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Wikipédia : Haine contre Newton, haine contre le vide, haine contre les vitesses absolues! ramassis de propagande relativiste ! Une Honte !

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Yanick Toutain

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Mar 7, 2008, 1:51:22 AM3/7/08
to
http://fr.wikipedia.org/wiki/Physique_newtonienne
dans wikipédia
Haine contre Newton, haine contre le vide, haine contre les vitesses
absolues! ramassis de propagande relativiste !
Une Honte !
=============================
les sources VRAIES :
http://site.voila.fr/monsyte/de/SCIENCES/scphys/textes_scientifiques_sources/Newton/Newton_Principia_original_et_Chatelet.htm
=========================
Aucune citation sérieuse de Newton, sur ce Wikipédia, ce texte n'est
qu'un fatras écrit par des crétins relativistes que le matérialisme de
Newton dérange !!
La clique einsteinienne plutôt que de s'atteler à mettre en ligne le
livre "la Relativité" de Einstein ...(Payot) préfère baver sur
Newton !

Les seuls chapitres du livre de Einstein en français qui soient en
ligne sont sur MON site : Seuls les chapitres 7 et 8 que j'ai moi-même
dactylographiés sur MONSYTE !!! . sont accessibles ..
http://site.voila.fr/monsyte/de/SCIENCES/scphys/UneanalysecritiquedeEinsteinch7.htm
http://site.voila.fr/monsyte/de/SCIENCES/scphys/UneAnalyseCritiqueDeEinstein/UneanalysecritiquedeEinsteinch8.htm

[J'attends que ces fainéants de relativistes dactylographient leur
héros : TOUS mes arguments sont prèts !!! Je ne vais pas - encore !! -
le taper à leur place !!!...
......... mais ....on dirait ................qu'ils ne sont PAS
pressés !!!!]

Les crétins relativistes ne sont même pas capables de le faire eux
mêmes, c'est moi, l'adversaire de Einstein qui ait la seule
présentation francophone de ce bouquin !!!!)

Non .... cette clique préfère aller déposer les traces de ses
promenades vespérales sur les pages consacrées à Newton !

Ces imbéciles égocentristes qui se croient au centre de l'univers, qui
s'imaginent avoir le libre choix du référentiel, qui n'ont toujours
pas compris l'INEGALITE DES PERIODES D'EMISSION D'IMAGES ET DES
PERIODES DE RECEPTION D'IMAGES*... viennent calomnier Newton avec la
propagande pour le crétin !!!
* ce qui rend faux (ou APPROXIMATIF) tout référentiel non absolu !

Plutôt que de PRENDRE conseil auprès des newtonistes ...cette clique
préfère débiter sa propagande minable ...


Il est URGENT que les administrateurs de wikipédia honnètes (s'il en
reste) EFFACENT la totalité des pages prétendant décrire les thèses de
Newton !!!

Elles sont TOUTES de la propagande minable pour la relativité

... et les remplacent par la NUMERISATION DU VERITABLE TEXTE DE
NEWTON !!!
http://site.voila.fr/monsyte/de/SCIENCES/scphys/textes_scientifiques_sources/Newton/Newton_Principia_original_et_Chatelet.htm
que j'ai dactylographié d'après la
version image sur la BNF (ils n'ont toujours pas numérisé le principal
livre des deux millénaires !! quelle honte pour ces
"bibliothécaires" !!!)
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k29037w

Cessez cette imposture, cette propagande mensongère !!!

Je ne vais pas faire "une guerre de page" contre les crétins
relativistes...

.... Mais je peux vous assurer que la propagande mensongère CONTRE
Newton va cesser rapidement.
Et ce ne sont pas les censeurs du site futura sciences qui ont effacé
mon texte proNewton qui prolongeront l'imposture ...

Ce sera la crédibilité de Newton (et la mienne) contre la crédibilité
de Wikipédia ...
Et je peux vous assurer que, si vous ne cèdez pas, je peux vous
assurer que vous n'allez pas gagner !!!

Nous connaîtrons notre vitesse absolue prochainement : les protocoles
sont prêts, il ne faut que virer les imposteurs des labos !
+++++++++++++++++++++++++++++
+++++++++++++++++++++++++++++++
EN STOCK et pour preuve :
les traces de l'imposture relativiste bavant sur la page de Newton !
ce qui suit est un copier coller en vrac, afin d'empêcher les
imposteurs de truquer les débats !!!
Ils ne font que ça sur sci.physique depuis 2002
Leurs insultes et leur cri de minables crétins "Troll ! troll !" va
bientôt leur rester dans le gosier !!!
.....tous très loin de la scène scientifique !

Révolution !
+++++++++++++++++++++++++++
Lois du mouvement de Newton
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Physique newtonienne)
Aller à : Navigation, Rechercher
Les deux premières lois de Newton en latin dans l'édition originale du
Principia Mathematica de 1687.
Les deux premières lois de Newton en latin dans l'édition originale du
Principia Mathematica de 1687.

Les lois du mouvement de Newton sont en fait des principes à la base
de la grande théorie de Newton concernant le mouvement des corps,
théorie que l'on nomme aujourd'hui Mécanique newtonienne ou encore
Mécanique classique. À ces lois générales du mouvement fondées en
particulier sur le principe de relativité des mouvements, Newton a
ajouté la loi de la gravitation universelle permettant d'interpréter
aussi bien la chute des corps que le mouvement de la Lune autour de la
Terre.
Sommaire
[masquer]

* 1 Première loi de Newton ou principe d'inertie
o 1.1 Énoncé
o 1.2 Problème du référentiel galiléen
* 2 Seconde loi de Newton ou principe fondamental de la dynamique
de translation
o 2.1 Énoncé
o 2.2 Enseignement de la deuxième loi de Newton
o 2.3 Théorème de la quantité de mouvement
o 2.4 Retour sur le principe d'inertie
o 2.5 Référentiels non-galiléens
* 3 Troisième loi de Newton ou principe des actions réciproques
* 4 Autres lois de Newton
o 4.1 Loi d'interaction gravitationnelle
o 4.2 "Cinquième corollaire" de Newton: principe de
relativité
* 5 Histoire et épistémologie
o 5.1 Contexte historique
o 5.2 Épistémologie
* 6 Problèmes et limites
o 6.1 Univers absolu
o 6.2 Limites relativistes
o 6.3 Limites quantiques
* 7 Déterminisme et démonstration des lois de Newton
o 7.1 Approche de Laplace et de Noether
o 7.2 Remarque sur le chaos déterministe
* 8 Notes

Première loi de Newton ou principe d'inertie [modifier]

Énoncé [modifier]

L'énoncé original de la première loi du mouvement[1] est le suivant :

Tout corps persévère dans l'état de repos ou de mouvement uniforme
en ligne droite dans lequel il se trouve, à moins que quelque force
n'agisse sur lui, et ne le contraigne à changer d'état.

Autrement dit, s'il n'y a pas de force qui s'exerce sur un corps
(corps isolé), ou si la somme des forces s'exerçant sur lui est égale
au vecteur nul (corps pseudo-isolé), la direction et la norme de sa
vitesse ne changent pas ou, ce qui revient au même, son accélération
est nulle. Cette première loi infirme les lois de la physique
d'Aristote, d'après lesquelles on pensait que pour maintenir la
vitesse d'un mobile constante, il était nécessaire de lui appliquer
une force.

Bien que Newton ne l'ait pas précisé dans son ouvrage, cette loi n'est
valable que dans un référentiel galiléen. La première loi de Newton
peut donc être reformulée dans un langage plus moderne :

Dans un référentiel galiléen, le vecteur vitesse du centre
d'inertie d'un système est constant si et seulement si la somme des
vecteurs forces qui s'exercent sur le système est un vecteur nul.

Problème du référentiel galiléen [modifier]
Article détaillé : Recherche d'un référentiel inertiel.

La définition d'un référentiel galiléen apparaît fondamentale et est
souvent formulée ainsi :

Un référentiel galiléen est un référentiel dans lequel la première
loi de Newton est vérifiée

Ainsi la première loi de Newton ne s'applique que dans un référentiel
galiléen et un référentiel galiléen est un référentiel où la première
loi de Newton s'applique … ce qui semble être une définition
circulaire. Pour éviter ce problème, on peut réécrire le principe
d'inertie comme suit :

Il existe une famille de référentiels, appelés galiléens ou
inertiels, tels que, par rapport à l'un de ces référentiels, tout
point matériel isolé (qui n'est soumis à aucune action extérieure) est
soit au repos, soit animé d'un mouvement rectiligne et uniforme.

La détermination d'un bon référentiel galiléen est en réalité
expérimentale et comme souvent en Physique, seule la cohérence entre
la théorie (ici la première loi de Newton) et la mesure (mouvement
rectiligne uniforme) valide le choix a posteriori.

Seconde loi de Newton ou principe fondamental de la dynamique de
translation [modifier]

Énoncé [modifier]

Le principe fondamental de la dynamique de translation (PFDT) (parfois
appelé Relation fondamentale de la dynamique ou RFD) s'énonce ainsi :
Soit un corps de masse m constante,

l'accélération subie par un corps dans un référentiel galiléen est
proportionnelle à la résultante des forces qu'il subit, et inversement
proportionnelle à sa masse m..

Ceci est souvent récapitulé dans l'équation :

\vec{a} = \frac{1}{m} \sum{\vec{F_i}}

ou

\sum{\vec{F_i}} = m \vec{a}

où \vec{F_i} désigne les forces exercées sur l'objet, m est sa masse,
et \vec{a} correspond à l'accélération de son centre d'inertie G.

Enseignement de la deuxième loi de Newton [modifier]

Les étudiants éprouvent de grandes difficultés pour utiliser les lois
de Newton telles qu’elles sont traditionnellement énoncées et ce n’est
pas sans raison. En effet les forces semblent s’exercer comme si elles
existaient en elles même, ex abrupto. Proposons donc une nouvelle
formulation de la loi en l’accompagnant de son mode opératoire afin
que chacun puisse l’appliquer rationnellement, c’est-à-dire en
argumentant. Dans un repère galiléen la somme des forces \vec{F}_{Oext/
B}(t) que les objets extérieurs à l’objet B exercent sur B est égale
au produit de la masse mB de B par l'accélération \vec{a}_B(t) de B :

\sum \vec{F}_{Oext/B}(t) = m_B \vec{a}_B(t)

L’écriture fait apparaître que les forces et l’accélération varient au
cours du temps, alors que la masse de l’objet est considérée comme
constante dans le domaine de validité considéré et que les vitesses
des objets macroscopiques sont faibles par rapport à la vitesse de la
lumière.

Dans les problèmes qui visent à décrire le mouvement d’un objet B
lorsqu’il est immuable et représentable par un point (ce qu’on appelle
le modèle du « point matériel »), les procédures d’utilisation sont
les suivantes :

* Sélectionner par la pensée l’objet B dont on veut décrire le
mouvement.
* Répertorier tous les objets qui lui sont extérieurs et qui
exercent une force « notable » sur B. Pour y parvenir il est
indispensable de connaître les ordres de grandeur des différentes
interactions entre les objets matériels en présence afin de les
hiérarchiser ; seules les plus intenses interviennent dans la
modélisation de la situation où se pose le problème à résoudre.

Théorème de la quantité de mouvement [modifier]

Une forme plus générale, valable également si la masse change au cours
du temps est

La force est égale aux changements de quantité de mouvement par
unité de temps.

Ceci est souvent récapitulé dans l'équation :

\sum{\vec{F_i}} = \frac{d\vec{p}}{dt}

où \vec{F_i} désigne les forces exercées sur l'objet, \vec{p} = m
\vec{v} est la quantité de mouvement, égale au produit de sa masse m
et de sa vitesse \vec{v}.

Ce théorème est appelé théorème de la quantité de mouvement. Pour un
solide de masse fixe en mécanique newtonienne, il est équivalent à la
seconde loi.

Ainsi, la force nécessaire pour accélérer un objet est le produit de
sa masse et de son accélération : plus la masse d'un objet est grande,
plus grande est la force requise pour l'accélérer à une vitesse
déterminée (en un laps de temps fixé). Quelle que soit la masse d'un
objet, toute force nette non-nulle qui lui est appliquée produit une
accélération.

Retour sur le principe d'inertie [modifier]

Pour un corps soumis à une résultante des forces nulle on retrouve
bien la première loi de Newton, c’est-à-dire un mouvement rectiligne
uniforme. En première analyse, on peut se demander quelle est
l'utilité de la première loi puisqu'elle semble être une conséquence
de la deuxième. En réalité, dans l'énoncé de Newton, il n'en est rien
car la première loi n'est pas présentée comme un cas particulier de la
deuxième mais comme une condition suffisante à l'application de cette
dernière. En effet, énoncer la première loi, c'est affirmer
l'existence des référentiels galiléens. Cela constitue un postulat
extrêmement fort qui permet, dans les exposés modernes de la mécanique
classique, de définir les repères galiléens qui sont les seuls repères
dans lesquels la seconde loi est valide. En l'absence de la première
loi, la seconde loi est inapplicable puisqu'on ne peut pas définir son
domaine de validité. Par conséquent, l'ordre logique dans lequel les
lois sont énoncées n'est pas le fruit du hasard mais bien celui d'une
construction intellectuelle cohérente.

Référentiels non-galiléens [modifier]
Article détaillé : force d'inertie.

Notons enfin qu'il est possible de reformuler de manière plus large la
deuxième loi de Newton dans un référentiel non galiléen en ajoutant
des termes dans l'équation qui sont homogènes à des forces, et qu'on
appelle souvent "forces d'inertie". Ces termes ne sont pas des forces
au sens usuel mais des termes correctifs d'origine géométrique et
cinématique.

Troisième loi de Newton ou principe des actions réciproques [modifier]

Tout corps A exerçant une force sur un corps B subit une force
d'intensité égale, de même direction mais de sens opposé, exercée par
le corps B.

A et B étant deux corps en interaction, la force \vec{F}_{A/B}
(exercée par A sur B) et la force \vec{F}_{B/A} (exercée par B sur A)
qui décrivent l'interaction sont directement opposées :

\vec{F}_{A/B} = -\vec{F}_{B/A}

Dans le cas de la mécanique du point, la troisième loi précise
également:

\vec{F}_{A/B} \wedge \vec {AB} = \vec 0  : la force d'interaction
est portée par la droite reliant les positions des particules.

Ces forces ont la même droite d'action, des sens opposés et la même
norme. Ces deux forces sont toujours directement opposées, que A et B
soient immobiles ou en mouvement.

Cette loi est parfois appelée loi d'action - réaction, une formulation
au mieux imprécise, au pire entraînant de nombreuses confusions. En
particulier, cette ancienne formulation véhicule l'idée qu'il y a
toujours une force qui est la "cause" (l'action), l'autre n'étant
qu'une sorte de conséquence (la réaction).
Une autre difficulté rencontrée par les étudiants est l'oubli que ces
2 forces \vec{F}_{A/B} et \vec{F}_{B/A} s'exercent sur 2 corps
différents. Elles ne peuvent donc pas « s'annuler mutuellement ».
L'effet d'annulation n'intervient que lorsqu'on considère un système
constitué de différents corps et que l'on s'intéresse à la résultante
des forces : dans ce cas, les forces intérieures s'annulent en effet,
et seule la somme des forces extérieures est à prendre en compte (ce
qui est heureux pour étudier le mouvement d'un solide constitué de
plus de 1023 éléments[2]).

Il convient de faire remarquer ici que la loi des actions réciproques
a l'inconvénient de supposer l'application des forces comme
instantanée (ce qui est abandonné en relativité restreinte). Dans le
cas des forces à distance, il convient dans certains cas d'effectuer
des transformations pour tenir compte du retard de propagation.

Cette correction ne relève pas de la relativité. Comme les forces
électromagnétiques s'appliquent à distance, on avait mis en évidence
que ces forces se propagent à la vitesse de la lumière et non à
vitesse infinie, et inclus cette nuance dans les équations, avant la
révolution de la relativité restreinte[3]

Autres lois de Newton [modifier]

Loi d'interaction gravitationnelle [modifier]
Article détaillé : Loi universelle de la gravitation.

Certains auteurs (minoritaires) appellent quatrième loi de Newton sa
Loi universelle de la gravitation. Cette dénomination est très
contestable, mais elle est mentionnée ici à cause de la parenté
historique des lois : si cette loi ne fait pas partie des principes de
la mécanique au même titre que les trois autres et le principe de
relativité, la première réussite de Newton fut d'utiliser ses lois
mécaniques plus sa loi d'interaction gravitationnelle pour démontrer
les lois empiriques de Kepler. Ce sont ces premiers succès qui
établirent pour longtemps la domination des lois de Newton sur la
science.

Notons qu'en combinant cette loi et le principe fondamental de la
dynamique, on démontre la prédiction de Galilée selon laquelle dans le
vide, tous les objets tombent à la même vitesse (en admettant
implicitement qu'inertie et masse gravitationnelle sont égales).

"Cinquième corollaire" de Newton: principe de relativité [modifier]

Newton dans ses Principia a mis en évidence la notion de relativité du
mouvement dans les définitions précédant le livre premier. Toutefois,
en introduisant dans les scholies II et IV la notion d'espace absolu,
il ne dégage pas encore la notion de référentiel galiléen telle
qu'elle est définie aujourd'hui. D'autre part, Newton ne fait aucune
référence au cas où un référentiel n'est pas en mouvement rectiligne
uniforme par rapport à ce qu'il appelle l'espace absolu. Ses résultats
sont donc implicitement valables dans des référentiels en mouvement
rectiligne uniforme mais aucune infirmation de la validité de ses lois
dans les référentiels accélérés n'est donnée dans les Principia. Il
faudra attendre les travaux de Coriolis et de Foucault au XIXe siècle
pour que la notion de référentiel galiléen telle qu'elle est connue
aujourd'hui se dégage et pour que les formules de changement de repère
vers (ou depuis) un référentiel non galiléen soient établies.

Le principe de relativité s'énonce comme suit : « Deux référentiels
d'espace en translation rectiligne uniforme l'un par rapport à l'autre
sont équivalents pour les lois de la mécanique. »

(au sens de Newton, il faudrait se restreindre aux référentiels en
mouvement rectiligne uniforme par rapport à l'espace absolu, en se
souvenant que si un référentiel est en mouvement rectiligne uniforme
par rapport à un deuxième lui-même en mouvement rectiligne uniforme
par rapport à l'espace absolu, alors le premier référentiel est en
mouvement rectiligne uniforme par rapport à l'espace absolu)

On pourra le vérifier, en admettant les trois premières lois,
l'invariance du temps, de la masse et des forces (implicite en
physique pré-einsteinienne). C'est pourquoi ce principe est appelé ici
corollaire.

Ce principe est dit principe de relativité galiléenne, car on en
trouve la trace dans le célèbre Dialogue de Galilée, quoique Galilée
avait supposé qu'il en était de même pour une rotation uniforme.

Une formulation plus moderne affirme que toutes les lois de la
physique sont les mêmes pour deux référentiels d'espace en translation
rectiligne uniforme l'un par rapport à l'autre. C'est cette
formulation forte qui est à la base de la relativité restreinte.

Remarque : Le référentiel héliocentrique est (généralement considéré
comme) galiléen et c'est dans ce référentiel que sont étudiés les
mouvements des planètes et des sondes spatiales. Considérer le
référentiel géocentrique comme galiléen, alors que le centre de la
Terre est en accélération autour du Soleil, revient à négliger les
forces de marée. Considérer le référentiel terrestre comme galiléen
revient à négliger la composante centrifuge dans la « pesanteur », et
la force de Coriolis si le point matériel est en mouvement. D'une
façon pragmatique, savoir trouver à quel degré d'approximation un
référentiel peut être (considéré comme) galiléen est une quête sans
cesse repoussée.

Histoire et épistémologie [modifier]

Contexte historique [modifier]

Isaac Newton a énoncé ses lois dans le premier volume de son
Philosophiae Naturalis Principia Mathematica en 1687 et, à l'aide des
nouveaux outils mathématiques qu'il a développé, il a prouvé beaucoup
de résultats au sujet du mouvement des particules idéalisées.

Certains détracteurs de Newton disent qu'il s'est inspiré des travaux
de Galilée pour écrire son premier principe (en reprenant presque
l'énoncé de Galilée : « Tout corps continuera dans son mouvement de
ligne droite ad eternam s'il n'est soumis à aucune force », en
rajoutant toutefois la notion d'uniformité du mouvement).

Il convient de nuancer: si Newton avait connaissance des travaux de
Galilée, son rôle a été de formaliser les idées de Galilée et d'en
tirer les conséquences qui ont permis de construire la mécanique.
Quand Newton affirme « Si j'ai vu plus loin que les autres, c'est
parce que j'ai été porté par des épaules de géants. », le lecteur
averti est censé comprendre que le travail s'inscrit dans la
continuité de celui de Galilée. En fait, on pourrait même dire que
Newton n'a pas précisé que le principe d'inertie et le principe de
relativité, sur lesquels il s'est basé pour construire toute la
mécanique, ont été édictés par Galilée, tout simplement parce qu'il
estime que le lecteur est censé le savoir !

Les deux premiers volumes sont mathématiques. Dans le troisième
volume, la philosophie naturelle (ancienne dénomination de la physique
des phénomènes naturels) est expliquée : il a montré comment ses lois
du mouvement combinées à sa loi universelle de la gravitation
expliquent le mouvement des planètes et permettent de dériver les lois
de Kepler.

En 1905 la théorie de la relativité restreinte d'Albert Einstein
montre que la notion de temps absolu, est un concept qui ne donne des
résultats corrects qu'aux vitesses beaucoup plus petites que la
vitesse de la lumière. Autre conséquence de la relativité restreinte,
aucun corps matériel ne peut dépasser une vitesse-limite appelée c,
dont on considère, jusqu'à aujourd'hui, qu'elle est égale à la
célérité du photon, qui a été fixée par définition à : c = 299 792 458
m/s, ce qui définit le mètre avec la même précision relative que la
seconde (de l'ordre de 10-15).

De même en 1915, en généralisant le principe de relativité, Einstein
propose sa théorie de la gravitation, encore en 2005 non testée dans
un laboratoire terrestre, mais vérifiée et non infirmée en astronomie,
avec une précision croissante. Cette théorie propose une propagation
de la gravitation à la vitesse de la lumière, évitant la propagation à
vitesse infinie imposée par les équations de Newton. Cette nouvelle
vision de la gravité souligne l'importance du résultat préalable admis
par Newton suivant lequel l'inertie est égale à la masse
gravitationnelle.

Malgré tout, cet édifice des principes reste un monument de la pensée
humaine.Ces simples lois permettent à elles seules de construire toute
la mécanique usuelle, c'est-à-dire de décrire toute la physique
excepté les situations quantiques ou relativistes.

La prédiction du mouvement des planètes par les équations de Newton
était remarquable. Et en tenant compte des interactions des planètes,
la seule aberration par rapport à la réalité était le petit résidu de
43" d'arc par siècle pour l'avance du périhélie de Mercure, et il a
fallu la relativité générale pour l'expliquer.

Et dans la vie commune des faibles vitesses (autre donc que
l'architecture « relativiste » des bâtiments du LHC, au CERN), on se
satisfait bien de ces lois du mouvement d'usage pratique.

Et, dès que l'on veut la précision ultime (par exemple, une meilleure
précision des systèmes de positionnement global, GPS ou Galileo),
alors on sait qu'il faut corriger légèrement Newton par Einstein («
les géants s'épaulent… » !), ou par Heisenberg quand on étudie les
atomes.

Épistémologie [modifier]

Les lois sus-citées ont été mises en forme et édictées par Newton.
Mais les fondements proviennent de travaux antérieurs : Galilée,
Torricelli, Descartes, Huygens, Hooke, « J'ai été porté par des
épaules de géants. » reconnaissait lui-même Newton.

D'autre part, comme l'a fait remarquer Ernst Mach [4] :

On reconnaît sans peine que les lois I et II sont contenues dans
les définitions de la force précédemment données. D'après celles-ci,
il ne peut en effet exister, en l'absence de toute force, que le repos
ou le mouvement rectiligne uniforme. C'est une tautologie tout-à-fait
inutile de répéter que la variation du mouvement est proportionnelle à
la force après avoir posé que l'accélération est la mesure de celle-
ci. Il eut suffit de dire que les définitions données n'étaient pas
des définitions arbitraires et mathématiques, mais répondaient à des
propriétés expérimentales des corps.

Dans cette critique, Mach fait référence à la définition IV des
Principia, laquelle introduit la notion de force, fondamentale en
physique :

La force imprimée (vis impressa) est l'action par laquelle l'état
du corps est changé, soit que cet état soit le repos, ou le mouvement
uniforme en ligne droite.[1]

Mais on peut aller encore plus loin : la conservation de la quantité
de mouvement de systèmes peut être érigée en principe premier de la
mécanique. Cette démarche présente l'avantage de reposer sur un
concept, la quantité de mouvement, permet de traiter des problèmes de
mouvements relativistes.

De plus la troisième loi permet d'introduire le concept d'interaction
absolument non trivial mais elle aussi fondamentale en physique. À
l'époque, cette loi est une absurdité, si l'on se réfère par exemple
au point de vue d'Aristote chez qui la magie et autres actions à
distance n'existent pas dans le cadre de la physique. Rappelons que le
magnétisme est interprété depuis le de Magnete de Gilbert par des «
lignes spectrales », ou tourbillons. De même, la cause de la
gravitation est interprétée par Descartes via une théorie (fausse) de
tourbillons, si contradictoire que même Huygens n'y croit plus. Par
contre, Newton déclarera dans une phrase restée célèbre : hypotheses
non fingo, je ne chercherai pas la cause ultime de la gravitation. La
gravitation « s'exprime » au travers de la loi centripète qu'il
énonce, il ne fait aucune supposition sur la nature de cette force.

Newton sortait donc hardiment hors du cadre imposé par la physique de
l'époque, d'où une critique véhémente, l'action instantanée à distance
étant récusée (elle gênait d'ailleurs à Newton lui-même), comme
insensée (Rømer venait de montrer la finitude de la célérité de la
lumière). En 1915, Einstein proposera une hypothèse moins choquante :
la gravitation se propage, à la vitesse limite c.

Problèmes et limites [modifier]

Univers absolu [modifier]
Article détaillé : Temps newtonien.

Newton avait postulé : il existe un espace et un temps absolu.

En fait, on pouvait étendre à toute une classe de référentiels dits «
inertiels » la notion d'espace absolu : quête sans fin, mais de plus
en plus précise. Si aucun référentiel usuel n'est parfaitement
inertiel, on peut du moins prouver qu'ils existent. Mais Newton a eu
tort de ne pas croire entièrement Galilée qui défendait l'équivalence
entre un référentiel et un autre évoluant à vitesse constante par
rapport au premier.

Par contre, Newton se méfiait du temps absolu : il savait qu'en
changeant l'échelle de temps, l'expression de son PFD changeait. Il
l'a même savamment utilisé. Mais évidemment, il fallait prendre une
décision : quelle échelle de temps choisir ? Ce qui paraissait le plus
simple était la fameuse loi de Kepler. Et tout était cohérent.

Les notions de temps relatif, de finitude des vitesses, de
synchronisation et de transport du temps allaient nécessiter encore
beaucoup de découvertes avant d'être entrevues. Il a donc opté pour le
temps dynamique absolu et édicté : le temps absolu s'écoule
uniformément. C'est cette variable t qui intervient quand on écrit

v = \frac{dx}{dt},

puis

a = \frac{dv}{dt}.

Ce temps absolu est généralement admis tant qu'on n'emploie pas la
relativité restreinte. Mais il constitue néanmoins une hypothèse
philosophique forte qui a été régulièrement discutée par Leibniz
notamment qui disait :

« J'ai marqué plus d'une fois que je tenais l'espace pour quelque
chose de purement relatif, comme le temps ; pour un ordre de
coexistences comme le temps est un ordre de successions… »

Limites relativistes [modifier]
Article détaillé : Relativité restreinte.

Une des grandes difficultés des théories de Newton, mise à jour dès le
XVIIe siècle est la notion d'action instantanée à distance. Newton lui-
même était gêné par cette supposition présente tout aussi bien dans sa
théorie de la gravitation que dans sa troisième loi.
Plus tard au cours du XVIIe siècle un certains nombres de difficultés,
concernant l'électromagnétisme notamment, indiquèrent également que
les principes de Newton ne pouvaient pas rendre compte en l'état de
tous les problèmes mécaniques ou cinématiques.

La relativité restreinte démontre aujourd'hui qu'aucune interaction ne
se propage plus vite que la vitesse de la lumière et remet donc
définitivement en cause les interactions instantanées. De plus elle
montre que pour des objets dont la vitesse est proche de celle de la
lumière, les lois de Newton ne sont plus une bonne approximation. En
fait, les formules de la relativité restreinte permettent de
considérer la physique newtonienne comme une approximation en
supposant c infinie.

Ainsi les lois de Newton ne sont pas réfutées par Einstein ; au
contraire, la relativité permet de justifier les équations de Newton
dans les cas de faibles vitesses en la rendant démontrable à partir
d'une théorie plus générale qui l'englobe.

D'autre part même en relativité restreinte, les forces respectent
toujours un théorème de la quantité de mouvement mais adapté, faisant
apparaître le facteur de Lorentz. Le théorème de la quantité de
mouvement est donc un théorème très puissant, puisqu'il permet de
déduire les lois de Newton dans le cas où les faibles vitesses le
permettent. Dans le cas contraire il s'inscrit dans les résultats de
la relativité restreinte.

Il serait bien sûr absurde de dire que les lois de Newton sont
fausses. La chute d'un corps sur Terre est un cas où les corrections
apportées par la relativité sont minimes, comme pour la plupart des
applications quotidiennes de la mécanique classique.

En revanche, une situation où les résultats sont radicalement modifiés
est celle, par exemple, des accélérateurs de particules du CERN.
L'énergie cinétique apportée à une particule de charge q par une
tension V vaut qV. Avec le TeraVolt (1 000 milliards de volts) du
CERN, on trouve classiquement pour un électron une vitesse 2 000 000
fois supérieure à la vitesse de la lumière. La vitesse réelle,
calculée dans le cadre relativiste est celle de la lumière diminuée de
quelques microns/seconde. Il est donc essentiel de bien distinguer les
situations où les lois de Newton sont valables de celles où elles ne
sont plus utilisables.

Limites quantiques [modifier]
Articles détaillés : Quantique et Principe d'incertitude.
Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide
est la bienvenue !

Déterminisme et démonstration des lois de Newton [modifier]
Articles détaillés : Déterminisme et Théorie du chaos.

Approche de Laplace et de Noether [modifier]

Les lois de Newton peuvent être construites à partir de thèses plus
abstraites.

Les lois de Newton ont subi l'analyse critique de Laplace, puis Mach,
puis Poincaré, puis de Kolmogorov.

Selon leur analyse le principe fondamental de la dynamique peut être
ramené à une conséquence du déterminisme énoncée par Laplace dans son
traité sur les probabilités :

si on connaît la position initiale x0 et la vitesse initiale v0,
alors l'équation du principe fondamental de la dynamique (PFD) dit
que, la force étant F(x, v, t ), il suffit de résoudre cette équation
différentielle, pour déterminer le futur et le passé de la particule,
x(t ) et v(t ).

Ainsi l'orbite hamiltonienne de l'électron dans le plan des phases
[x(t ), p(t )] est déterminée par le PFD. C'est tout ce qu'affirme ce
principe, puisque, par ailleurs, il faut trouver expérimentalement la
loi F(x, v, t ).

Même si le déterminisme tel que le définit Laplace souffre de limites,
il est tout de même possible de montrer que le théorème de la quantité
de mouvement repose sur les principes mêmes de la physique: c'est en
effet une conséquence du Théorème de Noether.

Remarque sur le chaos déterministe [modifier]
Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide
est la bienvenue !

Notes [modifier]

1. ↑ a  b  Principes mathématiques de la philosophie naturelle
D'après la traduction du latin en français par Émilie du Chatelet
(1756).
2. ↑ . Ce nombre représente à peu près le nombre d'Avogadro qui
donne l'ordre de grandeur du nombre de particules contenues dans un
corps macroscopique.
3. ↑ Néanmoins l'existence d'une vitesse de la lumière absolue
(indépendante du référentiel d'étude) est incompatible avec la loi
d'additivité des vitesses de la mécanique newtonienne et constitue la
raison fondamentale pour laquelle cette dernière a été abandonnée au
profit de la relativité.
4. ↑ La mécanique. Exposé historique et critique de son
développement Chapitre II Développement des principes de la dynamique,
section VII Critique synoptique des énoncés de Newton, paragraphe 4.
Traduction par Emile Bertrand (1904)
==========================================
Comme Google peine à charger ce deuxième envoi (international) j'en
profite pour ajouter des liens, modifier quelques passages ...

Yanick Toutain

unread,
Mar 7, 2008, 2:02:19 AM3/7/08
to
http://fr.wikipedia.org/wiki/Physique_newtonienne
in wikipédia
Hass gegen Newton, Hass gegen die Leere, Hass gegen die
Geschwindigkeiten
absolut! relativistischer PropagandaHaufen!
Eine Schande!
=============================
die VRAIES-Quellen:
http://site.voila.fr/monsyte/de/SCIENCES/scphys/textes_scientifiques_...
=========================
Kein ernsthaftes Newtonzitat auf diesem Wikipédia ist dieser Text
dass fatras, das durch relativistische crétins geschrieben wurden,
dass der Materialismus von
Newton stört!!
Klickt es Einstein'sch eher, als sich anzuspannen online zu stellen
Buch „die Relativität“ von Einstein… (Payot), zieht es vor baver auf
Newton!

Die einzigen Kapitel des Buches von Einstein auf französisch, die sind
in
Linie sind auf MEINEM Standort: Einzig Kapitel 7 und 8, die ich habe
selbst
getippt auf MONSYTE!!!. sind zugänglich.
http://site.voila.fr/monsyte/de/SCIENCES/scphys/UneanalysecritiquedeE...
http://site.voila.fr/monsyte/de/SCIENCES/scphys/UneAnalyseCritiqueDeE...

[Ich warte darauf, dass diese müßig es von Relativisten sie tippen
Held: ALL meine Argumente sind prèts!!! Ich gehe nicht - noch!! -
es an ihrer Stelle zu tippen!!! …
........., aber….man würde sagen ................ dass sie NICHT seien
gepresst!!!!]

Die Relativistencrétins sind nicht einmal fähig, es zu machen sie
selbe ist es mich, der gegner von Einstein, der das einzige hat
französisch sprechende Vorstellung dieses Buches!!!!)

Nicht…. dieses klickt vorzieht es, die Spuren ablegen zu gehen von
sein
abendliche Spaziergänge auf den Seiten, die Newton gewidmet sind!

Diese égocentristesdummköpfe, die sich an das Zentrum des Universums
glauben, das
stellen sich vor, die freie Wahl des Bezugssystems zu haben, die nicht
immer haben
nicht einbegriffen die UNGLEICHHEIT der EMISSIONSPERIODEN von BILDERN
UND VON
IMAGES*-EMPFANGSPERIODEN… werden Newton verleumdnen mit
Propaganda für das crétin!!!
* was falsches (oder UNGEFÄHR) jedes Bezugssystem nicht absolut macht!

Eher als Rat bei den newtonistes ZU NEHMEN… dieses klickt
zieht es vor, seine schäbige Propaganda zu verkaufen…

Es ist DRINGLICH, dass die wikipédiaverwalter honnètes (wenn er in
bleibt) LÖSCHEN die Gesamtheit der Seiten, die behaupten, die Thesen
zu beschreiben von
Newton!!!

Sie sind ALLE der schäbigen Propaganda für die Relativität

… und ersetzen sie durch die AUFZÄHLUNG des ECHTEN TEXTES VON
NEWTON!!!
http://site.voila.fr/monsyte/de/SCIENCES/scphys/textes_scientifiques_...
dass ich getippt habe nach
Bildversion auf dem BNF (sie haben die Hauptsache noch nicht
digitalisiert
Buch der zwei Millennien!! was für eine Schande für dieses
„Bibliothekare“!!!)
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k29037w

Hört diesen Betrug, diese unwahre Propaganda auf!!!

Ich werde „keinen Seitenkrieg“ gegen die crétins machen
Relativisten…

…. Aber ich kann Sie gewährleisten, dass die unwahre Propaganda GEGEN
Newton wird schnell aufhören.
Und es sind nicht die Kritiker des Standortes futura Wissenschaften,
die gelöscht haben
mein proNewtontext, die den Betrug verlängern werden…

Es wird die Newtonglaubwürdigkeit (und meines) gegen die
Glaubwürdigkeit sein
von Wikipédia…
Und ich kann Sie gewährleisten, dass, wenn Sie nicht lassen, ich Sie
kann
zu gewährleisten, dass Sie nicht gewinnen werden!!!

Wir werden unsere absolute Geschwindigkeit demnächst kennen: die
Protokolle
ist bereit, man darf nur die Betrüger der Laboratorien überweisen!
+++++++++++++++++++++++++++++
+++++++++++++++++++++++++++++++
AUF LAGER und für Beweis:
die Spuren des relativistischen Betruges bavant auf der Newtonseite!
was folgt, ist einer zu kopieren, offen zu kleben, um zu verhindern
Betrüger die Debatten zu fälschen!!!
Sie machen nur das auf sci.physique seit 2002
Ihre Beleidigungen und ihr Schrei schäbiger crétins „Troll! Troll!“
geht
ihnen bald im gosier zu bleiben!!!
..... alle sehr weit weg von der wissenschaftlichen Szene!

Revolution!
+++++++++++++++++++++++++++
Gesetze der Newtonbewegung
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Die zwei ersten Newtongesetze in Latein in der Originalausgabe von
Principia Mathematica de 1687.
Die zwei ersten Newtongesetze in Latein in der Originalausgabe von
Principia Mathematica de 1687.

Die Gesetze der Newtonbewegung sind in der Tat Grundsätze an der Basis
von der großen Newtontheorie, was die Bewegung der Körper betrifft,
Theorie, die man heute nennt newtoniennemechanik oder noch
Klassische Mechanik. AN diesen allgemeinen Gesetzen der Bewegung, die
gegründet wurden, in
Privatperson auf dem Grundsatz der Relativität der Bewegungen, Newton
hat
hinzugefügt das Gesetz der universellen Gravitation, das erlaubt, zu
interpretieren
sowohl der Fall der Körper als auch die Bewegung des Mondes um
Erde.
Verzeichnis
[zu maskieren]

* 1 erstes Newtongesetz oder Trägheitsgrundsatz
o 1.1 Aussage
o 1.2 Problem des galiléenbezugssystems
* 2 zweites Newtongesetz oder Grundprinzip der Dynamik
von übertragung
o 2.1 Aussage
o 2.2 Unterricht des zweiten Newtongesetzes
o 2.3 Theorem der Quantität der Bewegung
o 2.4 Rückkehr zum Trägheitsgrundsatz
o 2.5 Bezugssysteme Nicht-galiléens
* 3 drittes Newtongesetz oder Grundsatz der gegenseitigen Aktionen
* 4 andere Newtongesetze
o 4.1 gravitationsmäßiges Wechselwirkungsgesetz
o 4.2 „fünfte logische Folge“ des Newton: Grundsatz von
Relativität
* 5 Geschichte und Epistemologie
o 5.1 historischer Zusammenhang
o 5.2 Epistemologie
* 6 Probleme und Grenzen
absolutes o 6.1 Universum
o 6.2 relativistische Grenzen
o 6.3 Quantengrenzen
* 7 Determinismus und Demonstration der Newtongesetze
o 7.1 Konzept von Laplace und von Noether
o 7.2 Bemerkung zum deterministischen Chaos
* 8 Vermerke

Erstes Newtongesetz oder Trägheitsgrundsatz [zu ändern]

Aussage [zu ändern]

Die Originalaussage des ersten Gesetzes der Bewegung [1], ist das
folgende  :

Jeder Körper beharrt auf dem Zustand der Ruhe oder einheitlicher
Bewegung
geradlinig, in dem er sich befindet, es sei denn, irgendeine Kraft
nicht wirkt auf ihn, und zwingt es nicht, Stand zu ändern.

Mit anderen Worten, wenn es keine Kraft gibt, die sich auf einem
Körper ausübt
(isolierter Körper), oder wenn die Summe mit den Kräften, die sich auf
ihm ausüben, entsprech ist
am Null-Vektor (Pseudo-isolierter Körper), normiert die Direktion und
es ihr
Geschwindigkeit wechseln nicht oder, was zum demselben zurückkommt,
ihre Beschleunigung
Osten kein. Dieses erste Gesetz invalidiert die Gesetze der Physik
von Aristote, nach denen man dachte, dass, um aufrechtzuerhalten
Geschwindigkeit eines Konstantenmotivs war es notwendig, ihm
anzuwenden
eine Kraft.

Obwohl Newton es nicht in seinem Werk festgelegt hat, ist dieses
Gesetz nicht
gültig das in einem galiléenbezugssystem. Das erste Newtongesetz
kann also in einer moderneren Sprache neu formuliert werden:

In einem Bezugssystem galiléen, der GeschwindigkeitsVektor des
Zentrums
von Trägheit eines Systems ist konstant, wenn und nur, wenn die Summe
von
KraftVektoren die sich auf dem System ausüben, ist ein Null-Vektor.

Problem des galiléenbezugssystems [zu ändern]
Detaillierter Artikel: Forschung eines Trägheitsbezugssystems.

Die Definition eines galiléenbezugssystems erscheint grundlegend und
ist
oft so formuliert  :

Ein galiléenbezugssystem ist ein Bezugssystem, in dem die Erste
Newtongesetz wird geprüft

So findet das erste Newtongesetz nur in einem Bezugssystem Anwendung
galiléen und ein galiléenbezugssystem ist ein Bezugssystem, wo die
Erste
Newtongesetz findet… Anwendung was scheint eine Definition zu sein
Rundschreiben. Um dieses Problem zu vermeiden kann man den Grundsatz
neu schreiben
von Trägheit wie folgt  :

Es gibt eine Familie Bezugssysteme mit der Bezeichnung galiléens
oder
Trägheits- wie hinsichtlich eines von diesen Bezugssystemen alles
angebrochen materiell isoliert (das keiner Außenaktion unterliegt),
ist
entweder an der Ruhe oder, die von einer geradlinigen und
einheitlichen Bewegung belebt wurde.

Die Bestimmung eines guten galiléenbezugssystems ist in Wirklichkeit
experimentell und wie oft in Physik allein geht die Kohärenz hinein
die Theorie (hier das erste Newtongesetz) und die Maßnahme (Bewegung
geradlinig einheitlich) gültig die nachträgliche Wahl.

Zweites Newtongesetz oder Grundprinzip der Dynamik von
übertragung [zu ändern]

Aussage [zu ändern]

Das Grundprinzip der übertragungsdynamik (PFDT) (manchmal
mit der Bezeichnung stellen sich grundlegende Beziehung der Dynamik
oder RFD) so dar:
Das heißt ein m-Körper konstanter Masse,

die Beschleunigung, die durch einen Körper in einem
galiléenbezugssystem erfahren wurde, ist
proportional zur Resultante mit den Kräften, die er erfährt, und
umgekehrt
proportional zu seiner Masse Herr.

Dies wird oft in der Gleichung wiederholt:

\ vec {a} = \ frac {1} {m} \ sum {\ vec {F_i}}

oder

\ sum {\ vec {F_i}} = m \ vec {a}

wo bezeichnet \ vec {F_i} die auf dem Gegenstand ausgeübten Kräfte, m
ist seine Masse,
und \ vec {an} entspricht der Beschleunigung seines Trägheitszentrums
G.

Unterricht des zweiten Newtongesetzes [zu ändern]

Die Studenten haben große Schwierigkeiten, um die Gesetze zu benutzen
von Newton, wie sie traditionell dargestellt werden und es ist nicht
nicht ohne Grund. In der Tat scheinen die Kräfte, sich auszuüben, als
ob sie
bestand in ihnen sogar, ex abrupto. Schlägt also eine Nachricht vor
Formulierung des Gesetzes, indem man es von seiner Arbeitsweise
begleitet um
dass jeder es vernünftig anwenden kann, das heißt in
argumentiert. In einem galiléenbezugspunkt die Summe mit den Kräften \
vec {F} _ {Oext/
B} (T), das die Gegenstände außerhalb des Gegenstands B auf B ausüben,
ist entsprech
am Produkt der mB-Masse B durch die Beschleunigung \ vec {an} _B (t)
von B:

\ sum \ vec {F} _ {Oext/B} (T) = m_B \ vec {a} _B (t)

Die Schrift lässt erscheinen, dass die Kräfte und die Beschleunigung
variieren an
cours du Zeit, während die Masse des Gegenstands angesehen wird als
konstant im Gültigkeitsbereich der Ansicht gewesenen und dass die
Geschwindigkeiten
makroskopische Gegenstände sind hinsichtlich der Geschwindigkeit
schwach von
Licht.

In den Problemen, die darauf abzielen, die Bewegung eines Gegenstands
B zu beschreiben
wenn er durch einen Punkt unveränderlich und représentable ist (das,
was man ruft
das Modell „des materiellen Punktes“), die Benutzungsverfahren sind
folgende:

* Durch den Gedanken den Gegenstand B auswählen, von dem man
beschreiben will
Bewegung.
* Alle Gegenstände klassieren, die ihm äußerlich sind, und die
üben eine „wesentliche“ Kraft auf B aus. um dort zu erreichen er ist
unentbehrlich, die Größenordnungen der verschiedenen zu kennen
Wechselwirkungen zwischen den materiellen Gegenständen in Anwesenheit
zu hierarchisieren; einzig intervenieren die stärksten in
Modellbau der Lage, wo das zu lösende Problem sich stellt.

Theorem der Quantität der Bewegung [zu ändern]

Eine allgemeinere, gültige Form ebenfalls, wenn die Masse am Kurs
wechselt
Zeit ist

Die Kraft entspricht den änderungen der Quantität der Bewegung
durch
Einheit von Zeit.

Dies wird oft in der Gleichung wiederholt:

\ sum {\ vec {F_i}} = \ frac {d \ vec {p}} {dt}

wo bezeichnen \ vec {F_i} die auf dem Gegenstand ausgeübten Kräfte, \
vec {p} = m
\ vec {v} ist die Quantität der Bewegung, die dem Produkt seiner m-
Masse entspricht
und von seiner Geschwindigkeit \ vec {v}.

Dieses Theorem wird Theorem der Quantität der Bewegung genannt. Für
einen
fester Körper fester Masse in newtoniennemechanik entspricht er
zweites Gesetz.

Somit ist die notwendige Kraft, um einen Gegenstand zu beschleunigen
das Produkt von
seine Masse und ihrer  beschleunigung: mehr ist die Masse eines
Gegenstands groß,
größer ist die erforderliche Kraft, um es mit einer Geschwindigkeit zu
beschleunigen
bestimmt (in einem festgelegten Zeitraum). Ungeachtet der Masse von
einem
Gegenstand, jede nicht-keine deutliche Kraft, die ihm Produkt
angewendet wird eine
Beschleunigung.

Rückkehr zum Trägheitsgrundsatz [zu ändern]

Für einen Körper, der einer Null-Resultante mit den Kräften
unterliegt, findet man wieder
gut das erste Newtongesetz, das heißt eine geradlinige Bewegung
Uniform. In erster Analyse kann man sich fragen, welches ist
der Nutzen des ersten Gesetzes, da sie scheint eine Folge zu sein
vom Zweiten. In Wirklichkeit in der Newtonaussage ist er davon nichts
denn das erste Gesetz wird nicht als ein besonderer Fall vorgelegt von
Zweites, aber als eine ausreichende bedingung für die Anwendung von
dieses
Letzter. In der Tat das erste Gesetz, ist es darzustellen zu behaupten
die Existenz der galiléensbezugssysteme. Das stellt ein Postulat dar
extrem sehr, das in den modernen Darstellungen der Mechanik erlaubt
klassisch die galiléensbezugspunkte zu definieren, die die
Bezugspunkte allein sind
in, ist welche das zweite Gesetz gültig. Mangels der Ersten
Gesetz ist das zweite Gesetz unanwendbar, da man nicht definieren kann
sein
Gültigkeitsgebiet. Folglich der logische Befehl in dem
Gesetze werden dargestellt ist nicht aber die Frucht des Zufalls jener
von einem
zusammenhängende intellektuelle Konstruktion.

Bezugssysteme Nicht-galiléens [zu ändern]
Detaillierter Artikel: Trägheitskraft.

Stellt schließlich fest, dass es möglich ist, breiter neu zu
formulieren
zweites Newtongesetz in einem Bezugssystem nicht galiléen, indem man
hinzufügt
Begriffe in der Gleichung, die an Kräften einheitlich sind, und die
man
nennt oft „Trägheitskräfte“. Diese Begriffe sind keine Kräfte
im gebräuchlichen Sinn, aber der korrektiven Begriffe geometrischen
Ursprungs und
kinematik.

Drittes Newtongesetz oder Grundsatz der gegenseitigen Aktionen [zu
ändern]

Jeder Körper A, der eine Kraft auf einem Körper B ausübt, erfährt
eine Kraft
von entsprech Intensität ebenso Direktion, aber für Gegensinn, die
ausgeübt wurde, von
der Körper B.

A und B, das zwei Körper in Wechselwirkung ist, die Kraft \ vec {F} _
{A/B}
(ausgeübt durch A auf B), et la force \ vec {F} _ {B/A} (ausgeübt
durch saures B A)
wer beschreiben die Wechselwirkung entgegengesetzt direkt:

\ vec {F} _ {A/B} = - \ vec {F} _ {B/A}

Im Falle der Mechanik des Punktes das dritte präzise Gesetz
ebenfalls:

\ vec {F} _ {A/B} \ wedge \ vec {AB} = \ vec 0  : die
Wechselwirkungskraft
durch die Rechte getragen wird, die die Positionen der Partikel
verbindet.

Diese Kräfte haben dieselbe Rechte der Aktion, Gegensinne und dieselbe
Norm. Diese zwei Kräfte werden immer direkt entgegengesetzt, dass A
und B
ist oder in Bewegung beweglos.

Dieses Gesetz wird manchmal Aktionsgesetz genannt - Reaktion, eine
Formulierung
bestenfalls ungenau am schlechtesten zahlreiche Verwirrungen
bewirkend. In
Privatperson, diese alte Formulierung befördern die Idee, die es gibt
immer eine Kraft, die die „Ursache“ (die Aktion) ist, die andere
seiend nicht
dass eine Art Folge (die Reaktion).
Eine andere von den Studenten begegnete Schwierigkeit ist das
Vergessen, das dieses


2 forces \ vec {F} _ {A/B} et \ vec {F} _ {B/A} s' exercent sur 2
corps

verschieden. Sie können sich also „    nicht gegenseitig annullieren“.
Die Annullierungswirkung erfolgt nur, wenn man ein System in Betracht
zieht
bestanden aus verschiedenen Körpern und die man sich für die
Resultante interessiert
 kräfte: in diesem Fall annullieren sich die inneren Kräfte in der
Tat,
und allein ist die Summe mit den Außenkräften, zu berücksichtigen
(dieses
wer ist glücklich, um die Bewegung eines bestehenden festen Körpers zu
untersuchen von
mehr als 1023 Elemente [2]).

Es empfiehlt sich, hier hervorzuheben, dass das Gesetz der
gegenseitigen Aktionen
am Nachteil die Anwendung mit den Kräften anzunehmen wie
augenblicklich (was in eingeschränkter Relativität aufgegeben wird).
In
Fall mit den Distanzkräften empfiehlt es sich in bestimmten Fällen
durchzuführen
Umwandlungen, um die Verbreitungsverspätung zu berücksichtigen.

Diese Verbesserung ergibt sich nicht aus der Relativität. Wie die
Kräfte
elektromagnetisch wenden sich auf Distanz an, man hatte hervorgehoben
dass diese Kräfte sich mit der Geschwindigkeit des Lichtes propagieren
und nicht an
unendliche Geschwindigkeit und eingeschlossen diese Nuance in den
Gleichungen vor
Revolution der eingeschränkten Relativität [3]

Andere Newtongesetze [zu ändern]

Gravitationsmäßiges Wechselwirkungsgesetz [zu ändern]
Detaillierter Artikel: Universelles Gesetz der Gravitation.

Einige Autoren (Minderheits-), bedarf vierten Newtongesetzes sein
Universelles Gesetz der Gravitation. Diese Bezeichnung ist sehr
anfechtbar, aber sie wird hier wegen der Verwandtschaft erwähnt
geschichtlicher überblick der  gesetze: wenn dieses Gesetz nicht zu
den Grundsätzen gehört von
die Mechanik ebenso wie die drei anderen und der Grundsatz von
Relativität bestand der erste Newtonerfolg darin, seine Gesetze zu
benutzen
Mechaniken plus sein gravitationsmäßiges Wechselwirkungsgesetz, um zu
beweisen
die empirischen Gesetze von Kepler. Es sind diese ersten Erfolge, die
stellte lange Zeit für die Beherrschung der Newtongesetze auf über
Wissenschaft.

Stellt fest, dass indem man dieses Gesetz und das Grundprinzip
kombiniert von
Dynamik beweist man die Vorhersage von Galilée, nach der in
Leere, alle Gegenstände fallen mit derselben Geschwindigkeit (indem
sie annimmt
implizit, dass Trägheit und gravitationsmäßige Masse entsprech sind).

„Fünfte logische Folge“ des Newton: Relativitätsgrundsatz [zu ändern]

Newton in seinem Principia hat das Relativitätskonzept hervorgehoben
von
Bewegung in den Definitionen, die dem ersten Buch vorausgehen.
Allerdings,
indem man in scholies II und das IV Konzept absoluten Raums einführt,
er setzt das solche Bezugssystemkonzept galiléen noch nicht frei
dass sie heute definiert wird. Andererseits macht Newton kein
Referenz, falls ein Bezugssystem nicht in geradliniger Bewegung ist
Uniform hinsichtlich es, dass er den absoluten Raum nennt. Seine
Ergebnisse
ist also in Bezugssystemen in Bewegung implizit gültig
geradliniges Uniform, aber keine Invalidierung der Gültigkeit seiner
Gesetze
in den beschleunigten Bezugssystemen nicht in Principia gegeben wird.
Er
notwendig sein wird, die Arbeiten von Coriolis und von Foucault an
XIXe Jahrhundert abzuwarten
damit das Bezugssystemkonzept galiléen, wie sie bekannt ist
heute setzt sich frei, und damit die Formeln der Bezugspunktänderung
in Richtung (oder seitdem), eines Bezugssystems werden nicht galiléen
aufgestellt.

Der Relativitätsgrundsatz stellt sich wie folgt   dar: „  zwei
Bezugssysteme
von Raum in übertragung geradlinig einheitlich einer hinsichtlich des
anderen
ist für die Gesetze der Mechanik entsprech.  “

(im Sinne von Newton müsste man sich auf die Bezugssysteme beschränken
in
einheitliche geradlinige Bewegung hinsichtlich des absoluten Raums in
ihm
erinnert, dass, wenn ein Bezugssystem in einheitlicher geradliniger
Bewegung ist
hinsichtlich eines Zweiten selbst in einheitlicher geradliniger
Bewegung
hinsichtlich des absoluten Raums dann ist das erste Bezugssystem in
einheitliche geradlinige Bewegung hinsichtlich des absoluten Raums)

Man kann es prüfen, indem man die drei ersten Gesetze annimmt,
die Invarianz der Zeit von der impliziten Masse und mit den Kräften
(in
Vor-Einstein'sche Physik). Deshalb wird dieser Grundsatz hier genannt
logische Folge.

Dieser Grundsatz wird Relativitätsgrundsatz galiléenne gesagt, denn
man in
findet die Spur im berühmten Dialog von Galilée, obwohl Galilée
angenommen hatte, dass es ebenso für eine einheitliche Umdrehung war.

Eine modernere Formulierung behauptet als alle Gesetze von
Physik ist dasselben für zwei Bezugssysteme von Raum in übertragung
geradliniges Uniform eines hinsichtlich des anderen. Es ist dieses
starke Formulierung, die der eingeschränkten Relativität zugrunde
liegt.

Bemerkung: Das heliozentrische Bezugssystem wird (im Allgemeinen
erwogen
wie) galiléen und es ist in diesem Bezugssystem, dass untersucht
werden
Bewegungen der Planeten und der Raumfahrtsonden. Erwägen
géocentrique Bezugssystem als galiléen, während das Zentrum von
Erde ist in Beschleunigung um die Sonne, läuft darauf hinaus zu
vernachlässigen
Gezeitenkräfte. Das Erdbezugssystem als galiléen ansehen
läuft darauf hinaus, die zentrifugale Komponente zu vernachlässigen in
„  pesanteur  “ und
die Kraft von Coriolis, wenn der materielle Punkt in Bewegung ist. Von
einer
pragmatische Art und Weise, Wissen zu finden, welcher Grad der
Schätzung einer
Bezugssystem kann (angesehen werden als) galiléen ist eine Suche ohne
zurückgedrängtes Aufhören.

Geschichte und Epistemologie [zu ändern]

Historischer Zusammenhang [zu ändern]

Isaac Newton hat seine Gesetze im ersten Tonvolumen dargestellt
Philosophiae Naturalis Principia Mathematica in 1687 und mittels
neue mathematische Werkzeuge, die er entwickelt hat, hat er viel
bewiesen
von Ergebnissen hinsichtlich der Bewegung der idealisierten Partikel.

Einige Newtonverleumder sagen, dass er sich von den Arbeiten leiten
gelassen habe
von Galilée, um seinen ersten Grundsatz zu schreiben (indem man fast
zurücknimmt
die Aussage von Galilée: Wird „  jeder Körper in seiner Bewegung
andauern von
gerade Linie eternamad, wenn er keiner  kraft unterliegt“, in
fügt allerdings das Gleichmäßigkeitskonzept der Bewegung hinzu).

Es empfiehlt sich abzustufen: wenn Newton Kenntnis der Arbeiten hätte
von
Galilée, seine Rolle hat darin bestanden, die Ideen von Galilée zu
formalisieren und von in
die Konsequenzen zu ziehen, die erlaubt haben, die Mechanik zu bauen.
Wenn Newton „  bestätigt, wenn ich weiter sah als die anderen, ist es
weil ich durch Riesenschultern getragen worden bin.  “, der Leser
unterrichtet soll zu begreifen, dass die Arbeit sich einträgt in
Kontinuität von jenem von Galilée. In der Tat könnte man sogar sagen
wie
Newton hat nicht festgelegt, dass der Trägheitsgrundsatz und der
Grundsatz von
Relativität, auf denen er sich basiert hat, um zu bauen alles
Mechanik sind von Galilée verordnet worden, ganz einfach, weil er
glaubt, dass der Leser es soll, zu wissen!

Die zwei ersten Volumen sind mathematisch. Im Dritten
Volumen, die natürliche Philosophie (alte Bezeichnung der Physik
natürliche Phänomene wird)   erklärt: er hat gezeigt, wie seine
Gesetze
von der Bewegung kombiniert an ihrem universellen Gesetz der
Gravitation
erklärt die Bewegung der Planeten und erlaubt, die Gesetze abzuleiten
von Kepler.

Im Jahre 1905 die Theorie der eingeschränkten Relativität von Albert
Einstein
zeigt, dass das Konzept absoluter Zeit ein Konzept ist, das nicht gibt
richtige Ergebnisse die mit den viel kleineren Geschwindigkeiten als
Geschwindigkeit des Lichtes. Andere Folge der eingeschränkten
Relativität,
kein materieller Körper kann eine Geschwindigkeitsbegrenzung mit der
Bezeichnung c überschreiten,
betrachtet man bis zu heute, dass sie entspricht
Schnelligkeit des Photons, die durch Definition festgelegt worden ist
auf: c = 299.792.458
m/s, was den Meter mit derselben relativen Genauigkeit definiert wie
Sekunde (von 10-15).

Ebenso im Jahre 1915, indem man den Relativitätsgrundsatz, Einstein
verallgemeinert
schlägt seine Theorie der Gravitation, noch vor im Jahre 2005, die
nicht getestet wurde, in
ein in Astronomie Erd-, aber geprüftes das und nicht Laboratorium,
invalidiert wurde,
mit einer wachsenden Genauigkeit. Diese Theorie schlägt eine
Verbreitung vor
von der Gravitation mit der Geschwindigkeit des Lichtes, die die
Verbreitung vermeidet an
unendliche Geschwindigkeit, die durch die Newtongleichungen
aufgedrängt wurde. Diese Nachricht
Vorstellung des Ernstes unterstreicht die Bedeutung des zugelassenen
vorherigen Ergebnisses
durch folgendes Newton, das die Trägheit der Masse entspricht
gravitationsmäßig.

Trotz allem bleibt dieses Gebäude der Grundsätze ein Monument des
Gedanken
menschlich. Diese einfachen Gesetze erlauben allein zu bauen alles
die gebräuchliche Mechanik, das heißt die ganze Physik zu beschreiben
ausgenommen die Quanten- oder relativistischen Situationen.

Die Vorhersage der Bewegung der Planeten durch die Newtongleichungen
war bemerkenswert. Und in Anbetracht der Wechselwirkungen der
Planeten,
die Abweichung allein hinsichtlich der Wirklichkeit war der kleine
Rückstand von
43 " von Bogen pro Jahrhundert für den Vorsprung der
Quecksilbersonnennähe und hat er
notwendig gewesen die allgemeine Relativität, um es zu erklären.

Und im gemeinsamen Leben der schwachen Geschwindigkeiten (andere also,
dass
die Architektur „  relativiste  “ der Gebäude des LHC an CERN) man es
gut zufrieden gestellt von diesen Gesetzen der praktischen
Gebrauchsbewegung.

Und, sobald man die Genauigkeit allerletzte (zum Beispiel, beste will
Genauigkeit der Systeme von globaler Lokalisierung, GPS oder Galileo),
dann weiß man, dass man Newton durch Einstein leicht verbessern muss
(„
die Riesen stehen sich…   bei“!)oder durch Heisenberg, wenn man
untersucht
Atome.

Epistemologie [zu ändern]

Die oben erwähnten Gesetze sind in Form gestellt und sind durch Newton
verordnet worden.
Aber die Grundlagen stammen aus früheren Arbeiten: Galilée,
Torricelli, Descartes, Huygens, Hooke, „ich bin getragen worden von
Riesenschultern. “ erkannte selbst Newton an.

Andererseits, wie es Ernst Mach [4] hervorgehoben hat:

Man erkennt ohne Leiden wieder, dass Gesetz I und II enthalten
sind in
die vorher bestimmten Definitionen mit der Kraft. Nach diesen,
es kann in der Tat mangels jeder Kraft nur die Ruhe geben
oder die einheitliche geradlinige Bewegung. Es ist eine Tautologie
ganz
unnötig zu wiederholen, dass die Veränderung der Bewegung proportional
ist zu
die Kraft, nachdem gestellt zu haben, dass die Beschleunigung die
Maßnahme von jener ist
ci. Er hatte ausreicht zu sagen, dass die bestimmten Definitionen
nicht seien
willkürliche und mathematische Definitionen, aber entsprachen
Versuchseigenschaften der Körper.

In dieser Kritik verweist Mach auf Definition IV von
Principia, das das Kraftkonzept, grundlegende einführt in
Physik:

Die gedruckte Kraft (impressaschraube), ist die Aktion, durch die
der Staat
vom Körper gewechselt wird entweder, dass dieser Stand oder die Ruhe
oder die Bewegung
Uniform geradlinig. [1]

Aber man kann noch weiter gehen  : die Erhaltung der Quantität
von Systembewegung aufgerichtet werden kann im Prinzip Erste von
Mechanik. Dieses Vorgehen stellt den Vorteil dar, auf einem zu beruhen
Konzept, die Quantität der Bewegung erlaubt, von den Problemen zu
handeln von
relativistische Bewegungen.

Außerdem das dritte Gesetz erlaubt, das Wechselwirkungskonzept
einzuführen
unbedingt nicht trivial, aber sie dermaßen grundlegende in Physik. AN
das Zeitalter ist dieses Gesetz eine Absurdität, wenn man verweist zum
Beispiel
am Gesichtspunkt von Aristote bei dem die Magie und andere Aktionen an
Distanz bestehen nicht im Rahmen der Physik. Erinnert daran, dass
Magnetismus wird seit von Magnete von Gilbert interpretiert durch „
spektrale Linien  “ oder Wirbel. Ebenso die Ursache von
Gravitation wird durch Descartes via einer Theorie (falsch)
interpretiert, von
Wirbel so widersprüchlich, dass sogar Huygens nicht mehr daran glaubt.
Durch
gegen wird Newton in einem Satz erklären, der berühmt geblieben ist:
Hypothesen
nicht fingo werde ich die allerletzte Ursache der Gravitation nicht
suchen.
Gravitation „  drückt sich  “ durch das zentripetale Gesetz aus, das
er
stellt dar, er macht keine Annahme auf der Art dieser Kraft.

Newton kam also kühn außerhalb des Rahmens heraus, der durch die
Physik aufgedrängt wurde von
das Zeitalter daher eine leidenschaftliche Kritik die augenblickliche
Distanzaktion
ablehnend (sie behinderte im Übrigen an Newton selbst) wie
unsinnig (Rømer hatte soeben die Begrenztheit der Schnelligkeit
gezeigt von
Licht). Im Jahre 1915 wird Einstein eine Hypothese vorschlagen
weniger, die schockiert:
die Gravitation propagiert sich mit der zulässigen Geschwindigkeit c.

Probleme und Grenzen [zu ändern]

Absolutes Universum [zu ändern]
Detaillierter Artikel: Newtonsche Zeit.

Newton hatte sich   beworben: es gibt einen Raum und eine absolute
Zeit.

In der Tat konnte man auf eine ganze Klasse so genannter Bezugssysteme
ausdehnen „
Trägheits “ das Konzept absoluten Raums  : Suche ohne Ende, aber
außerdem
legt außerdem fest. Wenn kein gebräuchliches Bezugssystem vollkommen
ist
Trägheits- kann man wenigstens beweisen, dass sie bestehen. Aber
Newton hat gehabt
Unrecht nicht völlig Galilée zu glauben, das die Gleichwertigkeit
verteidigte
zwischen einem Bezugssystem und einem anderen, die sich mit konstanter
Geschwindigkeit entwickeln durch
Bericht am Ersten.

Dagegen misstraute sich Newton von der absoluten Zeit  : er wusste,
dass in
der Ausdruck seines PFD ändert den Zeitmaßstab, und wechselte. Er
fähig gelehrt benutzt. Aber selbstverständlich musste man eine nehmen
 entscheidung: welcher Zeitmaßstab zu wählen? , was mehr erschien
einfach war das bekannte Gesetz von Kepler. Und alles war
zusammenhängend.

Die Konzepte relativer Zeit, der Begrenztheit der Geschwindigkeiten
von
Synchronisierung und des Transportes der Zeit werden noch erfordern
viele Entdeckungen, bevor Unterredungen zu sein. Er hat also gewählt
absolute und verordnete dynamische Zeit  : die absolute Zeit läuft
sich aus
gleichmäßig. Es ist diese t-Variable, die erfolgt, wenn man schreibt

v = \ frac {dx} {dt},

dann

a = \ frac {dv} {dt}.

Diese absolute Zeit wird im Allgemeinen angenommen, solange man sich
nicht gebraucht
eingeschränkte Relativität. Aber er stellt trotzdem eine Hypothese dar
philosophisch stark, das regelmäßig durch Leibniz diskutiert worden
ist
insbesondere, das   sagte:

Habe „  ich mehr einmal markiert, dass ich den Raum hielt für
einig
Sache rein relativen wie die Zeit; für einen Befehl von
Koexistenz, da die Zeit ein Hinterlassenschaftsbefehl ist…  “

Relativistische Grenzen [zu ändern]
Detaillierter Artikel: Eingeschränkte Relativität.

Eine der großen Schwierigkeiten der Newtontheorien, die auf den
neuesten Stand gebracht wurde von,
XVII. Jahrhundert ist das Konzept augenblicklicher Distanzaktion.
Newton ihn
sogar genauso durch diese gegenwärtige Annahme behindert wurde in ihr
Theorie der Gravitation nur in ihrem dritten Gesetz.
Später im Laufe des XVII. Jahrhunderts eine bestimmte Anzahl von
Schwierigkeiten,
was den Elektromagnetismus betrifft insbesondere hoben ebenfalls
hervor, dass
die Newtongrundsätze konnten kein Konto im Stand zurückgeben von
alle mechanischen oder kinematischen Probleme.

Die eingeschränkte Relativität beweist heute, dass keine
Wechselwirkung
propagiert sich schneller als die Geschwindigkeit des Lichtes und
verschiebt also
definitiv in Ursache die augenblicklichen Wechselwirkungen. Außerdem
sie
zeigt, dass für Gegenstände, deren Geschwindigkeit nah an jener ist
Licht, die Newtongesetze sind nicht höchstens eins gute Schätzung. In
gemacht erlauben die Formeln der eingeschränkten Relativität
die newtoniennephysik als eine Schätzung anzusehen in
nimmt c an unendlich.

So werden die Newtongesetze nicht von Einstein   widerlegt; an
Gegenteil, die Relativität erlaubt, die Newtongleichungen zu
rechtfertigen
in den Fällen schwacher wegzugehender Geschwindigkeiten, indem man es
nachvollziehbar macht
von einer allgemeineren Theorie, die es einschließt.

Andererseits sogar in eingeschränkter Relativität respektieren die
Kräfte
immer ein Theorem der machenden der Bewegung, aber angepassten
Quantität
der Faktor von Lorentz zu erscheinen. Das Theorem der Quantität von
Bewegung ist also ein sehr mächtiges Theorem, da er erlaubt
die Gesetze von Newton abzuziehen, falls die schwachen
Geschwindigkeiten
erlaubt. Im gegenteiligen Fall erfolgt er in den Ergebnissen von
die eingeschränkte Relativität.

Es wäre natürlich absurd zu sagen, dass die Newtongesetze seien
falsch. Der Fall eines Körpers auf Erde ist ein Fall, wo die
Verbesserungen
gebracht durch die Relativität sind geringfügig, wie für die Mehrzahl
von
tägliche Anwendungen der klassischen Mechanik.

Andererseits eine Lage, wo die Ergebnisse radikal geändert werden
ist jene zum Beispiel der Teilchenbeschleuniger von CERN.
Die kinetische Energie, die einem Lastenpartikel q durch einen
gebracht wurde
Spannung V ist qV wert. Mit TeraVolt (1 000 Milliarden Volt) von
CERN findet man klassisch für ein Elektron eine Geschwindigkeit
2.000.000
Mal, das höher ist als die Geschwindigkeit des Lichtes. Die
Istgeschwindigkeit,
gerechnet im relativistischen Rahmen ist jene des verminderten Lichtes
von
einige Mikron/Sekunde. Es ist also wesentlich, gut zu unterscheiden
Situationen, wo die Newtongesetze von jenen gültig sind, wo sie
ist brauchbarer.

Quantengrenzen [zu ändern]
Detaillierte Artikel: Quanten- und Unsicherheitsgrundsatz.
Diese Sektion ist leer, nicht ziemlich detailliert oder unvollständig.
Ihre Hilfe
sind willkommen!

Determinismus und Demonstration der Newtongesetze [zu ändern]
Detaillierte Artikel: Determinismus und Theorie des Chaos.

Konzept von Laplace und von Noether [zu ändern]

Die Newtongesetze können ab Thesen mehr gebaut werden
abstrakt.

Die Newtongesetze haben die kritische Analyse von Laplace erfahren
dann Mach,
dann Poincaré dann von Kolmogorov.

Nach ihrer Analyse kann das Grundprinzip der Dynamik sein
zurückgebracht auf eine Folge des Determinismus, die von Laplace
genannt wurde in, sein
behandelt auf der  wahrscheinlichkeit:

wenn man die Anfangsposition x0 und die Anfangsgeschwindigkeit
kennt v0,
dann die Gleichung des so genannten Grundprinzips der Dynamik (PFD)
dass die Kraft, die F ist (x, v, t  ), es ausreicht, diese Gleichung
zu lösen
différentielle, um die Zukunft und die Vergangenheit des Partikels zu
bestimmen,
x (t  ) und v (t  ).

So die hamiltonienne Umlaufbahn des Elektrons im Plan der Phasen
[x (t  ) p (t  )] durch PFD bestimmt wird. Es ist alles das, was
bestätigt dieses
Grundsatz, da außerdem man versuchsweise finden muss
f-Gesetz (x, v, t  ).

Selbst wenn der Determinismus, wie es Laplace definiert leidet unter
Grenzen,
es ist dennoch möglich zu zeigen, dass das Theorem der Quantität
von Bewegung beruht auf den selben Grundsätzen der Physik: es ist in
Wirkung eine Folge des Theorems von Noether.

Bemerkung zum deterministischen Chaos [zu ändern]
Diese Sektion ist leer, nicht ziemlich detailliert oder unvollständig.
Ihre Hilfe
sind willkommen!

Vermerke [zu ändern]

1. ↑ an   b   Principes mathematische der natürlichen Philosophie
Nach der übersetzung des Lateinn auf französisch durch Émilie des
kleinen Schloßes
(1756).
2. ↑. Diese Zahl stellt fast die Anzahl Avogadro dar, das
geben die Größenordnung der Anzahl der Partikel, die in einem
enthalten sind
makroskopischer Körper.
3. ↑ Trotzdem die Existenz einer Geschwindigkeit des absoluten
Lichtes
(unabhängig vom Studienbezugssystem), sind unvereinbar mit dem Gesetz
von additivité der Geschwindigkeiten der newtoniennemechanik und
bildet
grundlegender Grund, aus dem letztere aufgegeben worden ist an
Profit der Relativität.
4. ↑ Die Mechanik. Historische und kritische Darstellung des Tones
Entwicklung Kapitel II Entwicklung der Grundsätze der Dynamik,
Sektion VII synoptische Kritik der Aussagen von Newton, Paragraphen 4.
Übersetzung durch Emile Bertrand (1904)
==========================================
Wie Google betrübt, diese zweite Sendung (international) zu beladen,
ich in
profitieren, um Verbindungen hinzuzufügen, einige übergänge zu ändern…

Yanick Toutain

unread,
Mar 7, 2008, 2:06:17 AM3/7/08
to
http://fr.wikipedia.org/wiki/Physique_newtonienne
in wikipédia
Odio contro newton, odio contro il vuoto, odio contro le velocità
assolute! ramassis di propaganda relativistica!
Una vergogna!
=============================
le fonti VRAIES:
http://site.voila.fr/monsyte/de/SCIENCES/scphys/textes_scientifiques_...
=========================
Alcuna citazione seria di newton, su questo Wikipédia, questo testo
non è
che un ammasso scritto da crétins relativistici che il materialismo di
Newton disturba!!
La preme einsteinienne piuttosto che di mettersi a mettere in linea
libro “la relatività„ di Einstein… (Payot) preferisce gocciolare su
Newton!

I soli capitoli del libro di Einstein in francesi che sono in
linea è nel MIO sito: Solo i capitoli 7 e 8 che ho io stesso
dattilografati su MONSYTE!!!. sono accessibili.
http://site.voila.fr/monsyte/de/SCIENCES/scphys/UneanalysecritiquedeE...
http://site.voila.fr/monsyte/de/SCIENCES/scphys/UneAnalyseCritiqueDeE...

(Attendo che questi pigri di relativistes li dattilografano
eroe: TUTTE le mie argomentazioni sono prèts!!! Non vado - ancora!! -
dattilografarlo al loro posto!!! …
......... ma….si direbbe ................ che non sono
premuti!!!!)

Gli crétins relativistes non sono neppure capaci di farlo loro
stessi, è io, l'avversario di Einstein che ha la sola
presentazione francofona di questo bouquin!!!!)

Non…. questo preme preferisce andare depositare le tracce di il suo
passeggiate vespérales sulle pagine dedicate a newton!

Quest'imbecilli égocentristes che si credono al centro dell'universo,
che
si immaginano avere la libera scelta del referenziale, che non hanno
sempre
non compresi la DISEGUAGLIANZA dei PERIODI d'EMISSIONE di IMMAGINI ED
di
PERIODI di RICEZIONE di IMAGES*… vengono calomnier newton con
propaganda per lo crétin!!!
* e questo rende ogni referenziale falso (o APPROSSIMATIVO) non
assoluto!

Piuttosto che DI PRENDERE consiglio presso i newtonistes… questo preme
preferisce erogare la sua propaganda minabile…

È URGENTE che gli amministratori di wikipédia honnètes (se egli in
resta) CANCELLANO la totalità delle pagine che pretendono di
descrivere le tesi di
Newton!!!

Sono TUTTE della propaganda minabile per la relatività

… e li sostituiscono con la DIGITALIZZAZIONE del VERO TESTO di
NEWTON!!!
http://site.voila.fr/monsyte/de/SCIENCES/scphys/textes_scientifiques_...
che ho dattilografato secondo
versione immagine sulla BNF (non hanno ancora digitalizzato il
principale
libro dei due millenni!! quale vergogna per queste
“bibliotecari„!!!)
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k29037w

Cessate quest'imposture, questa propaganda menzoniera!!!

Non farò “una guerra di pagina„ contro gli crétins
relativistes…

…. Ma posso garantirli che la propaganda menzoniera CONTRO
Newton cesserà rapidamente.
E non sono i critici della località futura scienze che hanno
cancellato
il mio testo proNewton che prolungheranno il imposture…

Sarà la credibilità di newton (e lo la mia) contro la credibilità
di Wikipédia…
E posso garantirli che, se non cedete, li posso
garantire che non guadagnerete!!!

Conosceremo la nostra velocità assoluta prossimamente: i protocolli
sono pronti, occorre soltanto trasferire i imposteurs dei laboratori!
+++++++++++++++++++++++++++++
+++++++++++++++++++++++++++++++
In STOCK e per prova:
le tracce della imposture relativistico che gocciolano sulla pagina di
newton!
ciò che segue è uno copiare attaccare alla rinfusa, per impedire
imposteurs truquer i dibattiti!!!
Fanno soltanto quello su sci.physique dal 2002
I loro insulti ed il loro grido di crétins minabili “Troll! troll!„ va
presto restare loro nel gosier!!!
..... tutti molto lontano dalla scena scientifica!

Rivoluzione!
+++++++++++++++++++++++++++
Leggi del movimento di newton
Un articolo di Wikipédia, l'enciclopedia libera.
(Redirigé da fisica newtonienne)
Andare a: Navigazione, ricercare
Le prime due leggi di newton in latino nell'edizione originale di
Principia Mathematica de 1687.
Le prime due leggi di newton in latino nell'edizione originale di
Principia Mathematica de 1687.

Le leggi del movimento di newton sono in realtà dei principi alla base
della grande teoria di newton che riguarda il movimento dei corpi,
teoria che si nomina oggi meccanica newtonienne o anche
Meccanica classica. A queste leggi generali del movimento fondate in
privato sul principio di relatività dei movimenti, newton ha
aggiunto la legge della gravitazione universale che permette di
interpretare
tanto la caduta dei corpi che il movimento della luna a
Terra.
Indice
(mascherare)

* 1 prima legge di newton o principio d'inerzia
o 1.1 enunciato
o 1.2 problema del referenziale galiléen
* 2 seconda legge di newton o principio fondamentale della
dinamica
di traslazione
o 2.1 enunciato
o 2.2 insegnamento della seconda legge di newton
o 2.3 teorema della quantità di movimento
o 2.4 ritorno sul principio d'inerzia
o 2.5 referenziali non galiléens
* 3 terza legge di newton o principio delle azioni reciproche
* 4 altre leggi di newton
o 4.1 legge d'interazione gravitazionale
o 4.2 “quinto corollario„ di newton: principio di
relatività
* 5 storia ed epistemologia
o 5.1 contesto storico
o 5.2 epistemologia
* 6 problemi e limiti
o 6.1 universi assoluto
o 6.2 limiti relativistici
o 6.3 limiti quantici
* 7 Déterminisme e dimostrazione delle leggi di newton
o 7.1 approccio di Laplace e di Noether
o 7.2 osservazione sul caos deterministico
* 8 note

Prima legge di newton o principio d'inerzia (modificare)

Enunciato (modificare)

L'enunciato originale della prima legge del movimento (1) è il
seguente  :

Qualsiasi corpo persevera nello stato di riposo o di movimento
uniforme
in linea retta nel quale si trova, a meno che qualche forza
non agisce su lui, e non lo forza a cambiare stato.

In altre parole, se non ci sono forze che si esercitano su un corpo
(corpo isolato), o se la somma delle forze che si esercitano su lui è
uguale
al vettore nullo (corpo pseudo-isolato), la direzione e la norma di il
suo
velocità non cambia o, cosa che ritorna allo stesso, la sua
accelerazione
est nulla. Questa prima legge annulla le leggi della fisica
da Aristote, secondo i quali si pensava che per mantenere
velocità di un apparecchio mobile costante, era necessario applicarle
una forza.

Benché newton non lo abbia precisato nel suo lavoro, questa legge non
è
valido che in un referenziale galiléen. La prima legge di newton
può dunque essere riformulata in una lingua più moderna:

In un referenziale galiléen, il vettore velocità del centro
d'inerzia di un sistema è costante se e soltanto se la somma di
vettori forze che si esercitano sul sistema sono un vettore nullo.

Problema del referenziale galiléen (modificare)
Articolo dettagliato: Ricerca di un referenziale inerziale.

La definizione di un referenziale galiléen appare fondamentale ed è
spesso formulato così  :

Un referenziale galiléen è un referenziale nel quale la prima
legge di newton è verificata

Così la prima legge di newton si applica soltanto in un referenziale
galiléen ed un referenziale galiléen è un referenziale dove la prima
legge di newton si applica… ciò che sembra essere una definizione
circolare. Per evitare questo problema, si può riscrivere il principio
d'inerzia come segue  :

Esiste una famiglia di referenziali, chiamati galiléens o
inerziali, come, rispetto ad uno di questi referenziali, tutto
punto materiale isolato (che non è presentato ad alcun'azione esterna)
è
sia a riposo, sia animato di un movimento rettilineo ed uniforme.

La determinazione di un buon referenziale galiléen è in realtà
sperimentale e come spesso in fisica, solo la coerenza entra
la teoria (qui la prima legge di newton) e la misura (movimento
rettilineo uniforme) valido la scelta a posteriori.

Seconda legge di newton o principio fondamentale della dinamica di
traslazione (modificare)

Enunciato (modificare)

Il principio fondamentale della dinamica di traslazione (PFDT) (a
volte
chiamata relazione fondamentale della dinamica o RFD) si enuncia così:
Sia un corpo di massa m costante,

l'accelerazione subita da un corpo in un referenziale galiléen è
proporzionale al risultante delle forze che subisce, e per contro
proporzionale alla sua massa sig.

Questo è spesso ricapitolato nell'equazione:

\ vec {a} = \ frac {1} {m} \ sum {\ vec {F_i}}

o

\ sum {\ vec {F_i}} = m \ vec {a}

dove \ vec {F_i} designa le forze esercitate sull'oggetto, m è la sua
massa,
e \ vec {a} corrisponde all'accelerazione del suo centro d'inerzia G.

Insegnamento della seconda legge di newton (modificare)

Gli studenti incontrano grandi difficoltà per utilizzare le leggi
di newton così come sono tradizionalmente enunciate e non è
non senza ragione. Infatti le forze sembrano esercitarsi come se esse
esistevano in esse anche, ex abrupto. Proponiamo dunque notizie
formulazione della legge accompagnandola dal suo modo operativo allo
scopo
che ciascuno possa applicarlo razionalmente, cioè in
sostenendo. In un riferimento galiléen la somma delle forze \ vec {F}
_ {Oext/
B} (T) che gli oggetti esterni all'oggetto B esercitano su B è uguale
al prodotto della massa mB di B con l'accelerazione \ vec {a} _B (t)
di B:

\ sum \ vec {F} _ {Oext/B} (t) = m_B \ vec {a} _B (t)

La scrittura fa apparire che le forze e l'accelerazione variano a
cours du tempo, mentre la massa dell'oggetto è considerata come
costante nel settore di validità considerato e che le velocità
oggetti macroscopici sono deboli rispetto alla velocità di
luce.

Nei problemi che mirano a descrivere il movimento di un oggetto B
quando è immuable e rappresentabile con un punto (ciò che si chiamano
il modello “del punto materiale„), le procedure d'utilizzo sono
le seguenti:

* Scegliere con il pensiero l'oggetto B di cui si vuole descrivere
movimento.
* Indicizzare tutti gli oggetti che gli sono esterni e che
esercitano una forza “considerevole„ su B. per giungervi egli è
indispensabile conoscere gli ordini di dimensione delle diverse
interazioni tra gli oggetti materiali in presenza per
gerarchizzare; solo i più intensi intervengono in
costruzione di modelli della situazione dove si pone il problema da
risolvere.

Teorema della quantità di movimento (modificare)

Una forma più generale, valida anche se la massa cambia al corso
un tempo è

La forza è uguale ai cambiamenti di quantità di movimento con
unità di tempo.

Questo è spesso ricapitolato nell'equazione:

\ sum {\ vec {F_i}} = \ frac {d \ vec {p}} {dt}

dove \ vec {F_i} designa le forze esercitate sull'oggetto, \ vec {p} =
m
\ vec {v} è la quantità di movimento, uguale al prodotto della sua
massa m
e della sua velocità \ vec {v}.

Questo teorema è chiamato teorema della quantità di movimento. Per uno
solido di massa fissa in meccanica newtonienne, è equivalente a
seconda legge.

Così, la forza necessaria per accelerare un oggetto è il prodotto di
la sua massa e della sua accelerazione  : più la massa di un oggetto è
grande,
più grande è la forza richiesta per accelerarlo ad una velocità
determinata (in un lasso di tempo fissato). Indipendentemente dalla
massa di uno
oggetto, ogni forza netta non nulla che gli è applicata prodotto una
accelerazione.

Ritorno sul principio d'inerzia (modificare)

Per un corpo sottoposto ad un risultante delle forze nullo si trova
bene la prima legge di newton, cioè un movimento rettilineo
uniforme. In prima analisi, ci si può chiedere quale è
l'utilità della prima legge poiché sembra essere una conseguenza
del secondo. In realtà, nell'enunciato di newton, non è così
poiché la prima legge non è presentata come un caso particolare di
secondo ma come una condizione sufficiente all'applicazione di questa
ultimo. Infatti, enunciare la prima legge, sono affermare
l'esistenza dei referenziali galiléens. Ciò costituisce un postulato
estremamente molto che permette, nelle relazioni moderne della
meccanica
classico, di definire i riferimenti galiléens che sono i soli
riferimenti
in quali la seconda legge sono validi. In mancanza della prima
legge, la seconda legge è inapplicabile poiché non si può definire il
suo
settore di validità. Di conseguenza, l'ordine logico nel quale
leggi sono enunciate non è il frutto dell'occasione bensì quello di
una
costruzione intellettuale coerente.

Referenziali non galiléens (modificare)
Articolo dettagliato: forza d'inerzia.

Notiamo infine che è possibile riformulare in modo più ampio
seconda legge di newton in un referenziale non galiléen aggiungendo
termini nell'equazione che sono omogenei a forze, e che si
chiama spesso “forze d'inerzia„. Questi termini non sono forze
ai sensi usuale ma dei termini correttivi d'origine geometrica e
cinematica.

Terza legge di newton o principio delle azioni reciproche (modificare)

Ogni corpo A che esercita una forza su un corpo B subisce una
forza
d'intensità uguale, di stessa direzione ma di senso opposto,
esercitata da
il corpo B.

Essendo A e B due corpi in interazione, la forza \ vec {F} _ {A/B}
(esercitata da A su B) et la force \ vec {F} _ {B/A} (esercitata da B
aspro A)
chi descrivono l'interazione sono direttamente opposte:

\ vec {F} _ {A/B} = - \ vec {F} _ {B/A}

Nel caso della meccanica del punto, la terza legge precisa
anche:

\ vec {F} _ {A/B} \ wedge \ vec {AB} = \ vec 0  : la forza
d'interazione
è portato dalla destra che collega le posizioni delle particelle.

Queste forze hanno la stessa destra d'azione, sensi opposti e la
stessa
norma. Queste due forze sono sempre direttamente opposte, che A e B
sono immobili o in movimento.

Questa legge è a volte chiamata legge d'azione - reazione, una
formulazione
al massimo vaga, al peggiore comportando numerose confusioni. In
privato, questa vecchia formulazione trasporta l'idea che c'è
sempre una forza che è “la causa„ (l'azione), essendo l'altra
che un tipo di conseguenza (la reazione).
Un'altra difficoltà incontrata dagli studenti è la dimenticanza che
queste


2 forces \ vec {F} _ {A/B} et \ vec {F} _ {B/A} s'exercent sur 2 corps

diversi. Non possono dunque “  annullarsi reciprocamente  „.
L'effetto d'annullamento interviene soltanto quando si considera un
sistema
costituito da vari corpi e che ci si interessa al risultante
forze  : in questo caso, le forze interne si annullano infatti,
e solo la somma delle forze esterne è da considerare (questo
chi è felice per studiare il movimento di un solido costituito de
più di 1023 elementi (2)).

Occorre fare osservare qui che la legge delle azioni reciproche
all'inconveniente di supporre l'applicazione delle forze come
istantanea (e questo è abbandonato in relatività ristretta). In
caso delle forze a distanza, occorre in alcuni casi effettuare
trasformazioni per tenere conto del ritardo di propagazione.

Questa correzione non dipende dalla relatività. Come le forze
elettromagnetici si applicano a distanza, si era messo in evidenza
che queste forze si propagano alla velocità della luce e non a
velocità infinita, ed inclusi questa sfumatura nelle equazioni, di
rivoluzione della relatività ristretta (3)

Altre leggi di newton (modificare)

Legge d'interazione gravitazionale (modificare)
Articolo dettagliato: Legge universale della gravitazione.

Alcuni autori (minoritari) chiamano quarta legge di newton il suo
Legge universale della gravitazione. Questa denominazione è molto
discutibile, ma è citata qui a causa della relazione
cronistoria delle leggi  : se questa legge non fa parte dei principi
di
la meccanica alla stregua dei tre altri ed il principio di
relatività, il primo successo di newton fu di utilizzare le sue leggi
meccanica più la sua legge d'interazione gravitazionale per dimostrare
le leggi empiriche di Kepler. Sono questi primi successi che
stabilirono per a lungo la sovranità delle leggi di newton su
scienza.

Notiamo che combinando questa legge ed il principio fondamentale di
dinamica, si dimostra la previsione di Galilea secondo la quale in
vuoto, tutti gli oggetti cadono alla stessa velocità (ammettendo
implicitamente che inerzia e massa gravitazionale sono uguali).

“Quinto corollario„ di newton: principio di relatività (modificare)

Newton nel suo Principia ha messo in evidenza la nozione di relatività
di
movimento nelle definizioni che precedono il libro primo. Tuttavia,
introducendo nei scholies II e la IV nozione di spazio assoluto,
non individua ancora la nozione di referenziale galiléen tale
che è definita oggi. D'altra parte, newton non fa nessuno
riferimento nel caso in cui un referenziale non sia in movimento
rettilineo
uniforme rispetto a ciò che chiama lo spazio assoluto. I suoi
risultati
sono dunque implicitamente validi in referenziali in movimento
uniforme rettilinea ma nessuna infirmation della validità delle sue
leggi
nei referenziali accelerati non è dato nello Principia. Egli
occorrerà attendere i lavori di Coriolis e di Foucault al XIXe secolo
affinché la nozione di referenziale galiléen così come è conosciuta
oggi si libera e perché le formule di cambiamento di riferimento
verso (o dopo) un referenziale non galiléen è stabilito.

Il principio di relatività si enuncia come segue  : “  due
referenziali
di spazio in traslazione rettilineo uno uniforme rispetto all'altro
sono equivalenti per le leggi della meccanica.  „

(ai sensi di newton, occorrerebbe restringersi ai referenziali in
movimento rettilineo uniforme rispetto allo spazio assoluto, in sé
ricordando che se un referenziale è in movimento rettilineo uniforme
rispetto ad un secondo stesso in movimento rettilineo uniforme
rispetto allo spazio assoluto, allora il primo referenziale è in
movimento rettilineo uniforme rispetto allo spazio assoluto)

Si potrà verificarlo, ammettendo le prime tre leggi,
l'invarianza del tempo, della massa e delle forze (implicita in
fisica pre-einsteinienne). È per questo che questo principio è
chiamato qui
corollario.

Questo principio è detto principio di relatività galiléenne, poiché si
in
trova la traccia nel dialogo famoso di Galilea, sebbene Galilea
aveva supposto che fosse lo stesso per una rotazione uniforme.

Una formulazione più moderna afferma che tutte le leggi di
fisica è le stesse per due referenziali di spazio in traslazione
uniforme rettilinea uno rispetto all'altro. È questo
formulazione forte che è alla base della relatività ristretta.

Osservazione: Il referenziale héliocentrique (è generalmente
considerato
come) galiléen e è in questo referenziale che sono studiati
movimenti dei pianeti e delle sonde spaziali. Considerare
referenziale géocentrique come galiléen, mentre il centro di
Terra è in accelerazione attorno al sole, ritorna a trascurare
forze di marea. Considerare il referenziale terrestre come galiléen
ritorna a trascurare la componente centrifuga in “  pesanteur  „, e
la forza di Coriolis se il punto materiale è in movimento. Di una
modo pragmatico, conoscenza trovare a quale grado d'approssimazione
uno
referenziale può (essere considerato come) galiléen è una ricerca
senza
tregua rifiutata.

Storia ed epistemologia (modificare)

Contesto storico (modificare)

Isaac Newton ha enunciato le sue leggi nel primo volume di suono
Philosophiae Naturalis Principia Mathematica in 1687 e, di
nuovi attrezzi matematici che ha sviluppato, ha provato molto
di risultati sul movimento delle particelle idealizzate.

Alcuni detrattori di newton dicono che si è ispirato ai lavori
di Galilea per scrivere il suo primo principio (riprendendo quasi
l'enunciato di Galilea: “  Qualsiasi corpo continuerà nel suo
movimento di
linea diritta ad eternam se non è sottoposto ad alcuna forza  „, in
aggiungendo tuttavia la nozione d'uniformità del movimento).

Occorre sfumare: se newton fosse al corrente dei lavori di
Galilea, il suo ruolo è stata di formalizzare le idee di Galilea ed di
in
trarre le conseguenze che hanno permesso di costruire la meccanica.
Quando newton afferma “  se ho visto più lontano degli altri, è
perché sono stato portato da spalle di giganti.  „, il lettore
informato è presunto capire che il lavoro si iscrive in
continuità di quello di Galilea. In realtà, si potrebbe anche dire che
Newton non ha precisato che il principio d'inerzia ed il principio di
relatività, sui quali si è basato per costruire tutta
meccanica, è stata decretata da Galilea, semplicemente perché egli
ritiene che il lettore sia presunto saperlo!

I primi due volumi sono matematici. Nel terzo
volume, la filosofia naturale (vecchia denominazione della fisica
fenomeni naturali) sono spiegati  : ha mostrato come le sue leggi
del movimento combinate alla sua legge universale della gravitazione
spiegano il movimento dei pianeti e permettono di derivare le leggi
di Kepler.

Nel 1905 la teoria della relatività ristretta di Albert Einstein
mostra che la nozione di tempo assoluto, è un concetto che non dà
risultati corretti che alle velocità molto più piccole che
velocità della luce. Altra conseguenza della relatività ristretta,
nessun corpo materiale può superare un vitesse-limite chiamata c,
di cui si considera, fino ad oggi, che è uguale a
celerità del fotone, che è stata fissata per definizione a: c =
299.792.458
m/s, cosa che definisce il metro con la stessa precisione relativa
seconda (di 10-15).

Di stesso nel 1915, generalizzando il principio di relatività,
Einstein
propone la sua teoria della gravitazione, ancora nel 2005 non provata
in
un laboratorio terrestre, ma verificato e non annullato in astronomia,
con una precisione crescente. Questa teoria propone una propagazione
della gravitazione alla velocità della luce, atta ad evitare la
propagazione a
velocità infinita imposta dalle equazioni di newton. Questi notizie
visione della gravità sottolinea l'importanza del risultato
preliminare ammesso
per newton seguente il quale l'inerzia è uguale alla massa
gravitazionale.

Tutto sommato, questa costruzione dei principi resta un monumento del
pensiero
umana. Queste semplici leggi permettono soltanto di costruire tutta
la meccanica usuale, cioè di descrivere tutta la fisica
eccetto le situazioni quantiche o relativistiche.

La previsione del movimento dei pianeti con le equazioni di newton
era notevole. E considerando le interazioni dei pianeti,
la sola aberrazione rispetto alla realtà era il piccolo residuo di
43 " d'arco al secolo per l'anticipo dell'périhélie di mercurio, ed ha
occorso la relatività generale per spiegarla.

E nella vita comune delle deboli velocità (altro dunque che
l'architettura “  relativiste  „ degli edifici del LHC, al CERN), si
soddisfatto bene di queste leggi del movimento d'impiego pratico.

E, appena si vogliono la precisione ultima (ad esempio, migliore
precisione dei sistemi di posizionamento globale, GPS o Galileo),
allora si sa che occorre correggere leggermente newton da parte di
Einstein (“
i giganti si mettono sulle spalle…  „!), o da parte di Heisenberg
quando si studia
atomi.

Epistemologia (modificare)

Le leggi menzionate prima sono state messe in forma e decretate da
newton.
Ma le basi provengono da lavori precedenti: Galilea,
Torricelli Descartes Huygens Hooke, “sono stato portato da
spalle di giganti. „ riconosceva newton.

D'altra parte, come lo ha fatto osservare Ernst Mach (4):

Si riconosce senza pena che le leggi I ed II sono contenute in
le definizioni della forza precedentemente date. Secondo queste,
può infatti esistere, in mancanza di qualsiasi forza, soltanto il
riposo
o il movimento rettilineo uniforme. È un tautologie completamente
inutile di ripetere che la variazione del movimento è proporzionale a
la forza dopo avere posto che l'accelerazione è la misura di quella
CI. Ebbe basta dire che le definizioni date non erano
definizioni arbitrarie e matematiche, ma rispondevano a
proprietà sperimentali dei corpi.

In questa critica, Mach fa riferimento alla definizione IV di
Principia che introduce la nozione di forza, fondamentale in
fisica:

La forza stampata (vite impressa) è l'azione con la quale lo stato
del corpo è cambiato, sia che questo stato sia il riposo, o il
movimento
uniforme in linea retta. (1)

Ma si può andare ancora più lontano  : la conservazione della quantità
di movimento di sistemi può essere stabilito normalmente primo di
meccanica. Questo passo presenta il vantaggio di riposare su uno
concetto, la quantità di movimento, permette di trattare dei problemi
di
movimenti relativistici.

Più della terza legge permette di introdurre il concetto d'interazione
assolutamente non ordinario ma essa così fondamentale in fisica. A
l'epoca, questa legge è un'assurdità, se ci si riferisce ad esempio
dal punto di vista di Aristote a che la magia ed altre azioni a
distanza non esiste nel quadro della fisica. Ricordiamo che
magnetismo è interpretato da allora di Magnete di Gilbert da “
linee spettrali  „, o turbinii. Inoltre la causa di
gravitazione è interpretata da Descartes via una teoria (falsa) di
turbinii, così contradittorio che anche Huygens non vi crede più. Con
contro, newton dichiarerà in una frase rimasta famosa: ipotesi
non fingo, non cercherò la causa ultima della gravitazione.
gravitazione “  si esprime  „ attraverso la legge centripeta che egli
enuncia, non fa alcun'ipotesi sulla natura di questa forza.

Newton usciva dunque arditamente fuori del quadro imposto dalla fisica
di
l'epoca, da cui una critica veemente, l'azione istantanea a distanza
essendo sfidato (ostruiva del resto a newton stesso), come
insensato (Rømer aveva appena mostrato la finitudine della celerità di
luce). Nel 1915, Einstein proporrà un'ipotesi meno che colpisce:
la gravitazione si propaga, alla velocità limite c.

Problemi e limiti (modificare)

Universo assoluto (modificare)
Articolo dettagliato: Tempo newtonien.

Newton aveva sollecitato  : esiste uno spazio ed un tempo assoluto.

In realtà, si poteva estendere a tutta una classe di referenziali
detti “
  inerziali„ la nozione di spazio assoluto  : ricerca senza fine, ma
più
in più precisa. Se nessun referenziale usuale è perfettamente
inerziale, si può almeno provare che esistono. Ma newton ha avuto
torto non di credere interamente Galilea che difendeva l'equivalenza
tra un referenziale ed un altro che evolve a velocità costante con
relazione al primo.

Invece, newton diffidava del tempo assoluto  : sapeva che in
cambiando la scala di tempo, l'espressione di suo PFD cambiava. Egli
proprio savamment utilizzato. Ma ovviamente, occorreva prendere una
decisione  : quale scala di tempo scegliere? Ciò che sembrava più
semplice era la legge famosa di Kepler. E tutto era coerente.

Le nozioni di tempo relativo, di finitudine delle velocità, di
sincronizzazione e di trasporto del tempo andava richiedere ancora
molte scoperte prima di essere interviste. Ha dunque scelto per
tempo dinamico assoluto e decretato  : il tempo assoluto passa
uniformemente. È questa variabile t che interviene quando si scrive

v = \ frac {dx} {dt},

quindi

a = \ frac {dv} {dt}.

Questo tempo assoluto è generalmente ammesso finché non si usa
relatività ristretta. Ma costituisce tuttavia un'ipotesi
filosofico forte che è stato regolarmente discusso da Leibniz
in particolare che diceva  :

“  ho segnato più una volta che tenevo lo spazio per qualche
cosa puramente di relativo, come il tempo; per un ordine di
coesistenze poiché il tempo è un ordine di successioni…  „

Limiti relativistici (modificare)
Articolo dettagliato: Relatività ristretta.

Una delle grandi difficoltà delle teorie di newton, aggiornamento da
Xviio secolo è la nozione d'azione istantanea a distanza. Newton lui
anche era ostruito da quest'ipotesi presente tanto in il suo
teoria della gravitazione soltanto nella sua terza legge.
Più tardi nel corso del xviio secolo alcuni numeri di difficoltà,
per quanto riguarda l'elettromagnetismo in particolare, segnalarono
anche che
i principi di newton non potevano spiegare così com'è
tutti i problemi meccanici o cinematici.

La relatività ristretta dimostra oggi che nessun'interazione
si propaga più rapidamente della velocità della luce e rimette dunque
definitivamente in causa le interazioni istantanee. Di più essa
mostra che per oggetti di cui la velocità è vicina a quella di
luce, le leggi di newton non sono più una buona approssimazione. In
fatte, le formule della relatività ristretta permettono di
considerare la fisica newtonienne come un'approssimazione in
supponendo c infinita.

Così le leggi di newton non sono confutate da Einstein  ; a
opposto, la relatività permette di giustificare le equazioni di newton
nei casi di deboli velocità rendendola dimostrabile da partire
di una teoria più generale che la include.

D'altra parte anche in relatività ristretta, le forze rispettano
sempre un teorema della quantità di movimento ma adeguata, che fa
apparire il fattore di Lorentz. Il teorema della quantità di
movimento è dunque un teorema molto potente, poiché permette di
dedurre le leggi da newton qualora le deboli velocità
permettono. Nel caso contrario si iscrive nei risultati di
la relatività ristretta.

Sarebbe certamente assurdo dire che le leggi di newton sono
false. La caduta di un corpo su terra è un caso dove le correzioni
portate dalla relatività sono minuscoli, come per la maggior parte di
applicazioni quotidiane della meccanica classica.

In compenso, una situazione dove i risultati sono radicalmente
modificati
è quella, ad esempio, degli acceleratori di particelle del CERN.
L'energia cinetica portata ad una particella di carico q da una
tensione V vale qV. Con TeraVolt (1 000 miliardi di volt) di
CERN, si trova classicamente per un elettrone una velocità 2.000.000
volta superiore alla velocità della luce. La velocità reale,
calcolata nel quadro relativistico è quella della luce diminuita di
alcuni micron/seconda. È dunque essenziale bene distinguere
situazioni dove le leggi di newton sono valide di quelle dove esse
sono più utilizzabili.

Limiti quantici (modificare)
Articoli dettagliati: Quantico e principio d'incertezza.
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è il benvenuto!

Déterminisme e dimostrazione delle leggi di newton (modificare)
Articoli dettagliati: Déterminisme e teoria del caos.

Approccio di Laplace e di Noether (modificare)

Le leggi di newton possono essere costruite a partire da tesi più
astratte.

Le leggi di newton hanno subito l'analisi critica di Laplace, quindi
Mach,
quindi Poincaré, quindi di Kolmogorov.

Secondo la loro analisi il principio fondamentale della dinamica può
essere
riportato ad una conseguenza del déterminisme enunciata da Laplace in
il suo
trattato sulle probabilità  :

se si conosce la posizione iniziale x0 e la velocità iniziale v0,
allora l'equazione del principio fondamentale della dinamica (PFD)
detto
che, essendo la forza F (x, v, t  ), basta risolvere quest'equazione
differenziale, per determinare il futuro ed il passato della
particella,
x (t  ) e v (t  ).

Così l'orbita hamiltonienne dell'elettrone nel piano delle fasi
(x (t  ), p (t  )) è determinato dal PFD. È tutto ciò che afferma
questo
principio, poiché, d'altra parte, occorre trovare expérimentalement
legge F (x, v, t  ).

Anche se il déterminisme così come lo definisce Laplace soffre per
limiti,
è lo stesso possibile mostrare che il teorema della quantità
di movimento si basa sui principi stessi della fisica: è in
effetto una conseguenza del teorema di Noether.

Osservazione sul caos deterministico (modificare)
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Note (modificare)

1. ↑ a   b   Principes matematici della filosofia naturale
Secondo la traduzione del latino in francese da parte di Émilie del
castelletto
(1756).
2. ↑. Questo numero rappresenta quasi il numero di Avogadro che
dà l'ordine di dimensione del numero di particelle contenute in uno
corpo macroscopico.
3. ↑ Tuttavia l'esistenza di una velocità della luce assoluta
(indipendente dal referenziale di studio) è incompatibile con la legge
d'additività delle velocità della meccanica newtonienne e costituisce
ragione fondamentale per la quale quest'ultimo è stato abbandonato a
profitto della relatività.
4. ↑ La meccanica. Relazione storica e critica di suono
sviluppo capitolo II sviluppo dei principi della dinamica,
sezione VII critica sinottica degli enunciati di newton, paragrafo 4.
Traduzione da parte di Emile Bertrand (1904)
==========================================
Poiché Google ha penato a caricare questa seconda spedizione
(internazionale) io in
approfitta per aggiungere legami, modificare alcuni passaggi…

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