Quand les philosophes se souviennent du faux second postulat
d'Einstein et de la devastation qu'il a causee, ils organisent une
conference intitulee "EINSTEIN CHEZ LES PHILOSOPHES":
http://ciepfc.rhapsodyk.net/article.php3?id_article=62
Parfois les philosophes se souviennent de la correcte antithese du
second postulat d'Einstein et meme de la science "infiniment plus
intéressante - et plus utile pédagogiquement" que cette antithese
aurait pu produire:
http://ustl1.univ-lille1.fr/culture/publication/lna/detail/lna40/pgs/4_5.pdf
Jean Eisenstaedt: "Il n'y a alors aucune raison théorique à ce que la
vitesse de la lumière ne dépende pas de la vitesse de sa source ainsi
que de celle de l'observateur terrestre ; plus clairement encore, il
n'y a pas de raison, dans le cadre de la logique des Principia de
Newton, pour que la lumière se comporte autrement - quant à sa
trajectoire - qu'une particule matérielle. Il n'y a pas non plus de
raison pour que la lumière ne soit pas sensible à la gravitation.
Bref, pourquoi ne pas appliquer à la lumière toute la théorie
newtonienne ? C'est en fait ce que font plusieurs astronomes,
opticiens, philosophes de la nature à la fin du XVIIIème siècle. Les
résultats sont étonnants... et aujourd'hui nouveaux.....Pourtant, au
plan des structures physiques, l'optique relativiste des corps en
mouvement de cette fin du XVIIIème est infiniment plus intéressante -
et plus utile pédagogiquement - que le long cheminement qu'a imposé
l'éther."
Mais ce dernier souvenir disparait aussitot et les philosophes
n'organisent pas une conference intitulee "NEWTON CHEZ LES
PHILOSOPHES". Pourquoi?
Je publie cette lettre ouverte sur le forum fr.sci.physique
Pentcho Valev
pva...@yahoo.com
========================================
PROGRAMME DES JOURNÉES
(Pour écouter une partie des conférences de la première journée,
activez ce lien vers le site de La Diffusion des Savoirs de l'ENS)
- PREMIÈRE JOURNÉE
Le mercredi 9 novembre 2005 à l'École normale supérieure, salle
Dussane (45, rue d'Ulm, 75005 Paris)
MATIN (9h30 - 13h)
LA RELATIVITÉ DE POINCARÉ ET CELLE D'EINSTEIN
Présidente de séance : Anouk BARBEROUSSE (IHPST, CNRS - Paris 1 - ENS)
9h45 : Vincent BORELLA (Archives Poincaré - Université de Nancy 2) :
Enjeux de la première réception de la relativité en France, dans un
contexte poincaréen
10:30 : Peter GALISON (Harvard University) : Einstein et Poincaré :
une différence "éthérée"
11:15 : Françoise BALIBAR (Université de Paris 7) : Einstein et
Poincaré : une affaire de principes
12:00 : Igor LY (Université de Nancy 2 - CNRS) : Instruments de mesure
et axes de coordonnées : une lecture de "L'espace et le temps" de
Poincaré
APRÈS-MIDI (14h30 - 18h00)
LE PARADOXE DES JUMEAUX ET LA RELATIVITÉ DES PHILOSOPHES
14h30 : Laurent LEFETZ (Dunkerque) : Durée ou simultanéité : comment
le paradoxe des jumeaux peut en cacher un autre
15h15 : Elie DURING (Université de Paris 10 et CIEPFC) : Le paradoxe
des jumeaux et la métaphysique relativiste (Bergson et Whitehead)
16h00 : Frédéric FRUTEAU DE LACLOS (Université d'Amiens) : Valeur
déductive et valeur inductive de la relativité : le "relativisme" de
Meyerson, Brunschvicg et Bachelard
16h45 : Frédéric WORMS (Université de Lille 3 / CIEPFC) : Synthèse et
discussion
- SECONDE JOURNÉE
Le jeudi 10 novembre 2005 à l'Université de Paris 4 Sorbonne Maison de
la Recherche, Salle D035 (28, rue Serpente, 75006 Paris)
MATIN (9h30 - 13h00)
Président de séance : Fabien Chareix (Université Paris 4)
9h45 : Anastasios BRENNER (Université Paul Valéry - Montpellier) :
Bachelard, Carnap et la théorie de la relativité. Une étude comparée
10h30 : Jan LACKI (Université de Genève) : La réception des idées
relativistes dans l'empirisme logique
11h15 : Ivahn SMADJA (Université de Caen) : Hermann Weyl, géométrie et
physique
12h : Jean-Jacques SZCZECINIARZ (Université de Paris 7) : La théorie
de la relativité transforme-t-elle notre conception de la géométrie ?
APRÈS-MIDI (14h30 - 18h00)
Président de séance : Elie During (Université Paris 10 / CIEPFC)
14h30 : Pierre CASSOU-NOGUES (Université de Lille 3) : Gödel et le
temps de la relativité
15h15 : Fabien CHAREIX (Université de Paris 4 Sorbonne) : Russell et
les bienfaits de la théorie de la relativité
16h : Jean SEIDENGART (Université de Paris 10) : La théorie de la
relativité selon Cohen et Natorp
16h45 : Michel PATY (Université de Paris 7) : La pensée du rapport des
mathématiques à la physique dans la réception de la relativité par les
philosophes
- ARGUMENT GÉNÉRAL
La théorie de la relativité formulée par Einstein dans sa version
restreinte puis générale ne se distingue pas seulement par son
remarquable pouvoir unificateur ; elle s'accompagne d'une véritable
révolution conceptuelle qui dépasse le strict domaine de la physique.
Cent ans après sa première formulation, elle continue à forcer le sens
commun à un violent effort de réajustement de ses catégories les mieux
établies. Bergson ne s'y était pas trompé : il y reconnaissait, mieux
qu'une nouvelle théorie physique, « une nouvelle manière de penser ».
Les conséquences de la relativisation de l'espace et du temps
paraissaient si radicales que des philosophes de courants divers et
parfois opposés se sont sentis immédiatement requis et comme mis en
demeure d'en produire une interprétation et d'en développer les
problèmes sur leur propre terrain. Ainsi, la théorie d'Einstein venait
à son heure. Elle réactivait dans le champ philosophique, un certain
nombre de problèmes communs qui, avec le recul, semblent dessiner les
contours d'un « moment » philosophique singulier s'étendant des
premières années du siècle à la fin des années 1920. Il est important
d'en mesurer les enjeux pour mieux comprendre ce qui s'est joué alors
entre les héritiers du kantisme et les tenants du positivisme logique,
la phénoménologie et les métaphysiques du processus ou de la durée.
De Natorp à Reichenbach en passant par Cohen, Cassirer, Schlick,
Carnap, Russell et Whitehead, mais aussi de Bergson à Bachelard en
passant par Brunschvicg et Meyerson, ou encore - pour citer quelques
illustres savants-philosophes -, de Poincaré à Gödel en passant par
Eddington et Hermann Weyl, tous ceux qui se sont penchés sur la
théorie d'Einstein pour en dégager la signification philosophique y
ont reconnu un foyer de questions irréductibles, résistant à la
formalisation mathématique. Ces questions concernent le statut de l'a
priori dans la constitution de l'objet physique, la fonction des
principes et des conventions, la place de la durée dans la
reconstruction physique du monde, la réalité de l'« espace-temps », ou
encore la délicate question des rapports de la géométrie et de la
physique.
Cette réappropriation philosophique de la relativité n'allait certes
pas de soi. Elle a donné lieu à quelques interprétations abusives, et
comme en témoigne le débat suscité par l'intervention de Bergson, les
échanges entre philosophes et physiciens ont parfois l'allure de
dialogues de sourds. Les seconds n'ont d'ailleurs pas attendu les
premiers pour interpréter leurs propres théories. C'est pourquoi le
rôle d'un Poincaré semble aussi important sur le plan philosophique
que sur le plan scientifique : sa conception de la place des
conventions dans la construction des théories a influencé tout un pan
de la réception philosophique de la relativité. De l'aveu des
physiciens eux-mêmes, et en dépit de la belle unanimité qu'affichent
les manuels ou les ouvrages de vulgarisation, la signification
profonde de la relativité est loin d'être épuisée. Dans les quartiers
philosophiques, on continue de discuter de la question de savoir si
l'ontologie qui convient aux objets réclame trois ou quatre
dimensions ; s'il faut penser en termes de substances individuelles ou
de « points-événements » dans l'espace-temps ; si le temps coule
uniformément, et même s'il coule tout court ; si le présent, ou la
conscience, jouissent d'un quelconque privilège dans la description
physique du monde ; si la notion d'existence doit être relativisée
avec celle du présent ; si la théorie de la relativité implique un
strict déterminisme ; enfin si elle représente bien, comme on le dit
souvent, une « géométrisation de la physique ». « Einstein chez les
philosophes » : ce n'est pas seulement le récit de l'assimilation ou
de la domestication par les philosophes d'une nouvelle image du monde,
c'est un chantier théorique qui n'a jamais vraiment fermé ses portes.
-
Monsieur Valev, vous ne comprenez toujours pas que votre REFUS
acharné, depuis plusieurs années, de définir ce que VOUS APPELEZ
vitesse empêche tout débat sérieux avec vous de la part des
matérialistes.
Quand vous aurez répondu aux questions qui suivent (ou, a minima,
essayé d'y répondre) , vous comprendrez alors pourquoi vos citations
répétitives ne font, en aucune façon, avancer le débat.
Les relativistes vous méprisent.
En effet, ils ne cherchent pas à comprendre quoi que ce soit, ils
cherchent à défendre le train de vie qui est le leur et celui de la
clique dont ils sont le clergé.
Leur fonction se résume à justifier l'assertion :
"liberté absolue de choisir arbitrairement son repère"
(et à ses conséquences : les mesures ne peuvent nous faire connaître
notre vitesse absolue, les vitesses sont uniquement relatives etc ...)
Ils ne servent à rien, à part cela.
Quant aux matérialistes, vous resterez incapable de comprendre leur
attitude à votre égard tant que vous n'aurez pas réussi à comprendre
les questions ci-dessous ET LES REPONSES QUE NEWTON Y DONNE.
====================================
A)
Admettez-vous qu'il existe un univers en soi ?
Admettez vous qu'il existe un vide en soi, indépendamment de la
perception de l'observateur ?
Admettez vous qu'il existe, dans ce vide, des lieux absolus
(objectifs), indépendamment de la perception de l'observateur ?
Admettez vous qu'il existe des déplacements de corps d'un lieux absolu
(objectifs) vers un autre lieu absolu (objectifs), indépendamment de
la perception de l'observateur ?
Admettez vous qu'il existe un écoulement absolu (objectifs) du temps,
indépendamment de la perception de l'observateur ?
Admettez vous qu'il existe, en conséquence des vitesses objectives,
des vitesses absolues, indépendamment de la perception de
l'observateur ?
Les réponses sont écrites noir sur blanc dans les Principia de Newton.
Les pages des Principia ne sont accessibles sur Internet, sous forme
numérique, que sur deux deux sites.
====================
B)
Admettez vous qu'il existe, indépendamment de la perception de
l'observateur des déplacements des grains de lumière (les photons) ?
Admettez vous que ces déplacements des photons ont lieu d'un lieu
(objectif) absolu à un autre lieu absolu (objectif), indépendamment de
la perception de l'observateur* ?
Admettez vous que ces déplacements absolus des photons sont mesurables
de façon absolue (objective), indépendamment de la perception de
l'observateur ?*
Admettez vous que ces déplacements absolus (objectifs) des photons
n'ont aucun effet sur le temps, indépendamment de la perception de
l'observateur ?
Admettez vous, en conséquence, que ces déplacements de photons ont une
vitesse, indépendamment de la perception de l'observateur ?
Admettez vous que cette vitesse est toujours la même, indépendamment
de la perception de l'observateur ?
Admettez vous que cette vitesse est égale à 299 792 458 mètres par
seconde, indépendamment de la perception de l'observateur ?
=============
C)
Admettez vous que nous connaissons la réalité par l'émission de
corpuscules par les corps, les objets, indépendamment de la perception
de l'observateur ?
Admettez vous que la perception est la réception de ces corpuscules.
Admettez vos que ces corpuscules - photons dans la plupart des cas -
ont été émis indépendamment de la perception de l'observateur ?
Admettez que ces photons, qui se déplacent en troupeau, forment ce
qu'on appelle l'IMAGE d'un objet.
Admettez vous que ces images ont été émises indépendamment de la
perception de l'observateur ?
(précisons que l'image du Soleil est formée de photons émis à des
instants différents et que l'image du Soleil est locale)
Admettez vous que l'émission de ces images n'a aucun effet sur la
vitesse des corps qui les ont émises ?
Admettez vous que la réception de ces images n'a aucun effet sur la
vitesse des corps qui les ont émises ?
Admettez vous que l'émission de ces images n'a aucun effet,
strictement aucun, sur la vitesse des corps qui les reçoivent ?
Admettez vous que la réception de ces images n'a aucun effet
(déterminant) sur la vitesse des corps qui les ont émises ?
Admettez vous, pour ce dernier cas que l'effet de la lumière émise
serait proportionnel à l'effet gravitationnel de celle-ci ?
Admettez vous, néanmoins, que l'effet de cette perception sera
postérieure ? : l'effet que la réception d'images peut avoir sur la
trajectoire du corps récepteur est nul à l'instant de la réception de
celles-ci.
Quand vous aurez répondu à ces questions
.....vous comprendrez alors, seulement, que votre question
"(...) les philosophes n'organisent pas une conference intitulee
"NEWTON CHEZ LES PHILOSOPHES". Pourquoi ?"
a comme réponse :
1° Les prétendus philosophes ne sont que des "clowns titrés
professeurs" comme Lénine nous l'appris.
2° Les charlatans ne vont pas scier la branche sur laquelle ils sont
assis et qui leur assure une tranquille exploitation de dizaines de
travailleurs du Sud.
3° Ne comptez donc pas sur ceux-là pour vous apprendre la filiation
entre Puthagoras, Democritos, Epicuros, Titus Lucretius, Newton, Marx,
Engels et Lénine.
4° Les plus haineux de ces charlatans sont ceux dont le fond de
commerce est leur revendication de leur prétendu matérialisme (les
pires étant ceux qui sont proches de la LCR , puis la clique des faux
trotskystes proches du PT et de la zététique.
L'effacement de mes textes matérialistes et newtoniens sur les sites
des amis de la LCR et des sceptiques du Québec atteste de cette haine
néo stalinienne.
4° Seules vos lectures vous permettront de constater l'accord entre
tous ces grands Anciens.
5° Quant à la conférence, il y en aura deux
La première, nous l'organiserons quand vous aurez rejoint le camp du
matérialisme.
La deuxième ce seront les révolutionnaires qui en seront les
participants : elle consistera à constuire les outils intellectuels
pour le renversement de la classe exploiteuse au service de qui les
capules-clowns travaillent : la classe capitaliste (et celui de ces
alliés qui reprendront le flambeau) .
Salutations aux matérialistes et à ceux qui le deviennent.
Yanick Toutain
====================
*
pour la question ; "Admettez vous que nous connaissons la réalité par
l'émission de corpuscules par les corps, les objets, indépendamment de
la perception de l'observateur ?"
Cette question est parfaitement logique : le processus de connaissance
est observable par un obervateur DIFFERENT.
Le processus de connaissance du premier est objectif, indépendamment
de ce qu'il perçoit ou croit percevoir.
=================
> *
> pour la question ; "Admettez vous que nous connaissons la réalité par
> l'émission de corpuscules par les corps, les objets, indépendamment de
> la perception de l'observateur ?"
> Cette question est parfaitement logique : le processus de connaissance
> est observable par un obervateur DIFFERENT.
> Le processus de connaissance du premier est objectif, indépendamment
> de ce qu'il perçoit ou croit percevoir.
> =================
malheureusement pour votre logique, meme si on est d'accord sur le
principe, c'est un indemontrable
l'autre appartient a votre univers observable...
de fait, votre "logique" est erronee, les informations que vous avez
sont passees par votre cerveau et donc interpretee par vous meme
rien ne prouve par exemple que l'autre n'est pas issu de votre imaginaire
c'est juste pour expliquer que vous affirmez "logique" un
"indemontrable", donc juste une croyance forte
tout ce que l'on peut dire c'est que c'est un axiome (pas le cote
particule qui n'est qu'un modele) qui a la majorite des points de vue
Horreur !
Mon cauchemar matrixien me fait imaginer un interlocuteur fou qui me
tient des propos dépourvus de raison !
Va retro !!!!
YT
pour les gens sérieux, lisez plutôt :
http://monsyte.blogspot.com/2008/04/newton-les-vitesses-et-la-philosophie.html
> Horreur !
> Mon cauchemar matrixien me fait imaginer un interlocuteur fou qui me
> tient des propos dépourvus de raison !
> Va[de] retro !!!!
Il est certain que si vous croyez à vos vaticinations présentées sans
le moindre début de bout de preuve tout autre propos ne peut que vous
apparaître dépourvu de raison.
Mais je suis bien tranquille, vous n'y croyez pas une seconde. Je
serais curieux de savoir exactement à quoi vous sert tout ce fatras
ridicule ?
- À draguer de pauvres filles stupides qui vous prendraient pour un
génie méconnu ?
- À prendre de l'ascendant sur les clochard avec lesquels vous buvez ?
- À impressionner vos parents ?
- À sortir durant quelques minutes de votre lamentable médiocrité ?
Essayez donc de nous éclairer là-dessus, s'il vous plaît.
--
kd
> - À prendre de l'ascendant sur les clochards avec lesquels vous buvez ?
J'adore celle là :-)))
--
Jean-marc
J'ignorais qu'en plus des blocs noirs, il existait des k noirs...
Le nivreau vole bas chez les crétins relativistes.
Je rappelle au lecteur matérialiste le débat :
http://monsyte.blogspot.com/2008/04/newton-les-vitesses-et-la-philosophie.html
Il est possible de répondre directement sur mon blog (je ne valide
que les contribs matérialistes : les aurtres peuvent se déverser sur
usenet et y répandre leur fiel.)
pratique pour eviter de raisonner :)
desole je pensais que vous etiez serieux
je suis rassure la
> J'ignorais qu'en plus des blocs noirs, il existait des k noirs...
Vue la quantité de vos ignorances...
>
> Le nivreau vole bas chez les crétins relativistes.
Qu'est-ce que ça veut dire « relativiste » ? C'est vous qui montez une
secte.
Comme chacun sait la relativité n'est qu'une théorie. Beaucoup de gens
travaillent la-dessus, sérieusement, en présentant leurs protocoles et
leurs résultats. Vous, vous ne présentez strictement rien de concret,
que du vent, des phrases pourries de fautes d'orthographe, d'erreurs
logiques et de suffisance.
>
> Je rappelle au lecteur matérialiste le débat :
> http://monsyte.blogspot.com/2008/04/newton-les-vitesses-et-la-philosophie.html
> Il est possible de répondre directement sur mon blog (je ne valide
> que les contribs matérialistes : les aurtres peuvent se déverser sur
> usenet et y répandre leur fiel.)
Ah ! bien, publiez désormais dans vos propres pages et foutez la paix
à tous ces groupes que vous spamez sans cesse par vos multi-postages
de crétineries.
--
kd
Mais arrêtez de vous en prendre à Yanick ! C'est trop facile. A moins de
l'opportunité d'un bon mot, c'est même méchant.
--
LeLapin
> Mais arrêtez de vous en prendre à Yanick ! C'est trop facile. A moins de
> l'opportunité d'un bon mot, c'est même méchant.
>
Vous n'avez pas totalement tort... mais le personnage est dangereux.
Je rappelle sa profession de foi, celle qu'il affiche fièrement sur
son « blog » :
<CIT>
Matérialiste,partisan de Puthagoras,Democritos, Epicuros, Titus
Lucretius,Isaac Newton, et Vladimir Illich Oulianov-Lénine. Tous
partisans du monde en soi, partisans du vide et des atomOs en tant
qu'unique réalité. Travaillant à découvrir ce qui était le rêve de
Newton (et la fin de la relativité) connaître notre vitesse objective,
notre vitesse absolue. Libertarien et égalitariste.
*Partisan d'un individualisme acharné dans la lucidité de notre*
*appartenance à une seule famille dont les ancètres Eve et Adam*
*avaient la peau foncée, d'un rose foncé*. Partisan de la fermeture
immédiate des Bourses et des banques.(300 euros par citoyen pour
investir) Tickets de rationnement carbone. Salaire unique 1000 euros
par Terrien (demi-part pour les jeunes) Révocabilité permanente des
"élus" délégués (1 pour 25 délégateurs) Partisan de 6 révolutions.
</CIT>
(C'est moi qui souligne.)
--
kd
>Admettez vous qu'il existe un vide en soi, indépendamment de la
>perception de l'observateur ?
>
>Admettez vous qu'il existe, dans ce vide, des lieux absolus
>(objectifs), indépendamment de la perception de l'observateur ?
>
>Admettez vous qu'il existe des déplacements de corps d'un lieux absolu
>(objectifs) vers un autre lieu absolu (objectifs), indépendamment de
>la perception de l'observateur ?
>
>Admettez vous qu'il existe un écoulement absolu (objectifs) du temps,
>indépendamment de la perception de l'observateur ?
>
>Admettez vous qu'il existe, en conséquence des vitesses objectives,
>des vitesses absolues, indépendamment de la perception de
>l'observateur ?
>
On ne peut pas prétendre faire de la physique (et même de la
philosophie) 'indépendamment de la perception de l'observateur'. Ce
que ce terme signifie dans le contexte physique c'est qu'il y a
interaction. Ll'observateur - un terme générique donc - étant un des
deux éléments (au minimum) qui participe à cette interaction (votre
oeil, une plaque photographique ou la planète Mars). Pas d'observateur
pas d'interaction, pas d'interaction pas de physique.
Je trouve mon cauchemar subjectif de plus en plus déplaisant ....
J'espère me réveiller bientôt...
Heureusement que cette subjective (non objective) perception est
totalement en déclage avec la réalité...
Et heureusement que la réalité n'existe pas !!!
On y croiserait des imbéciles arrogants qui prétendent donner des
leçons à Lénine, à Newton et à Democritos !!!
Quelle horreur !
Espérons que cette virtuelle création matrixienne finisse par se
taire !!!
Monsieur l'anonyme
Listez vos accords ou désaccords sur les points précédents et je serai
en mesure de vous répondre
Je renvoie le lecteur honnête au dernier échantillon de ce charlatan :
http://groups.google.com/group/fr.sci.physique/msg/5ab34c643d5c97ad
Par ailleurs, prenez garde
> Comme chacun sait la relativité n'est qu'une théorie.
Cette phrase n'a aucun sens : Même Einstein ne prétendait pas que ses
idées étaient le reflet intellectuel d'une réalité en soi : il
inventait "librement" ses foutaises.
Quant au "qu'un théorie" du charlatan, cela n'a aucun sens.
Beaucoup de gens
> travaillent la-dessus, sérieusement, en présentant leurs protocoles et
> leurs résultats. Vous, vous ne présentez strictement rien de concret,
> que du vent, des phrases pourries de fautes d'orthographe, d'erreurs
> logiques et de suffisance.
Son "travaillent la-dessus," ne renvoie pas au nom féminin "dessus"...
il a simplement oublié l'accent grave sur le "là" ...
Ne tenons pas rigueur à l'imbécile !
Salutations aux matérialistes !
Yanick Toutain
http://monsyte.blogspot.com/
>
> Beaucoup de gens
>> travaillent la-dessus, sérieusement, en présentant leurs protocoles et
>> leurs résultats. Vous, vous ne présentez strictement rien de concret,
>> que du vent, des phrases pourries de fautes d'orthographe, d'erreurs
>> logiques et de suffisance.
>
> Son "travaillent la-dessus," ne renvoie pas au nom féminin "dessus"...
> il a simplement oublié l'accent grave sur le "là" ...
>
> Ne tenons pas rigueur à l'imbécile !
Toujours rien de concret ? Guignol.
--
kd
Vous écrivez n'importe quoi sans réfléchir.
Comme vous avez l'excuse de vos leçons apprises par coeur par appat du
gain , je vais essayer de vous expliquer au ralenti.
"Je regarde Mars"
est équivalent à
un troupeau de photon
venu de Mars
après un délai compris entre
4 minutes quand la Terre se trouve entre le Soleil et Mars
et 8+12 = 20 minutes quand le Soleil se trouve entre Mars et la
Terre.
(parenthèse 1 UA* se parcourt en 500 secondes, environ 8 minutes.
Mars se trouve à environ 1,5 UA du Soleil... 12 minutes de lumière
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mars_(plan%C3%A8te)
Une fois et demie plus loin du Soleil que la terre.)
et ce troupeau de photons (l'image de Mars) arrive dans mon oeil....
Pour qu'il y ait la fameuse "interaction" chère aux baratineurs
antimatérialistes.... il faudrait regarder Mars en prenant en compte
le fait que.... Mars nous regarde...
Mais.... cela ne se produira que dans ..... 4 minutes !!!!!
... ou 20 minutes ...
L'interaction est différée ...du délai nécessaire pour que les photons
répartent dans l'autre sens....
Et quel est l'ampleur de l'effet de l'observateur sur Mars.? ??..
Mon interlocuteur est un charlatan relativiste qui se gargarise de
mots !
Et dans l'atome ?
C'est pareil .... il y a un délai ...
mais alors, peut-on nier l'effet de la Terre sur Mars...
bien évidemment non ... mais cela est indépendant du processus de
connaissance...
de même, que l'appareil photo fonctionne ou pas , il émet des
particules gravitantes...
Quid alors des processus par lesquels notre information dépend de
l'émission de corpuscules ...?....
Tout simplement le fait qu'il s'agit d'une expérimentation dans
laquelle l'expérimentateur intervient sur la réalité...
Il faut donc prendre en compte tous les paramètres...
... Mais en commençant par le PREMIER : la connaissance des lieux et
trajectoires obectives des corps en présence...
Ce que refusent les charlatans relativistes !
les 6 révolutions les balaieront comme la révolution de 89 a balayé le
clergé !
ce clergé einsteinien sera éjecté hors des lieux d'expérimentation !
Ils ne sont qu'un gang de menteurs, escrocs et profiteurs !
Ils ont commencé à mentir en 1915 avec Eddington le truqueur... ils
n'ont jamais cessé depuis !
(certains parmi ces escrocs reconnaissent que Eddington a truqué et
menti !!!!!)
Leur agressivité est proportionnelle à la lucidité - qui est la leur -
des PROGRES que le newtonisme fait en 2008 !
Nous vaincrons !
Salutations aux matérialistes
Yanick Toutain
http://monsyte.blogspot.com/2008/04/newton-les-vitesses-et-la-philosophie.html
http://monsyte.blogspot.com/
*Unité astronomique : distance "moyenne" Soleil Terre
> Pour qu'il y ait la fameuse "interaction" chère aux baratineurs
> antimatérialistes.... il faudrait regarder Mars en prenant en compte
> le fait que.... Mars nous regarde...
>
> Mais.... cela ne se produira que dans ..... 4 minutes !!!!!
> ... ou 20 minutes ...
>
> L'interaction est différée ...du délai nécessaire pour que les photons
> répartent dans l'autre sens....
>
> Et quel est l'ampleur de l'effet de l'observateur sur Mars.? ??..
>
> Mon interlocuteur est un charlatan relativiste qui se gargarise de
> mots !
sauf que je pense savoir a quelle theorie vous faites allusion et j'ai
peur que vous ne l'ayez pas bin maitrisee...
ices idees sont tirees de l'experience sur les photons jumaux que je
vous invite a étudier pour comprendre qu'il n'y a pas ce temps de
latence que vous indiquez car il ne s'agit pas d'une interaction par
réemissin de photon, qui devraient reparcourir l'espace
il s'agit d'une notion, qui contrairement a ce que vous affirmez est
prise comme telle, mais qui décrit bien le résultat de l'expérience sur
les photons jumaux.
Les deux photonss sont en fait un seul et même objet quantique, nul
besoin de communication entre eux pour que l'observateur, en stoppant le
premier stopppe également le second.
c'est juste une constatation , prévue par le modèle.
encore une fois , aucun modèle n'a jamais affirmer ETRE la réalité, mais
DECRIRE la réalité nunace
et ce modèle décrit mieux ce que l'on observe que votre modèle.
quant à savoir ce qu'EST la réalité, ce n'est pas du ressort de la
physique ....
> Tout simplement le fait qu'il s'agit d'une expérimentation dans
> laquelle l'expérimentateur intervient sur la réalité...
comme tout observateur par définition !
>
> Il faut donc prendre en compte tous les paramètres...
>
oui et ?
> ... Mais en commençant par le PREMIER : la connaissance des lieux et
> trajectoires obectives des corps en présence...
>
vous avez toujours refusé de definit precisement la notion de vitesse ou
trajectoire objective.
indépendant du sujet ? oui mais par rapport a quoi ? au vide? mais le
vide n'est pas un référentiel
> ce clergé einsteinien sera éjecté hors des lieux d'expérimentation !
>
> Ils ne sont qu'un gang de menteurs, escrocs et profiteurs !
gang qui a de sacre reussite technique a son actif, vous en avez combien
au votre ? l'humanite, pour le moment, n'a fait de progres technique que
grace a eux
> Leur agressivité est proportionnelle à la lucidité - qui est la leur -
> des PROGRES que le newtonisme fait en 2008 !
votre message est donc sans agressivite?
>
> Nous vaincrons !
>
lol oui en créant quelquechose qui prouve votre efficacité ;)
> Salutations aux matérialistes
de même
surtout qu'un mateiraliste peut utiliser la relativite ;)
> Yanick Toutain
PS : la notion de science implique des démonstrations ( et nn par des
"il est évident" et autres non-démonstrations)