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ALBERT LORTZING/ Der wildschutz

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Julien "Rocco Siffredi" Barma

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Mar 7, 2013, 1:34:23 PM3/7/13
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Dans ma recherche d'ouevre et de compositeurs méconnus, je vous propose une oeuvre du Rossini allemand Albert Lortzing et de son Wildschutz.
Parfait opéra comique crée en 1842... Cet opéra absorbe les influences les plus italiennes , à la sauce germaine et si je vous dis / Hermann Prey,Fritz Wunderlich et autres, qu'est que vous attendez pour vous précipiter ?
.Une prise de son de 1963... fantastique et pourtant c'est EMI..

""Albert Lortzing (né le 23 octobre 1801 à Berlin - décédé le 21 janvier 1851), est un compositeur, librettiste, acteur et chanteur allemand. Il est l'un des principaux représentants de la variante germanique de l'Opéra comique

La première apparition sur scène d'Albert Lortzing se déroule à la Cathédrale Notre-Dame de Fribourg. Le jeune acteur, âgé de 12 ans, déclenche l'enthousiasme de son public ("unter lebhaftem Beifall", sous une pluie d'applaudissements) pendant l'entracte en récitant des poèmes. À partir de 1817, la famille Lortzing rejoint la troupe rhénane de Josef Derossi. Ils se produisent sur les scènes de Bonn et d'Aix-la-Chapelle, ainsi qu'à Düsseldorf, Barmen ou Cologne. Albert se fait apprécier du public mais ne se limite pas au théâtre : en effet, il est également employé comme ténor.

À Detmold, Albert Lortzing, qui a également une vocation de compositeur, écrit par exemple un oratorio, "Die Himmelfahrt Christi" (l'ascension du Christ). Cette œuvre est représentée à Münster et son créateur subira la critique du président du gouvernement de Münster qui déclara que l'acteur n'avait pas tout à faire une vocation de compositeur
Toujours à Detmold, un conflit, qui se résoudra vite, éclate avec l'excentrique poète Christian Dietrich Grabbe. Albert Lortzing avait composé pour Grabbe la musique de scène de son unique drame. Lui et sa femme occupent respectivement les rôles de Don Juan et de Donna Anna et un journal de Francfort fit paraître une critique anonyme extrêmement, voire excessivement flatteuse qui faisait également l'éloge de la pièce d'un auteur génial ("dieses genialen Dichters"). Critique émanant de "l'auteur génial" lui-même. Il était en fait assez courant, à l'époque, de faire sa propre publicité via une critique de ce genre.


En 1844, Albert Lortzing est nommé maître de chapelle (Kapellmeister) au théâtre municipal de Leipzig mais, en avril 1845, il se fait renvoyer pour un prétexte futile. Son licenciement suscite les protestations répétées d'un public impuissant. De même, une lettre ouverte signée par la quasi-totalité de ses collègues s'opposera à la décision du conseil municipal.
De 1845 à 1847, Albert Lortzing est de nouveau maître de chapelle, mais il exerce cette fois au Theater an der Wien. En 1848, symbolisant l'envie croissante de liberté de son peuple (cf. Révolution de Mars), il écrit la musique et le livret d'un nouvel opéra, Regina, dont le nom tient directement de sa femme, et où il exploite les conflits sociaux mais aussi la phobie du suicide. Son dernier opéra, Rolands Knappen (1849), fait la satire d'un État militaire.

Albert Lortzing s'éteint le matin du 21 janvier 1851. À l'enterrement de l'acteur et musicien, dans le second Sophien-Friedhof (au centre de Berlin), on trouve notamment Giacomo Meyerbeer, Heinrich Dorn, Wilhelm Taubert et Carl Friedrich Rungenhagen. Les camarades de théâtre du défunt ornèrent son cercueil des couleurs Noir-Rouge-Or (l'actuel drapeau allemand), une association qui était interdite après 1848."" (dixit wik)

Voila, maintenant vous pouvez l'ignorer, tant pis.
JULIEN
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