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Julien Dray, Gérard Filoche et Léa Filoche - LCR, SOS RACISME, FIDL, PS - les marionnettes et les marionnettistes OU idéologues formois et corrompus bourgeois

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Yanick Toutain

non lue,
30 déc. 2008, 15:28:2230/12/2008
à
http://monsyte.blogspot.com/2008/12/julien-dray-grard-filoche-et-lea.html
Julien Dray, Gérard Filoche et Léa Filoche - LCR, SOS RACISME, FIDL,
PS - les marionnettes et les marionnettistes OU idéologues formois et
corrompus bourgeois
Corruption politique ou corruption personnelle : cela est indifférent
pour la révolution : que Dray soit financé par des capitalistes ou
qu'il pique dans la caisse d'un pseudo-syndicat lycéen croupion FIDL
révèle son activité politique pour la haute formoisie complice des
capitalistes. Son comparse en politique - Gérard Filoche - n'a peut-
être pas de belles montres, mais leur activité commune participe au
massacre sanitaire des enfants africains : Ils ne sont que deux
renégats criminels – anciens trotskystes - justifiant leur action par
des mots ronflants.


Par Yanick Toutain
24-29 décembre 2008
(les citations sont en couleur sur le texte originel : cliquer sur le
lien)

Les trajectoires parallèles de Gérard Filoche et de Julien Dray sont
typiquement significatives de la dégénérescence humaine qui atteint
tous les membres de la classe formoise.
Tous deux furent membres de l'aile gauche de la LCR T1/TA, tendance
qui refusait à la fois l'opportunisme et l'aventurisme. Filoche fut le
mentor de Dray et le resta pendant plusieurs décennies.
Cette tendance T1/TA fut aux premières loges dans le combat contre le
sabotage du PCF français qui, sur instruction de Moscou et de la
direction formoise internationale, cherchait à préserver la direction
politique de la bourgeoisie : c'était l'époque où l'ambassadeur d'URSS
soutenait Giscard d'Estaing en 1974, où le PCF inventait mille
prétexte en 1978 pour briser le front populaire formois. C'était
l'époque où l'aile la plus stalinienne du PCF organisait, en 1981, ce
que les crapules staliniennes osaient appeler le « vote
révolutionnaire », en votant pour le candidat de la bourgeoisie.
La tendance initiée par Gérard Filoche fut la force principale qui
imposa à la direction de la LCR de mener une campagne en faveur du
désistement au deuxième tour pour le candidat Mitterrand.
La formoisie française, les couches et classes exploitées et
opprimées, les forces anti-impérialistes firent – par l'élection de
Mitterrand – subir une défaite à la bourgeoisie et à la formoisie
mondiale stalinienne.
Pour autant, le ver de la trahison formoise était déjà dans le fruit
filochiste : en 1979, il rompit avec ses camarades et ses alliés de la
tendance 4, pour soutenir la direction réformiste de la 4°
Internationale. C'est, en effet, à cette époque ,que la direction (ex)
trotskyste étasunienne du SWP (Socialist Workers Party) se mit à
suivre un cours de plus en plus ouvertement pro-castriste et de
sabotage de la révolution sud-américaine. Cette dégénérescence
l'entraina à inciter les sandinistes nicaraguayens du Front sandiniste
à emprisonner les militants trotskystes de la brigade Simon Bolivar.
Le SWP recut le soutien des directions européennes et, en particulier,
de la direction française.
La minorité éclata et Filoche rallia Krivine. La récompense de sa
trahison fut d'accéder à la direction de la 4° Internationale.


UN RENEGAT AU SERVICE DE LA HAUTE FORMOISIE

C'est en 1992 que Filoche a créé son journal « Démocratie et
révolution », devenu tendance de la LCR, puis tendance du Parti
Socialiste en remplaçant le « révolution » par « socialiste ». Ce
bulletin « Démocratie et socialisme » est devenu le principal quartier
général idéologique de la classe formoise.
Comme le raconte Wikipédia

Ce courant « a rejoint le Parti socialiste en 1995, plus précisément
le courant Gauche socialiste, animé alors par Jean-Luc Mélenchon,
Julien Dray et Marie-Noëlle Lienemann. »
(…)
Son rédacteur en chef est Gérard Filoche, inspecteur du travail,
membre du bureau national du PS depuis 2000. Il comprend également de
nombreux militants syndicaux.
Après la scission au sein du NPS, la revue devient l'organe officiel
du courant formé le 17 décembre 2005 par la réunion de ceux qui ont
suivi Gérard Filoche après son départ de NPS et Forces militantes, le
courant de Marc Dolez. Après la désignation de Ségolène Royal comme
candidate du Parti socialiste à l'élection présidentielle de 2007,
Forces militantes a exprimé un désaccord de fond avec l'orientation de
D&S, et a cessé sa participation à la revue. Dans le cadre de la
préparation du congrès de Reims, Filoche et ses amis déposent une
contribution intitulée "D'abord redistribuer les richesses". Ils
fusionnent ensuite avec celle de Benoit Hamon dans le cadre de la
motion "Un monde d'avance".
Il faut préciser la chronologie exacte : C'est très rapidement, dès
1983, que le magouilleur Dray rompit avec le trotskysme et rejoignit
le réformisme mitterrandiste. Il instrumentalisa Harlem Désir pour en
faire sa marionnette médiatique. Mais le contrôle était le sien. Et au-
dessus, celui de Mitterrand. Pour ce dernier, le jeu était simple :
donner la parole à Le Pen à la télévision en manipulant le corrompu
Dray. Jouer la carte du racisme et de l'antiracisme pour empêcher la
construction d'une mobilisation contre le chômage. Ce fut le fond de
commerce du renégat Dray, pendant toutes ces années.


SOS RACISME , ORGANISATION BOURGEOISE

La corruption politique de Julien Dray date de cette époque. Je vis,
en 1986, un rassemblement de SOS racisme avec un écran géant
entrecoupé de flashes publicitaires : l'antiracisme à la sauce Dray se
révélait parfaitement compatible avec le fric pourri des
multinationales criminelles qu'il dénonçait 4 ans plus tôt.
Nous ignorons si les montres Patex et sa corruption personnelle était
déjà commencées à cette époque, mais corruption politique et
corruption personnelle ne sont jamais très éloignées dans le temps.
Tout cela n'empêcha pas le réseau « occulte » Filoche-Dray de
continuer à fonctionner.
Mais si sa fille Léa – qui participera aux magouilles de Julien Dray
et de son pseudo syndicat lycéen croupion FIDL – rejoint le PS dès
1993, le père - Gérard Filoche -, n'achèvera sa trajectoire de traitre
qu'en 1995 par sa démission de la LCR et son adhésion au PS. Il fut
accompagné par de nombreux renégats – dont certains avec qui j'avais
milité. (Leur trahison politique personnelle éclaire maintenant - d'un
jour nouveau - bien des petites crapuleries des années précédentes
dont j'eus à me plaindre !)
C'est un secret de polichinelle que de préciser que Dray et Filoche ne
cessèrent jamais d'être en contact pendant toutes ces périodes ,
malgré des fâcheries à répétition.


FILOCHE, UN PETIT BERSTEIN

C'est sa revue « Démocratie et révolution » qui dévoila, dès le début
des années 90, le pot-aux-roses : Filoche était l'idéologue de la
haute formoisie. Son soutien aux riches voleurs que sont les pilotes
d'avion révélait ce qui avait été sa trajectoire idéologique : il
était devenu une sorte de nouveau Berstein aux petits pieds. Ses
déclamations anticapitalistes n'étaient que les trépignements de la
haute formoisie pour obtenir, de la classe capitaliste, le maximum de
miettes du pillage colonial.


GERARD FILOCHE : EFFICACE AGITATEUR FORMOIS

L'inspecteur du travail n'est pas seulement le défenseur des
privilèges de la haute formoisie, il est aussi un agitateur réformiste
anti-capitaliste. On peut lire, sur son site, les chroniques qu'il
publie sur Siné Hebdo (extrait)

• La DRH m’accueille : - « Bonjour Monsieur l’inspecteur, je vous
présente mes collaborateurs… » — Ah bon, vous avez des gens extérieurs
à l’entreprise, qu’est-ce qu’ils font là, ils ne sont pas déclarés ? —
Mais non, bien sûr, ils sont, heu, salariés.. .ici, dans l’entreprise,
bien sûr — Bah, alors s’ils sont salariés, pourquoi vous les appelez
collaborateurs ? — Mais on les appelle comme ça, ce sont des
collaborateurs… — Mais, Madame, vous savez ce qui caractérise un
contrat de travail, c’est un « lien de subordination juridique
permanente ». Je parle en droit. [etc...]

Mais si son activité professionnelle d'inspecteur du travail l'a amené
à se placer sur la ligne de front formoise de défense des « acquis
sociaux » contre l' »offensive chinoise » de la bourgeoisie, il
persista à défendre les privilèges des salariés les plus favorisés.
Mais cette défense, et cela intéresse les militants égalitaristes en
formation, se pare d'arguments hypocrites pour masquer la vérité crue.
Il faut décoder.

• les citations de Gérard Filoche proviennent de :
http://www.democratie-socialisme.org/spip.php?article1168
Je suis tout sauf un "excommunié déçu" de la Lcr 26 juin 2007, par
Gérard Filoche
Cher Michel Gros je suis tout sauf un "excommunié déçu" de la Lcr : je
l’ai co-fondé, je l’ai co-construite, je l’ai co-dirigée pendant
trente ans, j’ai tout fait pour qu’elle réussisse (cf "mai 68,
histoire sans fin") je m’y suis battu pour la construire contre des
lignes gauchistes successives suicidaires, puis je m’y suis battu
parfois avec succès pour qu’elle ait une ligne de front unique, j’y ai
été majoritaire, démonstratif, patient, pédagogue, opiniâtre, mais il
n’y avait rien a faire, il aurait fallu la dissoudre et recommencer...
au moins sans Krivine ni Bensaid (qui avaient un chouïa d’ancienneté
de plus que moi, donc une petite légitimité de plus que je n’ai jamais
pu remonter..) mes amis et moi, sommes partis (à 20 % en 1994) à bout
de souffle, mais soulagés de cette bataille perdue, il y avait quelque
chose de génétiquement anti trotkiste, pro gauchiste, aux origines de
cette direction, avec Krivine et Bensaïd on n’a aucun regret, aucun,
on en a fait le tour, on est BIEN, HEUREUX depuis notre choix de
rupture-poussés dehors-exclus de 1993, et notre certitude confirmée de
faire mieux chaque jour depuis... la dénégation du front unique, cela
continue avec Besancenot, cloné de la majorité de cette génération
initiale via Sabado... ca pourra durer mille ans d’erreur, encore
autant de générations, tant que l'erreur théorique initiale n’aura pas
été éradiquée, tant pis, hélas, il y en a qui croient encore, pour
nous la chose est close, l’expérience est la chose qui se partage le
moins, mais c’est la nôtre, et on voudrait éviter à des jeunes de se
perdre leur jeunesse à faire pareil, qu’ils nous rejoignent
directement ! Gérard Filoche
===
Ce qu'il appelle « aventurisme » de Krivine Bensaïd Sabado est ici
totalement absurde. Il faut rappeler que Krivine et les autres se
battaient contre leur aile gauche « Révolution ! » (où se trouvait le
jeune Besancenot) pour persister à voter socialiste au deuxième tour.
Cette direction droitière réussit, par des manœuvres scandaleuses, à
débaucher Besancenot sous des prétextes minables : il s'agit pour eux
d'empêcher le grossissement d'une tendance hostile au vote PS en lui
volant son (futur) principal porte-parole.
Son cours réformiste continuera à se manifester dans les années
suivantes – mais ce fut, maintenant Besancenot qui dut endosser le
réformisme persistant : Appel à voter Chirac, appel à voter Royal.
A chaque fois, le renégat baratineur Besancenot enroba (sous les
conseils de son mentor Sabado) son renoncement sous un vocabulaire
hypocrite, mais le fond politique était parfaitement clair pour tout
le monde.
Rares furent les militants de la LCR – tel Pierre Jeanne – à refuser
publiquement de s'incliner au diktat pro-bourgeois de la direction LCR
et à refuser le vote Chirac.
Filoche accuse la direction de la LCR de ne pas se rallier DRAPEAU EN
TETE au parti socialiste. Il reproche à la LCR de le faire
honteusement.Il lui reproche surtout d'être – maintenant – sensible à
l'évolution politique et de commencer à refuser cette alliance pourri
avec le principal parti du gangstérisme colonialiste formois.
==
• Gerard - tu ne m’as pas repondu !!!! si, si 26 juin 2007, par Gérard
Filoche je ne comprends pas bien la question de "serge" la "nocivité
du bipartisme " et du "bonapartisme" dans ce pays est manifeste, je
suis, nous sommes, D&S, contre la constitution de la V° République,
qui est "un coup d’état permanent" et contre l’élection du président
de la république au suffrage universel... nous sommes pour la
proportionnelle intégrale... mais encore une fois, la nature de classe
du Ps ne fait aucun doute pour nous (cf nombreux autres articles a ce
sujet sur ce site) et ce parti n’évoluera pas "petit à petit",
insensiblement... il a résisté et dépassé août 1914, 1939, 1956, 1958,
1968, etc... ce qui arrive aujourd’hui est "peanuts" à côté notre
action continue donc en sein gf
==
Dans sa vocation de « petit Bernstein », Filoche aime se parer de
référence historique aussi.
Mais, ce qu'il révèle ici est trop drôle : il faut porter au crédit du
PS toutes ses …. trahisons.
En effet, sa liste est une liste de circonstances historiques où le
parti socialiste – et la haute formoisie – ont rallié la bourgeoise et
ses intérêts.
Vote pro-guerre de 1914, trahison de juin 36 et ralliement à … Pétain;
vote des pouvoirs spéciaux contre les Algériens par Guy Mollet, appel
au pouvoir de De Gaulle par les mêmes en 1958, renoncement à renverser
le gaullisme en 1968.
Pour Filoche, il faudrait féliciter le PS de ce que, malgré toutes ces
trahisons de la classe formoise dans son entier , il ait toujours
réussi à reprendre le dessus et à …. recommencer à embobiner le
peuple !
===
• Appel pour l’unité de toute la gauche : encore sur la nature du ps
26 juin 2007, par Gérard Filoche Pauvre "Annie" tout parti a une
nature de classe la question est : comment l’authentifie-t-on et sur
quels critères ? nous avons donné sur ce site, mille fois, une
METHODE, pour le faire nous l’appliquons au Ps, sa "nature de classe"
est liée au salariat. voila ce qu’il faut - ou non réfuter - et pour
le faire, il faut faire un peu d’effort théorique pour la Lcr, le ps
est un parti "ouvrier" ou "ouvrier bourgeois", pour Bensaïd c’est un
"parti ouvrier mais très très bourgeois" mais il y a une analyse et
une incohérence profonde avec l’analyse la lcr ne l’inclut pas dans le
"front unique" elle apprend aux jeunes à n’avoir pas de méthode, après
pourtant en avoir discuté (et tranché, pas sans mal et à l’époque pour
moi non plus) pendant plus de dix ans dans les années 70... s’il est
lié a la classe dominée ou s’il est lié a la classe dominante, par
nature, toute la politique que doit conduire la Lcr est différente
Gérard Filoche
===
Cette fois-ci, c'est d'économie que se revendique Filoche.
A bon droit, il met la direction de la LCR face à ses contradictions.
Mais, malheureusement pour Filoche, et Krivine, et Bensaïd, et Sabado
… et Besancenot... tout ce beau monde a une grille conceptuelle
complètement dépassée.
Tous ces ignares n'ont pas remarqué le capital humain et n'ont pas
compris l'existence de la formoisie.
Il en découle le refus de voter pour un parti formois qui a participé
à l'oppression coloniale, à l'exploitation coloniale.
Et donc le refus définitif de voter PS, PCF, Verts.
Mais la direction moyenne formoise de la LCR-NPA ne comprend rien à
cela.
===
• marianne, tout parti a une nature de classe classe dominée ou classe
dominante la question est : comment l’authentifie t on et sur quels
criteres ? nous avons donné sur ce site, mille fois, une METHODE, pour
le faire nous l’appliquons au Ps, sa "nature de classe" est liée au
salariat. voila ce qu’il faut - ou non réfuter - et pour le faire, il
faut faire un peu d’effort théorique pour la Lcr, le ps est un parti
"ouvrier" ou "ouvrier bourgeois", pour Bensaid c’est un "parti ouvrier
mais trés trés bourgeois" mais il y a une analyse et une incohérence
profonde avec l’analyse la lcr ne l’inclut pas dans le "front unique"
elle apprend aux jeunes à n’avoir pas de méthode, apres pourtant en
avoir discuté (et tranché, pas sans mal et à l’époque pour moi non
plus) pendant plus de dix ans dans les années 70... s’il est lié a la
classe dominée ou s’il est lié a la classe dominante, par nature,
toute la politique que doit conduire la Lcr est différente la nature
de classe du Ps l’emporte sur ses diverses - composantes, courants,
sensibilités, individualités... La nature de classe d’un parti se
détermine en fonction d’une somme de critères qui permettent de le
classer par rapport à telle classe dominante ou dominée... Les
critères les plus décisifs sont au nombre de cinq 1 la genèse
historique du parti (origines, traditions...100 ans) 2 sa référence
programmatique générale (socialisme...) 3 la continuité de sa
direction et organisation, appareil, élus, 4 ses rapports avec le
mouvement social (syndicats, associations, électorat...) 5 sa fonction
générale dans les luttes de classe (retraite 2003, Cpe 2006...) Ces
cinq critères appliqués au Ps, le situent indubitablement à gauche,
lié au salariat... bon, ensuite... he bien si on est pour l’unité de
toute la gauche, il faut se battre pour si on est contre que le ps en
soit partie prenante, toute la tactique change si on est pour exploser
le ps, c’est encore différent... la question est décisive nous sommes
pour prendre le Ps comme un tout, comme un parti de gauche et nous
sommes pour l’unité de toute la gauche.. Gérard Filoche
===
Le lapsus de Filoche - "tout parti a une nature de classe, classe
dominée ou classe dominante " - est très drôle.
Il s'agit, avant tout de la distinction entre classe exploiteuse et
classe exploitée. Le combat d'une classe pour "dominer" la société en
modelant sa structure est bien évidement consécutif de son combat pour
préserver son mode d'exploitation.
A titre d'exemple rapide, il suffit de réfléchir aux conséquences de
l'abolition de l'esclavage aux USA après la guerre de 1861.
La défaite du Sud fut l'abolition d'une classe sociale toute entière.
Ce fut une classe d'exploiteurs qui disparut de la scène historique.
Le fait que cette classe fut dominante ou pas, au Nord comme au Sud,
n'est que secondaire. Le principal critère est celui de
l'exploitation.
Mais ce critère d'exploitation nécessite une actualisation.
C'est cette recherche scientifique que refusent les réformistes de la
haute formoisie comme Filoche et Dray, les idéologues de la moyenne
formoisie que sont les Bensaïd ans Co.
Ils nient le capital humain pour nier leur appartenance à une classe
exploiteuse.
La révolution mettra tout cela en lumière.
Et les ralliements à venir entre les Filoche et les Krivine-Besancenot
seront les ralliements internes à une seule et même classe sociale
exploiteuse : la formoisie.


====
en complément, dans la série "observons les réformistes formois
intégrés au capitalisme, débattre ensemble, on peut lire
Avec la même analyse, Gérard Filoche et Julien Dray choisissent des
opportunismes différents
Libellés : 4° Internationale, exploitation, formoisie, Gérard Filoche,
Julien Dray, LCR, lutte des classes, Léa Filoche, parti socialiste,
Yanick Toutain

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