regroupements et ces déplacements qui
donnent les briques de la matière vivante.
La clé de la biologie doivent donc être conformes, en conformité, avec
les règles de la Mécanique de base, de la Mécanique atomostique.
C'est du domaine de la philosophie que de traiter de cette conformité.
* * *
TRANSFORMATION QUANTITE QUALITE
A titre d'exemple, une des lois fondamentales de la philosophie
scientifique, c'est la loi de transformation Quantité Qualité
(L.T.Q.Q.)
La L.T.Q.Q. est issue des travaux de Hegel, Marx et surtout Engels.
Elle décrit le fait que toute augmentation quantitative provoque une
modification qualitative.
Augmenter la chaleur de l'eau d'une casserole induit un gaz, la vapeur
d'eau.
La vapeur d'eau est une transformation qualitative de l'eau liquide."


Ce sont ces thèses que nie le charlatan. Il nie le fait que la
causalité existe à tous les étages de la science.
Le fonctionnement du vivant est aussi un fonctionnement du non-vivant.
Les causalités absolues qui existent à l'étage des atomOs, à l'étage
des photons, à l'étage des électrons, des noyaux, des atomEs, des
molécules sont tout aussi absolues que les causalités qui existent à
l'étage des particules du vivant.
Les lois qui régissent les cellules du vivant sont des RÉSUMÉS des
lois de base.
Il n'existe aucun hasard ! Nulle part !
Ni à l'étage du non-vivant, ni à l'étage du vivant, ni à l'étage des
sciences humaines.
La psychologie est une manière de résumer les sciences physiques : il
n'existe aucun élément matériel qui fasse fonctionner un être humain
autre que le noyau d'hydrogène et son électron.
De la même façon que l'atome d'hydrogène est formé d'un noyau et d'un
électron et qu'il s'est complexifié pour devenir atome d'autre chose
quand son noyau au grossi et qu'un deuxième électron, puis un
troisième électron, puis un quatrième électron ... sont arrivés pour
s'adjoindre aux constituants initiaux, en formant les atomes d'Hélium,
de Lithium, de Berylium, l'accumulation de cellules a formé un être
vivant de plus en plus complexe.
De la même façon que l'adjonction de 5 électrons à l'atome d'hydrogène
a constitué un atome de carbone et que celui de 15 électrons a permis
la formation d'un atome d'oxygène, par la présence de noyaux de plus
en plus gros, de la même façon, l'adjonction de familles
supplémentaires a fait passer l'humanité au stade des tribus, puis des
peuples, puis des nations.
Mais ces évolutions sont descriptibles en termes biologiques, elle
sont descriptibles en termes moléculaires, en termes photoniques.
Les lois qui régissent les déplacements des photons permettent AUSSI
de décrire la réalité des sociétés humaines.
Le couteau qui frappe Henri IV détruit la vie, mais il est aussi
métal.
Il est métal qui s'enfonce dans des cellules faites de carbone,
d'hydrogène, d'eau.
Le sang du roi qui coule dans la rue de la Ferronnerie est aussi fait
de molécules H2 O. Il est aussi une agglomération de non-vivant.
Et le cerveau de Ravaillac est aussi une formation de cellules, mais
aussi une formation d'atomes.
Le complot réactionnaire des agents du Vatican prit aussi la forme des
vibrations qui firent le trajet depuis le larynx des émissaires du
catholicisme triomphant jusqu'au tympan de l'imbécile assassin.
Ces molécules aériennes restèrent sur place mais firent vibrer leurs
voisines en transmettant le signal anti-protestant, le signal anti-
bourgeois qui se matérialisa dans le geste musculaire de la
marionnette meurtrière.

Il existe - et le marquis de Laplace serait le premier à le comprendre
- un ordinateur potentiel qui contiendrait la totalité des
informations des atomes des protagonistes - lieux, objets, humains.
Et cet ordinateurs partirait des mêmes causes pour aboutir aux mêmes
effets.
Les mêmes déterminants produiraient les mêmes résultats.
Seuls les imbéciles anti-scientifiques sont incapables de comprendre
cela !

Mais non, le crétin Bensaïd, corrompu par le joli salaire que la
bourgeoisie lui verse, a quitté les rives du marxisme.
Naturellement, pour jouer son rôle de traître efficace, il rira encore
prétendre qu'il serait marxiste !
Mais pour cela il lui faut introduire le hasard bourgeois, le hasard
fasciste, dans la science !
Car le hasard est fasciste !

Quand l'abruti larbin de la bourgeoisie écrit :


"(...) les conditions initiales déterminent un champ de possibles sans
déterminer mécaniquement lequel l'emportera"


Il permet l'arrivée du Führer, il permet l'arrivée du héros, il permet
l'arrivée du Protagoniste Miraculeux.
Le scientifique, le marxiste, sait que les conditions initiales
déterminent .... la conclusion !
Le scientifique sait que les conditions initiales sont les causes de
la suite des évènements et que la suite est UNIQUE.
Le scientifique sait que TOUT EST ÉCRIT !


TOUT EST DÉTERMINÉ : L'HISTOIRE EST ÉCRITE
Car ce qui effraye les moineaux peureux de la science falsifiée c'est
cela : L'Histoire est "écrite".

Tout est prévisible.

Tout est déterminé.

Depuis le probable Big-Bang (à clarifier) jusqu'en 2007 tout était
écrit.

Prévisible.

Évidemment.

Oui, mais par qui ?

Effectivement, ce ne sont pas x milliards de photons partis en
goguette à l'instant t0 + 5 Temps de Planck qui vont pouvoir prévoir
Mozart, ni, même ce texte lumineux.

Ils ne sont même pas encore capables de s'agglomérer pour former un
atome d'hydrogène, ni même un électron.

Tout était prévisible ...

Par personne.

Et alors !

Tout cela est parfaitement logique.

Connaître, en direct, le cerveaux de 2 grands maîtres des échecs
permet de prévoir les 20 premiers demi coups de la finale.(...)
Si Louis XVI avait marché sur une crotte de chien dans le parc de son
château le 14 juillet 1789, cela n'aurait pas modifié l'agglomération
de troupes contre-révolutionnaires étrangères contre le peuple
parisien.


Le scientifique sait que TOUT EST ÉCRIT !
La suite du manifeste de janvier 2006 anticipait même sur le degré de
dégénérescence intellectuelle qui allait être celui de Bensaïd

PROPORTIONNALITÉ DES CAUSES ET DES EFFETS, CHAOS, ET CYCLES RÉPÉTÉS

Les partisans de la dernière goutte d'eau sont des imbéciles.
Si "elle fait déborder le vase", c'est au même titre que toutes les
autres.
L'étincelle ne fait exploser que de la poudre, pas de la crotte de
chien.
Les Crottoriciens du Chaos se prennent pour de grands découvreurs.
Ils ont redécouvert la TQQ pour les meilleurs, sans le dire, sans
l'avouer (Thom est un pillard). Les autres font mumuse avec des
pitreries.
Le papillon qui devait empêcher le cyclone Katerina est tombé à l'eau.
Pour ce coup-là (est-ce bien lui ?) Pascal avait raison : Les causes
et les effets sont proportionnels.
Lorsqu'un avalanche se produit, la cause et les effets s'analysent en
terme de Mécanique de base et de mécanique supérieure : Rien ne se
perd, tout se transforme.
L'imbécile cahotique qui skie hors piste pour prouver qu'il déclenche
des avalanches ne prouve rien :
il est le facteur ridicule.
Ces braves gens, valets serviles, veulent protéger la bourgeoisie
putride par une bouillie idéelle : faire croire à la non
proportionnalité des causes et des effets, faire croire à l'apparition
hasardeuse des nouveautés, pour masquer l'inéluctabilité de sa
faillite.
Les mêmes servent aussi la soupe de la "fin de l'Histoire", de
l'"Histoire se répète" : La preuve - disent-ils - la Terre reste à
tourner autour du Soleil (Soleil bien évidemment immobile) Combien
d'ailleurs de "physiciens" connaissent la vitesse orbitale du Soleil ?
"La Terre revient au même endroit chaque année"
(...)

Qui a écrit cela ?
(...)

Entre les partisans du cahot chaotique et ceux des cycles à l'infini,
il y a l'épaisseur d'une feuille pelure. S'y niche l'esprit réincarné
des bouddhistes : Tran Xinh Thuan, le méchant qui insulte Newton en
profitant de la naïveté de G. Gleick, lui, vend sa camelote : Dieu
existe parce que les fleurs sont belles.
Quels groupes sociaux payent de pareils crétins des sommes telles ?
"La Terre revient au même endroit"
"La bourgeoisie règne éternellement, sur les siècles des siècles, dans
l'espace claustrophobique d'une poubelle surchauffée : la Terre".
Bien heureusement, la TQQ va balayer tous ces gens.
Bien heureusement, dans quelques centaines de milliards de kilomètres,
dans un ou deux zigzags terrestres, l'accumulation du principe de
pauvreté, du principe d'insupportabilité va fusionner avec le principe
novateur (mal) porté par la classe innovoise et développé par la
strate innovante. Et, comme en 1789, à l'échelle mondiale, on verra
balayer les classes bourgeoises, on verra fermer les Bourses.
"La Terre revient au même endroit" se rassurent-ils !
Les cahotiques vous le diront alors :
"C'était imprévisible"
Ces ignares n'auront même pas remarqué qu'au 2900ième mensonge de
Georges Bush II, propagé mondialement, en vue d'attaquer un peuple
supplémentaire, la révolution anti-capitaliste mondiale se propagera.
Certes, je le concède, il se trouvera une partie de la "communauté"
"scientifique" qui réussira à prouver, pliures à l'appui, que cette
2900ième inanité de Georges Bush II avait un caractère particulier qui
la rendait précisément déterminante.
Et qui la rendait, à elle seule, responsable de cette mobilisation
planétaire.
Une autre partie de la toujours "communauté" toujours "scientifique"
ira prétendre que ce 2900ième mensonge était totalement imprévisible.
Un sous groupe déviant ira même prétendre que ce n'est pas tant le
mensonge proféré pendant son allocution qui a créé cette hostilité
déterminante contre Georges Bush II que l'éternuement qui l'a saisi au
milieu de la phrase.
(...)


Il est frappant de constater que les partisans du cahot et ceux du
cycle répété pour l'éternel ont en commun de détester Laplace et
Épicure, en l'avouant, de détester Newton (en le cachant) et de prier
Saint Einstein, qui, grâce au refus de l'anisotropie, leur permet de
continuer à faire leur petite tambouille "comme si" la Terre restait
immobile. La seule question qui reste posée est celle-ci : La
diffusion de masse des éléments de base pour une nouvelle science
matérialiste précédera-t-elle la révolution sociale et la révolution
civilisationnelle ?


Le scientifique sait que TOUT EST ÉCRIT !
La réponse de l'imbécile Bensaïd à ce plaidoyer en faveur de la
science est son propre plaidoyer en faveur des imbécillités du
fasciste Heisenberg.


"La logique historique s'apparente alors davantage au chaos
déterministe qu'à la mécanique classique"
écrit le crétin.
La même haine que celle des Bohr, des Heisenberg et tous ces
imposteurs, tous ces clowns diplômés qui se prétendent physiciens
depuis 1927.
La mécanique classique est la science, la physique classique est le
socle de la science.
Et les crétins du genre de Thom cessent de dire des âneries quand ils
commencent - sans le dire - à piller Engels.


"Pour départager les interprétations, les écrits politiques sur les
luttes des classes en France, sur la colonisation anglaise en Inde,
sur les révolutions espagnoles ou sur la guerre de Sécession sont
certainement plus utiles que les spéculations logiques. La centralité
de la lutte des classes et leur issue incertaine exigent en effet une
part de contingence et une notion non mécanique de causalité, une
causalité ouverte en somme, dont les conditions initiales déterminent
un champ de possibles sans déterminer mécaniquement lequel
l'emportera. La logique historique s'apparente alors davantage au
chaos déterministe qu'à la mécanique classique : tout n'est pas
possible, mais il existe une pluralité de possibilités réelles entre
lesquelles c'est la lutte qui tranche. Ici encore, il faut faire appel
au Blanqui de l'Éternité par les Astres
pour qui, après les défaites récurrentes de 1832, 1848, 1871, "seul le
chapitre
des bifurcations" restait "ouvert à l'espérance".


Les bifurcations des charlatans sont les ruptures du déterminisme du
fasciste Heisenberg et de la mécanique quantique.
Ces charlatans sont les ennemis du déterminisme, les ennemis des
causalités, les ennemis de la science.
Il n'est point un hasard de voir, ici, apparaître l'idiot Blanqui.
Quand Marx et Engels travaillaient à la science, quand Darwin
travaillait à la science, les crétins Napoléon Bonaparte et Blanqui
travaillaient à leurs petits complots de crétins.

Il n'est pas un hasard de voir la Fabrique être devenu le repaire de
Blanqui, le repaire de Bensaïd, le repaire de Coupat-le-raciste.

L'idéologie de la rupture des causalités est l'idéologie du refus de
la science. Les classes exploiteuses craignent de se voir démasquées,
elles craignent de voir leur ignominie apparaître sur la scène de
l'histoire, elles craignent de voir leur destinée être inscrite dans
l'inéluctabilité.
Le salaire de Bensaïd sera annulé, il touchera 1000 euros comme tout
le monde et devra rembourser les droits à polluer de sa
surconsommation de grand formois - surconsommation qui aura contribué
à la destruction de la Terre.
C'est cela que craignent toutes ces crapules néostaliniennes :
l'inéluctabilité de leur faillite.
Le fascisme de la formoisie a pour nom "stalinisme".
On en voit déjà les activités dans la pratique politique de la LCR.
Comme sous le stalinisme, les orateurs égalitaristes se font huer dans
les assemblées générales, comme sous le stalinisme, la menace de
l'internement psychiatrique est devenue la formation de base de leur
abruti militant débutant. Il suffit de lire leur site revolution-
celeonet pour les voir déverser leur haine : dessins, photos
d'ambulances psychiatriques.
Ils appellent de leurs vœux le goulag pour leurs adversaires. Ils
défendent avec acharnement les assassins trafiquants de drogues des
FARC.
Ils instrumentalisent pour leurs basses œuvres les crétins
néostaliniens du PCF arracheurs d'affiches.

Ce n'est que le mensonge des historiens qui laissa croire que la
relativité était compatible avec le matérialisme : les faits nous
démontrent que Staline persécuta les partisans de Lénine et du
matérialisme.
Ce n'est que le mensonge des historiens qui masqua le fait que la
victoire de la mécanique quantique fut, au sein de la gauche, la
défaite du siècle des Lumières, la défaite de tout progrès
scientifique.
Il est amusant de comparer les propos de l'éditeur de Bensaïd - Éric
Hazan -avec ceux de la veuve Kennedy. Il fait l'apologie du
"possible", des "individus", de l'"évènement".
Le crétin Hazan apprécie - à moins que ce ne soit Bensaïd lui-même qui
ait rédigé son texte apologétique - il apprécie "une histoire ... sans
garantie scientifique" !
Le label lui convient bien.


"ce n’est “ pas une mécanique du progrès, ni l’accomplissement d’un
destin, mais une histoire où l’événement, les individus, les
caractères ont toute leur place, où le possible n’est pas moins réel
que le réel (…) Une histoire profane, sans prédestination divine ni
garantie scientifique. Une histoire stratégique, qui se joue dans le
conflit, aux points de bifurcation ”.


Le crétin Hazan n'aime pas l'histoire avec "prédestination", il
préfère les histoires où les héros peuvent découvrir des "points de
bifurcation" !
Il nous décrit un Bensaïd dont les élucubrations seraient "À l’opposé
d’un Marx figé dans le déterminisme".

Les deux crétins n'aiment pas le déterminisme, ils aiment les héros.
Les deux crétins Hazan et Bensaïd ont, en cela, une illustre
devancière !

La veuve Jackie Kennedy voulait influencer un des biographes de son
mari assassiné, le journaliste Teddy White, qui rédigeait un article
pour le magazine Life.***


“ " L'histoire n'est écrite que par des hommes amers et vieux, déclara-
t-elle. La vie de Jack [surnom de John Kennedy, NdY] tient davantage
du mythe, de la légende magique, de la saga et de l'histoire que de la
théorie ou de la science politique. " C'est là qu'elle me parla de sa
théorie de Camelot, rêve utopique de la célèbre comédie musicale
américaine. Elle croyait, et John Kennedy partageait cette croyance,
que l'histoire appartenait aux héros et que les héros ne devaient pas
être oubliés. Elle ne voulait pas que John soit oublié, ni que ses
actes soient fixés par la postérité sous une lumière défavorable. Elle
voulait qu'on se souvienne de lui comme d'un héros. Elle me confia que
souvent, la nuit, il écoutait Camelot sur leur phonographe et qu'il
s'identifiait personnellement à travers les paroles de l'air final :"
Que l'on n'oublie pas qu'il y eut un jour, pendant un bref moment
étincelant, un lieu connu sous le nom de Camelot."
“ Elle en parlait avec une telle passion que, sous un certain angle,
cela prenait presque un sens. J'avais bien conscience que c'était là
une mauvaise interprétation de l'histoire, mais j'étais piégé par
l'habileté
de Jackie à présenter la tragédie en des termes si humains et si
romantiques. Il y avait aussi quelque chose d'extrêmement convaincant
en elle. A ce moment précis, elle aurait pu me vendre n'importe quoi,
une Cocotte minute ou le pont de Brooklyn.
" Mais, tout ce qu'elle voulait, c'était que je construise l'épilogue
de Life autour du concept de Camelot. Ca ne semblait pas une demande
si extravagante. Et je me dis en moi-même : pourquoi pas ? Si c'est
tout ce
qu'elle veut, donnons-lui satisfaction. C'est ainsi que l'épitaphe de
l'administration Kennedy est devenue Camelot - un épisode magique de
l'histoire américaine, au cours duquel des hommes galants dansèrent
avec des femmes superbes, de grandes actions furent accomplies et la
Maison-Blanche devint le centre de l'univers."

En conclusion, chers lecteurs et lectrices égalitaristes, si vous
n'aviez pas compris, dans les délires anti-scientifiques de Daniel
Bensaïd, où se trouvait cachée l'opération Besancenot, la magouille
Besancenot, il ne vous reste plus qu'à imaginer, chez eux, la nuit,
Sabado, Krivine, Bensaïd et toute la clique, écouter, tout émus, la
musique de Camelot, avec dans le rôle principal, le charmant prince
Arthur Cendrillon : Olivier Besancenot, dans le rôle du maître d'hôtel
Michel Drucker, et dans celui de la citrouille le NPA et tous les rats
néostaliniens qui nous ont insulté ou s'apprêtent à le faire.
Là, alors, tout s'éclaircit !

Les honnêtes et naïfs adhérents de la LCR - il y en eut encore - se
retrouvèrent à acheter à Sabado et Krivine une Cocotte minute et le
pont de Brooklyn !

Nous leur ferons ouvrir les yeux en leur imposant des motions exigeant
1000 euros pour tous les Terriens.
Les honnêtes voteront pour et les malhonnêtes iront rejoindre la
chorale des charlatans, des escrocs et des gangsters formois :"Que
l'on n'oublie pas qu'il y eut un jour, pendant un bref moment
étincelant, un lieu connu sous le nom de Camelot."


=========
NOTES ET SOURCES

Un lecteur de rue 89, en réponse à un texte apologétique (et
mensonger) sur Besancenot nous présente Bensaïd comme un des actuels
dirigeants de la IV° internationale.
La référence qu'il en donne est un article de l'Express du 24 mai
2004.
Pour L’Express (24 mai 2004), il “ serait le dirigeant le plus
influent de la Ligue ”. Il siège au bureau de la IVe Internationale,
signe de son rôle majeur, tout comme Alain Krivine, et trois autres
presque inconnus, Christophe Aguiton (fondateur de Sud et pilier de
l’altermondialisme), Daniel Bensaïd et Janette Habel.


Par ailleurs, Michel Onfray, le traître qui passa de la candidature
Bové au soutien à Besancenot quand il vit que les sondages avaient
varié, balance sur son blog les charlatans :

"Dans un dîner qui nous rassembla avec Alain Krivine et Daniel
Bensaïd, Olivier Besancenot affirmait ne pas être trotskyste, et je le
crois volontiers, car lui-même et ses deux comparses savent que les
temps ont changé et que la cristallisation d’une gauche mouvementiste
peut constituer une identité nouvelle pour une Ligue rénovée."
http://michelonfray.blogs.nouvelobs.com/

John Mullen (LCR Montreuil) démasque partiellement Bensaïd :

"Il poursuit en accusant les bolcheviques d’avoir sous-estimé
l’importance de la démocratie, le pluralisme et la décentralisation.
Nous trouvons là pourtant que Bensaïd tombe dans un piège. Critiquer
les bolcheviques est tout à fait légitime. Mais quand les critiques
sont extrêmement vagues, comme cela nous semble être le cas ici, elles
ne permettent pas de clarifier l’avenir, elles ouvrent simplement la
porte aux conclusions anti-révolutionnaires de nos adversaires. Les
critiques que nous faisons de Lénine doivent être précises, et nous
croyons qu’une présentation précise permet de défendre la ligne
générale du gouvernement bolchevique dans les premières années après
la révolution. On peut également regretter la diffusion ridiculement
réduite de la brochure de Bensaïd, et son ton parfois excessivement
universitaire (la citation de Kant contient une phrase de 72 mots).
L’extrême gauche a sous-estimé l’importance de cette bataille
idéologique. Il est déjà à noter à quel point l’anticommunisme a
avancé quand on voit les défenseurs du marxisme devant écrire des
brochures de réponse, à petite diffusion, à des best-sellers
anticommunistes. On aurait préféré que la droite soit obligée de
répondre à un best-seller “ En défense de Lénine ” ! Ceux qui
connaissent la tradition théorique d’où sort la présente revue ne
seront pas surpris de nous entendre ajouter un argument
supplémentaire. Et si les crimes de Staline ou de Mao en Chine ou de
Hoxha en Albanie…, et les horreurs décrites dans Le livre Noir du
capitalisme avaient la même cause ? En effet, la définition des États
de ce type comme une nouvelle variante, non de communisme, mais du
capitalisme, le capitalisme d’État d’État, peut permettre d’éclairer
le lien entre dictature et conditions économiques. Les camps de
travail, le massacre des opposants, la collectivisation forcée et le
stakhanovisme sont tous des phénomènes liés entre eux et causés par la
décision de Staline de permettre à l’économie d’être entièrement
dominée par la concurrence - le ‘besoin’ de ‘rattraper, puis dépasser’
les économies occidentales. Le livre noir du communisme est évidemment
une partie d’une campagne idéologique qui vise à défendre le
capitalisme. Mais son succès est aussi en partie le prix que paie la
gauche radicale pour avoir défendu une analyse fausse des États dits
communistes.
==
bibliographie

sur le site de La Fabrique Le baratin des charlatans

Inventer l’inconnu
Karl Marx, Friedrich Engels
Textes et correspondance autour de la Commune
Précédé de Politiques de Marx, par Daniel Bensaïd
Dès avant la guerre franco-allemande de 1870, Marx et Engels échangent
toute une correspondance sur les événements d’Europe, qui se poursuit
pendant les combats, le siège de Paris et la Commune. Ce livre
présente ces lettres peu connues, avec les textes célèbres autour de
la Commune, dont l’Adresse à l’Internationale du 30 mai 1871, souvent
appelée La Guerre civile en France. Cet ensemble poursuit le travail
de Marx entrepris vingt ans plus tôt avec Le Dix-huit Brumaire de
Louis Bonaparte et Les Luttes de classes en France. On voit s’y
élaborer les thèmes de l’État moderne, des guerres nationales, du
bonapartisme, de la république, de la démocratie, de la
transfiguration des classes sociales dans leur représentation
politique. L’impératif de solidarité envers les insurgés parisiens
n’interdit jamais la lucidité et la critique devant l’écheveau de
contradictions, les hésitations ou les inconséquences des acteurs, la
tragédie du trop tôt ou trop tard. Que Marx soit autre chose qu’un
théoricien de l’économie, que chez lui “ l’action politique ne se
réduit jamais à la plate traduction d’une logique historique ”, c’est
le sujet principal du texte de Daniel Bensaïd, Politiques de Marx. À
l’opposé d’un Marx figé dans le déterminisme, ce qui se passe dans ces
textes, ce n’est “ pas une mécanique du progrès, ni l’accomplissement
d’un destin, mais une histoire où l’événement, les individus, les
caractères ont toute leur place, où le possible n’est pas moins réel
que le réel (…) Une histoire profane, sans prédestination divine ni
garantie scientifique. Une histoire stratégique, qui se joue dans le
conflit, aux points de bifurcation ”. Un passionnant dossier sur la
Commune, qui “ a anticipé en actes sur le possible et l’impossible, de
sorte que même ses projets et décisions inapplicables gardent un sens
profond ”.
Daniel Bensaïd enseigne la philosophie à l’université Paris VIII Saint-
Denis. Il a récemment publié à La Fabrique Les Dépossédés. Karl Marx,
les voleurs de bois et le droit des pauvres.
Sortie le 14 novembre
300 pages /18 euros
ISBN 978-2-91-3372-85-6

==

Je n'ai pas lu l'ouvrage au titre crétin :
Et cela ne me manque pas
Karl Marx. Les hiéroglyphes de la modernité. Daniel Bensaïd, Textuel,
Paris, 2001. Une biographie complète, enrichie d’extraits de ses
textes et de sa correspondance.


*** source "Jackie" page 338 par David HEYMAN Stuart-Laffont 1989. Un
livre passionnant ! (20 centimes aux vide greniers)


Libellés : Alain Krivine, Daniel Bensaïd, David Heyman, François
Sabado, Karl Marx, marxisme, Olivier Besancenot, philosophie,
physique, VI Lénine, Yanick Toutain

Alex B.

unread,
Dec 7, 2008, 4:25:24 PM12/7/08
to
On Dec 7, 9:54 pm, Yanick Toutain <YanickTout...@gmail.com> wrote:

Les règlements de comptes entre vieux gauchistes : j'adore !

Yanick Toutain

unread,
Dec 16, 2008, 11:43:49 AM12/16/08
to
Le 7 décembre, en réponse au texte "Daniel Bensaïd est un charlatan

qui fabrique de l'idéologie bourgeoise mystique : "Une histoire...
sans garantie scientifique""
... un farceur signant Alex B. se croit dans les tribunes.
Voilà ma - constructive - réponse.

http://monsyte.blogspot.com/2008/12/un-derby-politique-en-rponse-un-farceur.html

On 7 déc, 22:25, "Alex B." <alex...@> wrote:> On Dec 7, 9:54 pm,
Yanick Toutain <YanickTout...@> wrote:> > Les règlements de comptes


entre vieux gauchistes : j'adore !


Quand le "derby"* OM-OL vous lasse, vous changez de chaînes pour
suivre les débats de l'"extrême gauche" ?

Plus sérieusement, ce débat est de même nature que ceux qui opposaient
Berkeley et Newton, Lénine et Malinovski-Bogdanov, Lénine et
Kautsky... (mais non pas ceux qui opposaient Trotsky et Yvan
Craipeau).

A cette différence prês - dans le cas de Bensaïd - que le niveau
intellectuel des adversaires du matérialisme a sérieusement baissé.
C'est pourquoi, je n'attends aucune réponse de sa part, d'ailleurs !

Je préférerais être bloqué pendant un an, sur une île déserte, à
débattre avec le renégat Bernstein, plutôt qu'une semaine bloqué dans
un ascenseur avec le clown Besancenot.
Avec le premier, nous parviendrions à nous mettre d'accord sur le
concept de "formoisie".Le seul désaccord restant serait stratégique :
la science nous réunirait.
Le clown diplômé Besancenot, lui, en est resté encore plus bas que les
chevilles d'Ernesto (Che) Guevara concernant les réponses (et même les
questionnements) sur la nature de classe de l'URSS.

Quant à "leur" "philosophe" Bensaïd, il est tout juste bon aux
opérations commerciales avec leur ami de la Fabrique, Eric Hazan qui
voit des "races" et édite leurs descripteurs (Julien Coupat and Co).
Sa "philosophie" est dans la tradition bourgeoise fasciste de
l'apologue du hasard fasciste.
La différence est que Heisenberg avait comme héros issu du hasard, le
führer Hitler.
Tandis que le héros qui surgit hors du déterministe vulgaire et
mécanique - que honnit l'imbécile Daniel Bensaïd - est, pour le
professeur diplômé clown de Jussieur, le clown menchévik Besancenot
(facteur hasard lincenié clown en histoire) !

Leur grille idéologique pseudo-philosophique est la même : le refus du
déterminisme absolu permet le jaillissement des miracles !


notes
* à l'échelle planétaire, naturellement !


Libellés : causalité, Daniel Bensaïd, déterminisme, Eric Hazan,
idéologie, Julien Coupat, matérialisme, Olivier Besancenot,
philosophie, Werner Heisenberg, Yanick Toutain, éditeur La Fabrique


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